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Etats-Unis : l’Algérien Elias Zerhouni quitte la tête des Instituts nationaux de la santé
Le Dr. Elias Zerhouni, d’origine algérienne, quitte la direction des Instituts nationaux américains de la santé (NIH). Son départ, qui sera effectif à partir de la fin octobre 2008, a été officialisé aujourd’hui via un communiqué de presse. Agé de 57 ans, le Dr Zerhouni a été nommé à ce poste en 2002 par le président George W. Bush. A la tête des NIH, Elias Zerhouni a mis en oeuvre d'importantes réformes. «Au cours des six dernières années nous avons connu une révolution dans les sciences biomédicales et j'ai eu la chance d'y participer», a-t-il déclaré dans un communiqué annonçant son départ.
Né à Nedroma, dans l’ouest du pays, en 1951, Elias Zerhouni est arrivé aux Etats-Unis à l’âge de 24 ans muni d’une bourse de 369 dollars pour poursuivre des études à l’université Johns Hopkins. Devenu éminent radiologue, il a déposé, entre 1985 et 1998, pas moins de huit Brevets d’inventions, dans le domaine de la radiologie et de l’IRM. Discret et peu connu du public, le Dr Zerhouni a été l'un des acteurs les plus influents de la recherche médicale aux Etats-Unis, oeuvrant notamment pour accélérer l'application de la recherche fondamentale en traitements. «Elias a été un représentant influent de la communauté de la recherche médicale à la tête des NIH et sa direction a été marquée par un esprit de collaboration, une bonne gestion et une transformation», a déclaré le secrétaire américain à la Santé, Michael Leavitt. «La feuille de route de la recherche médicale qu'il a élaborée et mise en oeuvre bénéficiera à la santé des Etats-Unis durant de nombreuses années», a-t-il ajouté dans un communiqué.
Avec un budget de 29 milliards de dollars en 2007, les NIH, dont le siège est à Bethesda, dans le Maryland près de Washington, constituent la plus grande institution publique au monde de recherche biomédicale. Ils comptent plus de 18.000 employés dont 6.000 chercheurs. Les NIH financent également les travaux de plus de 325.000 personnels de recherche dans plus de 3.100 universités et autres institutions aux Etats-Unis et dans le monde.
TSA
Le Dr. Elias Zerhouni, d’origine algérienne, quitte la direction des Instituts nationaux américains de la santé (NIH). Son départ, qui sera effectif à partir de la fin octobre 2008, a été officialisé aujourd’hui via un communiqué de presse. Agé de 57 ans, le Dr Zerhouni a été nommé à ce poste en 2002 par le président George W. Bush. A la tête des NIH, Elias Zerhouni a mis en oeuvre d'importantes réformes. «Au cours des six dernières années nous avons connu une révolution dans les sciences biomédicales et j'ai eu la chance d'y participer», a-t-il déclaré dans un communiqué annonçant son départ.
Né à Nedroma, dans l’ouest du pays, en 1951, Elias Zerhouni est arrivé aux Etats-Unis à l’âge de 24 ans muni d’une bourse de 369 dollars pour poursuivre des études à l’université Johns Hopkins. Devenu éminent radiologue, il a déposé, entre 1985 et 1998, pas moins de huit Brevets d’inventions, dans le domaine de la radiologie et de l’IRM. Discret et peu connu du public, le Dr Zerhouni a été l'un des acteurs les plus influents de la recherche médicale aux Etats-Unis, oeuvrant notamment pour accélérer l'application de la recherche fondamentale en traitements. «Elias a été un représentant influent de la communauté de la recherche médicale à la tête des NIH et sa direction a été marquée par un esprit de collaboration, une bonne gestion et une transformation», a déclaré le secrétaire américain à la Santé, Michael Leavitt. «La feuille de route de la recherche médicale qu'il a élaborée et mise en oeuvre bénéficiera à la santé des Etats-Unis durant de nombreuses années», a-t-il ajouté dans un communiqué.
Avec un budget de 29 milliards de dollars en 2007, les NIH, dont le siège est à Bethesda, dans le Maryland près de Washington, constituent la plus grande institution publique au monde de recherche biomédicale. Ils comptent plus de 18.000 employés dont 6.000 chercheurs. Les NIH financent également les travaux de plus de 325.000 personnels de recherche dans plus de 3.100 universités et autres institutions aux Etats-Unis et dans le monde.
TSA
Dommage que les imbéciles en face de toi n'ont pas su t'écouter. Je veux juste préciser que ma critique n'est pas faite pour dédouaner les saboteurs qui sont resté en Algérie et qui empoisonne la vie de tout le monde. Enfin: ca sert à rien de parler plus sur ce sujet, on va rien changer.
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