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Depuis quelques jours, on assiste à un renforcement important des positions des forces de l’ANP dans la wilaya de Tizi-Ouzou. En effet, au moins une dizaine de nouveaux barrages de l’armée, assistée par la gendarmerie, ont vu le jour dans différentes régions et aux quatre coins de la wilaya.
A titre d’exemple, pas moins de trois barrages ont été installés le long du tronçon routier reliant le chef-lieu de la wilaya à Azazga, plus exactement au niveau des localités de Tamda, Taboukert et Chaïb. Des barrages qui ont tous l’air d’être permanents puisque il a été également procédé à l’installation en leur sein de guérites en dur. A Taha Bounan, à quelques encablures de Béni Douala, l’armée a aussi pris position. En outre des campements ont été également érigés ça et là à proximité de ces barrages et à travers le territoire de la wilaya. On parle, en somme de quelque 2 500 soldats qui auraient été affectés à Tizi. Par ailleurs, quelques régions ont connu un mouvement de redéploiement de ce corps sécuritaire. Le bataillon d’Aït Bouaddoun, par exemple, s’est installé au chef-lieu de daïra des Ouadhias d’autre installations militaires ont connu le même sort en se déplaçant dans des lieux jugés plus sensibles; A vrai dire c’est une large et vaste opération de redéploiement et de renforcement que l’ANP a opéré à Tizi-Ouzou.
Une opération que plus d’un attribue à la visite effectuée dernièrement par le chef de l’état-major des armées dans la wilaya. Il est vrai en fait, que ce mouvement a été enregistré au lendemain de cette visite qui serait, doit-on déclarer, conclue par plusieurs décisions de taille, concernant bien entendu la sécurité dans la capitale de Djurdjura. Des sources concordantes évoquent, en effet, l’imminent envoi des “unités spéciales” de l’armée dans la wilaya. “Cela interviendra après le mois de carême,” précisent nos sources. D’autres parlent aussi de l’idée de la réactivation des groupes d’auto défense (GLD), qui fait son petit bonhomme de chemin au sein des hautes sphères du pouvoir, nos informations affirment, à ce sujet qu’on est déjà en train de recruter pour former ces groupes.
Quoiqu’il en soit, ces manœuvres ont en tous cas pour objectif de sécuriser davantage Tizi, une wilaya épargnée par le passé et devenue “curieusement” le refuge préféré des groupes terroristes. Il est clair, en effet que le pouvoir veut frapper fort dans la lutte antiterroriste.
Tizi et le reste de la Kabylie (Bouira et Boumerdès notamment) en leur qualité de principal retranchement des hordes terroristes renferment le plus important nombre des éléments armées du “terrorisme résiduel”. Autrement dit si l’armée réussit à nettoyer les maquis de Tizi, elle enregistrera un grand coup dans la lutte contre les sanguinaires de l’ex-GSPC. Il faut dire que dans l’état actuel des choses, les terroristes continuent à sévir dans la wilaya de Tizi-Ouzou, et ce en dépit que cette dernière soit “intensément quadrillé”.
Les actes terroriste n’y manquent pas en effet, cela même si ces attaques ne sont pas aussi spectaculaires que celles qui “horrifiaient” la population kabyle il y a à peine quelques années. Avant-hier deux gardes communaux ont été assassinés à Tadmaït, quatre gendarmes ont été blessés dans une explosion à Azazga, une explosion du même genre a fait deux blessés parmi les paisibles citoyens à Boghni. La fin de la semaine écoulée a connu le kidnapping d’un jeune aux Ouadhias. A vrai dire, les terroristes continuent à sévir. Autrement dit, le renforcement des forces de l’ANP à Tizi-Ouzou ne peut que réjouir et rassurer, un tant soit peu, le citoyen en attendant de venir à bout de ce qui reste encore du “terrorisme résiduel” qui a trouvé ses marques à Tizi.
par la Dépêche de Kabylie
A titre d’exemple, pas moins de trois barrages ont été installés le long du tronçon routier reliant le chef-lieu de la wilaya à Azazga, plus exactement au niveau des localités de Tamda, Taboukert et Chaïb. Des barrages qui ont tous l’air d’être permanents puisque il a été également procédé à l’installation en leur sein de guérites en dur. A Taha Bounan, à quelques encablures de Béni Douala, l’armée a aussi pris position. En outre des campements ont été également érigés ça et là à proximité de ces barrages et à travers le territoire de la wilaya. On parle, en somme de quelque 2 500 soldats qui auraient été affectés à Tizi. Par ailleurs, quelques régions ont connu un mouvement de redéploiement de ce corps sécuritaire. Le bataillon d’Aït Bouaddoun, par exemple, s’est installé au chef-lieu de daïra des Ouadhias d’autre installations militaires ont connu le même sort en se déplaçant dans des lieux jugés plus sensibles; A vrai dire c’est une large et vaste opération de redéploiement et de renforcement que l’ANP a opéré à Tizi-Ouzou.
Une opération que plus d’un attribue à la visite effectuée dernièrement par le chef de l’état-major des armées dans la wilaya. Il est vrai en fait, que ce mouvement a été enregistré au lendemain de cette visite qui serait, doit-on déclarer, conclue par plusieurs décisions de taille, concernant bien entendu la sécurité dans la capitale de Djurdjura. Des sources concordantes évoquent, en effet, l’imminent envoi des “unités spéciales” de l’armée dans la wilaya. “Cela interviendra après le mois de carême,” précisent nos sources. D’autres parlent aussi de l’idée de la réactivation des groupes d’auto défense (GLD), qui fait son petit bonhomme de chemin au sein des hautes sphères du pouvoir, nos informations affirment, à ce sujet qu’on est déjà en train de recruter pour former ces groupes.
Quoiqu’il en soit, ces manœuvres ont en tous cas pour objectif de sécuriser davantage Tizi, une wilaya épargnée par le passé et devenue “curieusement” le refuge préféré des groupes terroristes. Il est clair, en effet que le pouvoir veut frapper fort dans la lutte antiterroriste.
Tizi et le reste de la Kabylie (Bouira et Boumerdès notamment) en leur qualité de principal retranchement des hordes terroristes renferment le plus important nombre des éléments armées du “terrorisme résiduel”. Autrement dit si l’armée réussit à nettoyer les maquis de Tizi, elle enregistrera un grand coup dans la lutte contre les sanguinaires de l’ex-GSPC. Il faut dire que dans l’état actuel des choses, les terroristes continuent à sévir dans la wilaya de Tizi-Ouzou, et ce en dépit que cette dernière soit “intensément quadrillé”.
Les actes terroriste n’y manquent pas en effet, cela même si ces attaques ne sont pas aussi spectaculaires que celles qui “horrifiaient” la population kabyle il y a à peine quelques années. Avant-hier deux gardes communaux ont été assassinés à Tadmaït, quatre gendarmes ont été blessés dans une explosion à Azazga, une explosion du même genre a fait deux blessés parmi les paisibles citoyens à Boghni. La fin de la semaine écoulée a connu le kidnapping d’un jeune aux Ouadhias. A vrai dire, les terroristes continuent à sévir. Autrement dit, le renforcement des forces de l’ANP à Tizi-Ouzou ne peut que réjouir et rassurer, un tant soit peu, le citoyen en attendant de venir à bout de ce qui reste encore du “terrorisme résiduel” qui a trouvé ses marques à Tizi.
par la Dépêche de Kabylie
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