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Le balcon St Raphaël est qualifié de balcon, de terrasse ou encore de belvédère, c'est un espace naturel unique se distingue des autres jardins d’Alger par son site surplombant la ville. Situés au bord d’une haute falaise, ses parcours enchanteurs offrent la plus belle vue de la baie d’Alger. Son terrain, occupé par les jardins du consulat de Suède, est acquis en 1913 par la compagnie Claridge qui renoncera à y construire un hôtel et le lotira pour le vendre en 1923.
Opposées au morcellement d’un lieu prestigieux, les mairies d’El Biar et d’Alger en acquerront en 1926 les plus grandes parcelles et feront classer la falaise comme site pittoresque. Les aménagements sont engagés par le syndicat d’initiative avec la construction d’un mur de soutènement de 17 m de longueur.
Les travaux véritables débutent deux ans plus tard quand la mairie d’El Biar cède à celle d’Alger la totalité des terrains pour 99 ans. Dès 1928, la municipalité d’Alger aménage la terrasse et ouvre le jardin au public. En 1930, la municipalité fait voter les crédits pour l'aménagement des terrains boisés constituant la partie inférieure de la falaise et pour créer un escalier entre la terrasse et le boulevard Maréchal- Gallieni (aujourd’hui boulevard Bougara). Ces travaux sont achevés en un an. Outre sa situation exceptionnelle, le balcon Saint-Raphaël comprend aussi, au pied de la falaise, une petite forêt accessible par un escalier.
Par Le soir
Opposées au morcellement d’un lieu prestigieux, les mairies d’El Biar et d’Alger en acquerront en 1926 les plus grandes parcelles et feront classer la falaise comme site pittoresque. Les aménagements sont engagés par le syndicat d’initiative avec la construction d’un mur de soutènement de 17 m de longueur.
Les travaux véritables débutent deux ans plus tard quand la mairie d’El Biar cède à celle d’Alger la totalité des terrains pour 99 ans. Dès 1928, la municipalité d’Alger aménage la terrasse et ouvre le jardin au public. En 1930, la municipalité fait voter les crédits pour l'aménagement des terrains boisés constituant la partie inférieure de la falaise et pour créer un escalier entre la terrasse et le boulevard Maréchal- Gallieni (aujourd’hui boulevard Bougara). Ces travaux sont achevés en un an. Outre sa situation exceptionnelle, le balcon Saint-Raphaël comprend aussi, au pied de la falaise, une petite forêt accessible par un escalier.
Par Le soir