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L’Entreprise publique algérienne Sidal vient d’être rachetée par le groupe français Air Liquide qui a affiché sa volonté d’investir pas moins de 25 millions d’euros annuellement, d’ici et jusqu’à 2012, en Algérie.
C’est en tout cas l’annonce faite à l’AFP par le directeur d’Air Liquide Algérie Paul Leondaridis qui informe de l’acquisition, le 29 juillet, des actions de Sidal dans leur totalité.
Selon ce responsable, ce rachat qui a été fait après que les dettes de cette entreprise eurent été totalement effacées, a «prévu le maintien du personnel et la modernisation des installations». M. Leondaridis a fait savoir que le rachat de Sidal est le couronnement «des efforts d’Air Liquide menés depuis trois ans dans l’objectif de reprendre les opérations gaz industriels en Algérie». Et d’ajouter qu’il est question d’effectuer «des investissements d’une dizaine de millions d’euros dans la construction d’une usine de production d’oxygène à Reghaia, de même que de moderniser l’usine de fabrication de postes à souder de Ténès, appartenant à Sidal».
M. Leondaridis a aussi indiqué : «Nous sommes prêts à investir en Algérie 25 millions d’euros par an et même plus. Mais cela dépendra des opportunités dans les grands projets pétrochimiques ou sidérurgiques.» Le montant de ce rachat, même s’il n’a pas été rendu public, atteindrait les 20 millions d’euros.
Pour information, Sidal, une société d’installation et de diffusion de matériel technique en Algérie, fait travailler pas moins de 100 personnes actuellement. Son chiffre d’affaires a atteint environ 2,2 millions d’euros l’année dernière. Spécialisée dans la production et la distribution de postes et équipements de soudage, équipements cryogéniques, équipements hospitaliers de mise en œuvre des gaz et liquides cryogéniques, Sidal a été créée, en 1975, par l’entreprise publique algérienne SNS (Société nationale de sidérurgie) et détenait 51% des actions contre 49% par Air Liquide. Cette dernière entreprise avait cédé, en 2000, l’ensemble de ses actions dans Sidal à son partenaire algérien Sider (ex-SNS). En mai 2007, et avant de racheter l’entreprise, il a été procédé à la création d’Air Liquide Algérie, filiale à 100% du leader mondial des gaz industriels.
Par la Tribune
C’est en tout cas l’annonce faite à l’AFP par le directeur d’Air Liquide Algérie Paul Leondaridis qui informe de l’acquisition, le 29 juillet, des actions de Sidal dans leur totalité.
Selon ce responsable, ce rachat qui a été fait après que les dettes de cette entreprise eurent été totalement effacées, a «prévu le maintien du personnel et la modernisation des installations». M. Leondaridis a fait savoir que le rachat de Sidal est le couronnement «des efforts d’Air Liquide menés depuis trois ans dans l’objectif de reprendre les opérations gaz industriels en Algérie». Et d’ajouter qu’il est question d’effectuer «des investissements d’une dizaine de millions d’euros dans la construction d’une usine de production d’oxygène à Reghaia, de même que de moderniser l’usine de fabrication de postes à souder de Ténès, appartenant à Sidal».
M. Leondaridis a aussi indiqué : «Nous sommes prêts à investir en Algérie 25 millions d’euros par an et même plus. Mais cela dépendra des opportunités dans les grands projets pétrochimiques ou sidérurgiques.» Le montant de ce rachat, même s’il n’a pas été rendu public, atteindrait les 20 millions d’euros.
Pour information, Sidal, une société d’installation et de diffusion de matériel technique en Algérie, fait travailler pas moins de 100 personnes actuellement. Son chiffre d’affaires a atteint environ 2,2 millions d’euros l’année dernière. Spécialisée dans la production et la distribution de postes et équipements de soudage, équipements cryogéniques, équipements hospitaliers de mise en œuvre des gaz et liquides cryogéniques, Sidal a été créée, en 1975, par l’entreprise publique algérienne SNS (Société nationale de sidérurgie) et détenait 51% des actions contre 49% par Air Liquide. Cette dernière entreprise avait cédé, en 2000, l’ensemble de ses actions dans Sidal à son partenaire algérien Sider (ex-SNS). En mai 2007, et avant de racheter l’entreprise, il a été procédé à la création d’Air Liquide Algérie, filiale à 100% du leader mondial des gaz industriels.
Par la Tribune