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Trois éditeurs chinois, coréen et japonais mettent sur le marché Asianux 2.0 qui est une distribution Linux dont l'objectif est de rivaliser windows avec un OS Linux à long terme.
Je trouve positive cette rivalité des trois grands asiatiques car l'émulation est un excellent moteur de recherche et de développement et qu'il est bon de d'empiéter sur l'éclatante domination de windows dans le monde. De plus Linux est une très bonne distrib alors longue route à Asianux.
A noter que microsoft n'avait pas réellement apprécié l'annonce de la création d'Asianux et avait à l'époque ( en 2003) dénoncé "une atteinte aux règles de la concurrence"
Je trouve positive cette rivalité des trois grands asiatiques car l'émulation est un excellent moteur de recherche et de développement et qu'il est bon de d'empiéter sur l'éclatante domination de windows dans le monde. De plus Linux est une très bonne distrib alors longue route à Asianux.
A noter que microsoft n'avait pas réellement apprécié l'annonce de la création d'Asianux et avait à l'époque ( en 2003) dénoncé "une atteinte aux règles de la concurrence"
Avec deux mois d'avance sur le calendrier, la première distribution Linux asiatique, Asianux 2.0, débarque sur les marchés coréen et chinois. Suivra le Japon en octobre.
Ce système d'exploitation est l'aboutissement d'un partenariat technique entre le chinois Red Flag Software, le japonais Miracle Linux et le coréen HaanSoft, lancé en janvier 2004. L'objectif était de mettre au point une distribution Linux au service des entreprises et grandes organisations.
Malgré un développement commun, chaque éditeur la commercialisera sous sa marque respective, avec un conditionnement personnalisé.
(...) Asianux a toutes ses chances de populariser Linux en Asie, estime Andrea DiMaio, vice-président en charge de la recherche chez Gartner. Surtout si la distribution est retenue localement dans de gros projets gouvernementaux, qui seraient alors enclins à se détourner de Windows.
L'arrivée d'un standard unique pour toute l'Asie devrait par ailleurs séduire les éditeurs et constructeurs, les incitant à certifier leurs produits pour Asianux. La disponibilité des applications et la compatibilité matérielle sont des facteurs clés pour populariser un OS.
Premiers pas d'Asianux 2.0 en Chine et Corée
Ce système d'exploitation est l'aboutissement d'un partenariat technique entre le chinois Red Flag Software, le japonais Miracle Linux et le coréen HaanSoft, lancé en janvier 2004. L'objectif était de mettre au point une distribution Linux au service des entreprises et grandes organisations.
Malgré un développement commun, chaque éditeur la commercialisera sous sa marque respective, avec un conditionnement personnalisé.
(...) Asianux a toutes ses chances de populariser Linux en Asie, estime Andrea DiMaio, vice-président en charge de la recherche chez Gartner. Surtout si la distribution est retenue localement dans de gros projets gouvernementaux, qui seraient alors enclins à se détourner de Windows.
L'arrivée d'un standard unique pour toute l'Asie devrait par ailleurs séduire les éditeurs et constructeurs, les incitant à certifier leurs produits pour Asianux. La disponibilité des applications et la compatibilité matérielle sont des facteurs clés pour populariser un OS.
Premiers pas d'Asianux 2.0 en Chine et Corée