Les unités des gardes-côtes à l’ouest du pays ont réussi pour la première fois depuis deux ans à faire avorter une tentative de contrebande d’une importante quantité de munitions de guerre constituée notamment de 12 mille cartouches de différents calibres qui étaient sur le point d’être introduites en Algérie à travers les frontières algéro-marocaines.
Les investigations se poursuivent pour définir la destination exacte de cette marchandise qui selon les premiers éléments devait être fournie à des réseaux de trafic d’armes et de munitions dont les liens avec les groupes terroristes ne sont plus à démontrer.
Les investigations se poursuivent pour définir la destination exacte de cette marchandise qui selon les premiers éléments devait être fournie à des réseaux de trafic d’armes et de munitions dont les liens avec les groupes terroristes ne sont plus à démontrer.
Les éléments des gardes-côtes à Bab-El-Assa dans la wilaya de Tlemcen ont saisi 12 225 cartouches de chasse de différents calibres.
Le rapport établi par la gendarmerie nationale dévoile que la vigilance des unités des gardes-côtes a permis au mois d’août dernier de déjouer le passage de cette quantité à travers les frontières ouest du pays.
L’enquête est en cours dans cette affaire, la première qui a trait à la saisie d’armes ou de munitions depuis quatre ans aux frontières terrestres puisque ce genre de saisie est plus souvent effectuée au niveau des ports.
Les investigations sécuritaires dans les attentats qui ont secoué Alger le 11 avril 2007 avait établi que les produits explosifs utilisés pour piéger les voitures avaient été introduits à travers les frontières vers le fief principal du Groupe Salafiste à Boumerdès.
Ces cartouches pouvaient être destinées à fournir en munitions les groupes criminels et terroristes particulièrement "les Défenseurs de la Prédication Salafiste" qui en manquent cruellement selon les témoignages récents de terroristes arrêtés ou repentis.
Le rapport établi par la gendarmerie nationale dévoile que la vigilance des unités des gardes-côtes a permis au mois d’août dernier de déjouer le passage de cette quantité à travers les frontières ouest du pays.
L’enquête est en cours dans cette affaire, la première qui a trait à la saisie d’armes ou de munitions depuis quatre ans aux frontières terrestres puisque ce genre de saisie est plus souvent effectuée au niveau des ports.
Les investigations sécuritaires dans les attentats qui ont secoué Alger le 11 avril 2007 avait établi que les produits explosifs utilisés pour piéger les voitures avaient été introduits à travers les frontières vers le fief principal du Groupe Salafiste à Boumerdès.
Ces cartouches pouvaient être destinées à fournir en munitions les groupes criminels et terroristes particulièrement "les Défenseurs de la Prédication Salafiste" qui en manquent cruellement selon les témoignages récents de terroristes arrêtés ou repentis.
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