Elle était venue sous un ciel étoilé
Elle regardait l’horizon si plein de frisson
Elle frémissait de froid la nuit tombait
Elle tendait les bras vers l’infini
Son regard était plein de pluie
Des gouttes perlaient
Je ne sais plus comment elles étaient venues
Si froid si loin déjà
Et puis le ciel s’est coloré d’orange
La lune se faisait belle et s’avançait vers elle
La nuit était claire tout à coup
Elle sentais la nuit
Elle était à genoux dans la boue
Ses genoux s’affaissaient de froid
Ils claquaient en cadence je crois
Un bruit sourd une balle l’a touché
Et elle s’est affaissée, Son corps a roulé
Un bruissement un frisson
Un abandon
Elle quittait la terre pour un long désert
Elle quittait le sol rapide comme l’éclair
Elle était venue sous un ciel étoilé
Elle regardait l’horizon si plein de frisson
Oh ! quel doux abandon
Jamais plus ses genoux ne la lâcheraient
Jamais plus elle ne souffrirait
Elle respirait la vie
Oh ! Quelle ironie
Dans ce décor de terre
Elle trouvait la lumière
Une simple balle a jaillis
Sous un éclair de pluie
Quand la guerre arrache des vies
Quand la misère est plus froide que l’hiver
Est-ce vraiment ainsi que l’on grandis
Elle repose en paix et moi je prie
Que les balles deviennent fleur et je serai oubli
De la nuit
Du bruit qui jaillit
Des cris de souffrances qui résonnent dans la nuit
Je veux un monde de paix.
morjane
19/08/05
Elle regardait l’horizon si plein de frisson
Elle frémissait de froid la nuit tombait
Elle tendait les bras vers l’infini
Son regard était plein de pluie
Des gouttes perlaient
Je ne sais plus comment elles étaient venues
Si froid si loin déjà
Et puis le ciel s’est coloré d’orange
La lune se faisait belle et s’avançait vers elle
La nuit était claire tout à coup
Elle sentais la nuit
Elle était à genoux dans la boue
Ses genoux s’affaissaient de froid
Ils claquaient en cadence je crois
Un bruit sourd une balle l’a touché
Et elle s’est affaissée, Son corps a roulé
Un bruissement un frisson
Un abandon
Elle quittait la terre pour un long désert
Elle quittait le sol rapide comme l’éclair
Elle était venue sous un ciel étoilé
Elle regardait l’horizon si plein de frisson
Oh ! quel doux abandon
Jamais plus ses genoux ne la lâcheraient
Jamais plus elle ne souffrirait
Elle respirait la vie
Oh ! Quelle ironie
Dans ce décor de terre
Elle trouvait la lumière
Une simple balle a jaillis
Sous un éclair de pluie
Quand la guerre arrache des vies
Quand la misère est plus froide que l’hiver
Est-ce vraiment ainsi que l’on grandis
Elle repose en paix et moi je prie
Que les balles deviennent fleur et je serai oubli
De la nuit
Du bruit qui jaillit
Des cris de souffrances qui résonnent dans la nuit
Je veux un monde de paix.
morjane
19/08/05
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