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L'Algérie et le CPI.

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  • L'Algérie et le CPI.

    Envoyé par ElWatan
    Le président Bouteflika veut saisir l’ONU pour geler la procédure engagée par la CPI : L’Algérie vole au secours du dictateur soudanais
    Je viens de lire le quotidien El Watan du 18 spetembre, et je suis surpris de voir la démarche attribuée au chef de l'État.

    Personnellement je me dissocie totalement d'un geste du gouvernement de mon pays qui ignore que des milliers de victimes croupissent quelque part dans une région du Soudan, le Darfour, ou il n'est plus a démontrer que le régime de ce pays ferme les yeux sur ce qui s'y passe.

    Notre chef de l'état devrait soit
    -mettre au courant le peuple algérien qu'il représente de ses raisons de prendre cette initiative
    -ou tout simplement renoncer a poursuivre cette décision de vouloir empêcher les Nations Unies de faire leur travail.

    A moins que pour notre gouvernement (ou le président) juge que la vie des ces malheureux darfouriens équivaut a celle de près de 200.000 sacrifiés en algérie par le terroriste et qui ne semble pas avoir attiré la pitié ni la justice de nos pouvoirs.

    Quant a y penser: Est-ce que nous ne savons rien de la moralité ni des valeur du président de l'Algérie ?
    L'homme parle sans réféchir...Le miroir réfléchit sans parler!

  • #2
    Décidément l’Algérie est toujours du côté des pays à problèmes : Iran, Soudan.

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    • #3
      La CPI est un outil au service des USA et de leurs alliés. Quand on verra Bush, Blair ou Aussaress à la CPI ils se pourront juger le Soudanais. En 1980 les USA ont kidnappé Noriega le président du Panama en Floride pour le juger parce qu'il voulait pas renégocier le traité du Canal de Panama. Ils ont exécuté Saddam pour le pétrole. Ils ont tué des centaines de milliers d'Irakiens. Et maintenant ils veulent la tete du Soudanais parce qu'ils viennent de découvrir le pétrole là bas. Justice à 2 vitesses...

      ∑ (1/i²) = π²/6
      i=1

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      • #4
        Je veux bien que l algerie se mouille pour des causes justes mais pas pour un dictateur.
        Faut voir maintenant si elle a etait mandate par l afrique.
        qu elle entretienne des relations avec des pays tels que le venezuela, l iran....ok...mais de la a s alligner avec eux...
        tres mauvais choix...

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        • #5
          Personnellement je suis pour traduire ce dictateur qui est arrivé au pouvoir par un coup d'etat militaire , et pour se maintenir au pouvoir ce criminel avait remplacé la démocratie par un régime islamique , au forumistes amnésiques n'oubliez que ce régime criminel et intégriste , il était le principal soutien et fournisseur d'armes à ses acolytes en Algerie qui tuaient pillaient et violaient , en plus il n'ya pas à comparer Bush et blair élus démocratiquement à un criminel qui utilise la religion pour se maintenir
          au pouvoir , God bless America pays de liberté.
          Faute de grives , nous mangeons des Merles

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          • #6
            God bless America pays de liberté.
            Toz.

            L'Irak, le Vietnam, le Panama, l'Equateur, la Grenade, le Laos, Cuba, la Lybie, ... je continue la liste?

            ∑ (1/i²) = π²/6
            i=1

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            • #7
              Qqu'un peut nous donner le nom des pays qui ont signé et ratifié le statuts de la CPI ? ET, si le soudan se trouve sur cette liste!
              Je vous signale que beaucoup de pays croupions ont signé des accords avec les étasuniens pour ne jamais ester un américain devant cette honorable institution contre avantages et protection.
              Salutations.
              salut l'ami Avucic! T'es tjs au Canada?

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              • #8
                La carte des pays qui ont ratifié et sont membres de la CPI en Octobre 2007. Le Soudan ne fait pas partie.


                ∑ (1/i²) = π²/6
                i=1

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                • #9
                  Boutef & Co sont entrain de préparer leur défense, ils s'enfichent du sort réservé à ce sanguinaire criminel d'El Bachir ! Si demain l'Algérie venait à se relever, les boutef, zerhouni, belkhadem ... et même les militaires vont se casser du pays et la seule solution pour les juger sera la CPI.

                  Je suis sûr que plein de personnes qui sont actuellement au pouvoir ne vont pas avoir une mort naturelle et heureuse, ils devront rendre des comptes au peuple qu'ils ont spolié !

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                  • #10
                    Chalabi, c'est toi? Tu est devenu Algérien maintenant?

                    ∑ (1/i²) = π²/6
                    i=1

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                    • #11
                      Merci Alryb!
                      La CPI a pour rôle de juger les gens accusés de crimes internationaux les plus graves. Les US ont refusé de ratifier les statuts de la CPI et s'opposent à ce que ses ressortissants soient jugés par celle-ci !
                      Que dire du Soudan!
                      Et que dire des autres dictateurs et criminels!

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                      • #12
                        La réconciliation nationale appliquée à la diplomatie
                        Par :Mustapha Hammouche
                        Lu : (462 fois)

                        Après la visite du ministre soudanais de l’Industrie, l’Algérie s’est engagée à initier une procédure de saisine du Conseil de sécurité à l’effet de suspendre les enquêtes et procédures sur la responsabilité du président Omar El-Bachir dans le génocide du Darfour.
                        C’est peut-être l’occasion de rappeler “la dette” que détient le régime soudanais auprès de notre pays, et qui lui vaut cette solidarité diplomatique.
                        À partir de 1996, le Soudan, contraint par la pression internationale, a dû multiplier les gages de son désengagement du terrorisme. Il livrait alors Carlos à la France et fermait quelques-uns des nombreux camps d’entraînement de terroristes, notamment dédiés au GIA. Son illustre hôte du début des années 1990, un certain Oussama Ben Ladden, outre qu’il y faisait prospérer ses affaires dans le BTP, y finançait plusieurs camps d’entraînement dans la banlieue de Khartoum et dans la province de Damazie. Plus de mille cinq cents “Afghans” algériens y séjournèrent avant de rentrer sévir dans leur pays par la “filière du Sud”.
                        Nul besoin de détails factuels pour établir le rôle du Soudan dans le déclenchement et le développement du GIA : l’État algérien qui, en avril 1993, avait rappelé son ambassadeur à Khartoum en même temps qu’il rompait ses relations avec l’Iran, a nécessairement fondé sa décision sur des preuves de l’implication soudanaise dans la guerre terroriste que lui livrait l’islamisme. D’ailleurs, quand en 2005, le Conseil de sécurité votait la résolution 1595 qui déférait la situation au Darfour à la CPI, l’Algérie qui y siégeait ne s’y était pas opposée ; elle s’était abstenue.
                        Le coup de pouce au régime de Khartoum, même depuis débarrassé de Tourabi, autant que l’hommage posthume à Khomeïny, constitue une inconséquence politique.
                        La crédibilité de la diplomatie algérienne, ou ce qu’il en reste, doit-elle servir à faire attelage avec deux régimes hier impliqués dans une guerre qui nous a coûté deux cent mille vies, et qui nous sollicitent parce qu’aujourd’hui, ces mêmes agissements belliqueux les ont mis en difficulté avec la communauté internationale ? S’il y a un hommage à rendre, c’est à nos victimes du terrorisme, à leurs victimes — parce que les États sponsors partageront pour la postérité les méfaits des groupes qu’ils ont construits, entraînés et motivés — qu’il faut le rendre. Et la meilleure manière d’exprimer cette fidélité à la mémoire de nos morts, c’est que la République qu’ils ont défendue s’en souvienne quand elle vient à s’exprimer. Si elle est toujours là, la République est en train de se rendre coupable d’un déni de martyre envers ceux qu’elle a sacrifiés.
                        La course désespérée à la réconciliation avec les terroristes nous fait payer sans compter. Le principe de justice, l’argent du Trésor et la mémoire collective sont mis à mal dans une démarche qui, chaque jour, donne la preuve sanglante de sa vanité. Et comme la politique, dit-on, est le prolongement de la politique intérieure, nous voici “réconciliés” avec ces régimes qui, il y a quelques années, nous accablaient de leur meurtrière coopération.
                        Faut-il qu’en ce pays, en matière de terrorisme, le crime paie ?

                        Liberté
                        ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

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                        • #13
                          je ne comprends vraiment pas ce qui poussent l'Algérie à prendre la défense du président soudanai ??
                          de quoi on se mêle
                          ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

                          Commentaire


                          • #14
                            Faut-il qu’en ce pays, en matière de terrorisme, le crime paie ?
                            Merci Mustapaha,
                            avec Dilem il reste le seul journaliste crédible à Liberté !

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                            • #15
                              je ne comprends vraiment pas ce qui poussent l'Algérie à prendre la défense du président soudanai ?? de quoi on se mêle
                              L'Algérie a toujours dénoncé la politique du 2 poids, 2 mesures , la CPI deviendra crédible le jour où elle pourra juger les criminels Occidentaux et leur appendice sioniste.

                              Ce n'est pas parce que BHL qui nie le massacre de Jenine, a fait avec l'équipe de France du scoop une campagne contre le Soudan pour détourner l'attention de l'opinion publique internationale sur le blocus de Ghaza, qu'on est obligé de croire tous leurs boniments,

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