Lorsque chante la nostalgie,
La tête vibre sa mélodie,
L’âme ressort ses magies et
Un cœur sort d’un silence figé.
Les frontières s’éclatent
Et les poètes relatent
Triomphes et amourettes et
Pleurent leurs fortunes disparates.
Et si l’on me considère comme un poète,
J’écrirais une chanson pour la mouette
Elle la chanterait pour la muette
Pour la sortir de sa cantate désuète.
Quand le temps absorbe les mémoires,
Plongeant les cœurs dans le calme des armoires
Et dans les ténèbres de l’oubli et des déboires,
Un silence plane sur mon âme
Me rappelle mésaventures et mélodrames,
Tristesses du cœur et les grandes flammes.
Toi et moi et les nuits des douces tendresses;
Les rimes, les symphonies et les belles promesses,
L’immense ciel et ses étoiles furent notre adresse.
Ta main, mon espoir de palper cette forteresse,
Avais pris, mes rêves et toute ma sagesse
Et l’amour fila de mon cœur sa tristesse.
Dans le jardin de tes belles fleurs
J’avais vu couler tous tes pleurs
Qui sont, tu ne le crois pas,
Si chers à mon petit cœur.
Nos regards étonnés se seraient croisés
Et nos âmes enlacées s’embrassaient.
Les ténèbres de mon pénible cœur
Par ton doux visage, tu les éclairais.
Et quand tu apparaissais, c’est le soleil du grand jour
Ou la pleine lune de mes longues nuits d’amour.
Et quand pesait l’impossible, si fort, sur mon silence,
Les absences refuges de mes désespérances
Trahissaient l’amour fou et sa puissance.
Mais que faire dans pareilles fureurs ?
Attiser les grands feux de mon cœur
Ou écraser l’amour dans ses douleurs ?
La tête vibre sa mélodie,
L’âme ressort ses magies et
Un cœur sort d’un silence figé.
Les frontières s’éclatent
Et les poètes relatent
Triomphes et amourettes et
Pleurent leurs fortunes disparates.
Et si l’on me considère comme un poète,
J’écrirais une chanson pour la mouette
Elle la chanterait pour la muette
Pour la sortir de sa cantate désuète.
Quand le temps absorbe les mémoires,
Plongeant les cœurs dans le calme des armoires
Et dans les ténèbres de l’oubli et des déboires,
Un silence plane sur mon âme
Me rappelle mésaventures et mélodrames,
Tristesses du cœur et les grandes flammes.
Toi et moi et les nuits des douces tendresses;
Les rimes, les symphonies et les belles promesses,
L’immense ciel et ses étoiles furent notre adresse.
Ta main, mon espoir de palper cette forteresse,
Avais pris, mes rêves et toute ma sagesse
Et l’amour fila de mon cœur sa tristesse.
Dans le jardin de tes belles fleurs
J’avais vu couler tous tes pleurs
Qui sont, tu ne le crois pas,
Si chers à mon petit cœur.
Nos regards étonnés se seraient croisés
Et nos âmes enlacées s’embrassaient.
Les ténèbres de mon pénible cœur
Par ton doux visage, tu les éclairais.
Et quand tu apparaissais, c’est le soleil du grand jour
Ou la pleine lune de mes longues nuits d’amour.
Et quand pesait l’impossible, si fort, sur mon silence,
Les absences refuges de mes désespérances
Trahissaient l’amour fou et sa puissance.
Mais que faire dans pareilles fureurs ?
Attiser les grands feux de mon cœur
Ou écraser l’amour dans ses douleurs ?
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