Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Plus de 1,7 million de quintaux de dattes attendus à Biskra

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Plus de 1,7 million de quintaux de dattes attendus à Biskra

    Plus de 1,7 million de quintaux de dattes attendus à Biskra
    Le maghreb 30-09-2008

    La production dattière attendue dans la wilaya de Biskra au terme de l'actuelle campagne de récolte dépassera 1,7 million quintaux, toutes variétés confondues, selon les prévisions de la Direction des services agricoles de la wilaya. Environ 65% de cette production sera composée de la variété Deglet nour, selon la même source, qui souligne que le patrimoine phoénicicole de la région se compose de 4,2 millions de palmiers dattiers dont 2,5 millions arbres producteurs. La variété Deglet nour compte, à elle seule, 2,4 millions de palmiers dont un million producteurs, précise-t-on. Plusieurs autres variétés de dattes, autres que la célèbre Deglet nour, sont produites dans la wilaya de Biskra comme Degla beidha, Sba' laârous, Deglet Ziane, Ghars et Rtab.

    Cette récolte s'ajoutera à celle de Ghardaïa pour constituer une production record par rapport aux années précédentes. Des régions productrices qui annoncent une bonne récolte, si l'on tient compte des prévisions annoncées. Plus de 400 000 quintaux de dattes sont attendus au titre de la campagne de cueillette qui débutera bientôt à Ghardaïa. Les prévisions tablent sur plus de 160 000 quintaux de Deglet nour et de 240 000 qx de dattes "Ghars", La récolte prévue dans la wilaya de Ghardaïa provient des palmeraies de Guerrerra, région située à 120 km au Nord-Est avec près de 90 000 quintaux, suivie d'El Ménea avec 80 000 quintaux. Considérée comme l'une des plus importantes zones productrices de dattes en Algérie avec 1 179 100 plants de palmiers dont 825 100 productifs, la wilaya de Ghardaïa espère réaliser, cette saison, une bonne récolte avec une hausse de plus de 50 000 quintaux par rapport à l'année précédente.

    Cependant, les conditions de stockage posent toujours problème, notamment pour le produit destiné à l'exportation. En effet, les conditions d'écoulement constituent de sérieuses contraintes que rencontre la commercialisation des dattes, Ces contraintes sont liées notamment au manque d'organisation du marché de ce produit et l'absence des points de stockage dont les chambres froides. Rappelons à ce propos que les pouvoirs publics ont mis en place, en 2007, un dispositif pour faciliter l'exportation des dattes.Appelé Couloir vert, ce dispositif vise à mettre un terme à tous les obstacles que rencontrent actuellement les exportateurs de ce produit, notamment en matière de transport. Ainsi, toutes les dispositions sont prises pour un acheminement rapide des quantités à exporter. Septième producteur mondial de dattes, l'Algérie exporte 15 000 tonnes chaque année vers tous les pays du monde via la France. La production de dattes devrait atteindre cette année 550 000 t contre 516 000 durant la campagne précédente.

    Selon le bilan du ministère de l'Agriculture, le potentiel de production phoenicicole s'est accru de 70% entre 1999 et 2006. L'Algérie compte 17 millions de palmiers, dont 6,5 millions produisant la variété Deglet nour.
    Dalila B.

  • #2
    C'est une véritable richesse, ces palmiers de Biskra, j'ai gouté aux dattes de Tolga (précisément Bordj Ben Azzouz) et je peux vous dire que c'est incomparable avec tout ce que nos marchés nous proposent.
    Ainsi va le monde

    Commentaire


    • #3
      Une opération expérimentale de plantation d'arganier au sud ouest algerien devrait à terme, combinées aux ressources de la région de Biskra, représenter une excellente source de devises.

      Tindouf - Lancement de plusieurs projets pour le développement de la culture de l'arganier
      Mercredi 25 juin 2008


      Plusieurs projets de plantation et de préservation de l'arganier ont été lancés dans la wilaya de Tindouf, a-t-on appris auprès des services de la Conservation des forêts de cette collectivité. Cette espèce d'arbre, qui joue un rôle important dans l'équilibre écologique voire économique de la région et qui produit une huile aux qualités gustatives et curatives reconnues, est menacée d'extinction par des aléas naturels et des actes de prédation, a indiqué le chef de service de développement des ressources et de préservation de la faune et la flore de la Conservation des forêts de cette wilaya. "Le secteur a accordé, cette année, une grande importance à la préservation de cette espèce végétale rare, endémique à cette wilaya du sud-ouest du pays", a souligné la même source. La Conservation des forêts a affecté, dans le cadre de la campagne de reboisement 2007-2008, un montant de 30 millions DA pour développer la culture de l'arganier qui a connu un net recul ces dernières années, en raison des conditions climatiques, de l'arrachage et du pacage illicites. Ce programme vise, dans sa première phase, la mise en terre de plants de cette espèce arboricole sur une superficie de 20 hectares, eu égard à l'expérience menée avec succès, il y a trois années de cela, au niveau de la pépinière de "Oued Djez" qui a permis la production de 3000 arbrisseaux d'arganier. Pour réussir ce programme, plusieurs opérations ont été enregistrées, à l'instar de la réalisation d'un forage hydraulique et de plusieurs bassins de retenue d'eau dans la région de "Oued El-Ma" qui compte une superficie arganière de 300 ha, avec une densité de 10 à 20 arbres/ha. L'arganier est considéré comme l'une des espèces les plus nobles de la région. L'huile extraite de ses fruits est utilisée dans des préparations pharmacologiques, l'industrie des cosmétiques et la gastronomie. Elle peut favoriser le développement de l'économie locale et nationale, a-t-on expliqué. La présence de l'arganier, une espèce rustique et "saponifére" dans la wilaya est jugée "faible" par les services de la Conservation des forêts, la majorité des arbres, parfois séculaires, étant signalés sur les berges de "Oued El-Ma". L'arganier, un arbre à feuilles caduques, ressemblant à l'olivier, fournit une essence de bois très robuste. Son tronc peut atteindre parfois un diamètre de 8 à 10 mètres. Ses feuilles et les coques de ses fruits, très riches en matières organiques, peuvent servir à l'alimentation du bétail, alors que son bois est considéré comme une essence noble, a-t-on expliqué. Dans le cadre du programme de développement rural, une étude de la Conservation des forêts a montré que l'intérêt économique de l'arganier réside essentiellement dans son huile qui peut favoriser l'installation d'une industrie spécialisée dans la région. L'utilisation de cette huile par la population locale a totalement disparue, ce qui a conduit les services concernés à envisager des projets de proximité, destinés à réhabiliter l'exploitation de cette richesse locale, a-t-on soutenu.



      Source Actu-Dz.com

      Commentaire


      • #4
        ça fait plaisir d'entendre ce genre d'infos, merci Jawzia
        Ainsi va le monde

        Commentaire


        • #5
          quand on parle d'export c'est vers la Tunisie ou c juste une légende?

          Commentaire


          • #6
            Incroyable ,pas un petit mot sur la patrie de l arganier par excellence ,ou sa culture et l 'extraction de l 'huile de l'arganier est une veritable petite industrie.

            Commentaire


            • #7
              quand on parle d'export c'est vers la Tunisie ou c juste une légende?
              il y a beaucoup de dattes en France dans les supermarchés qui viennent d'Algérie.
              Everyone thinks of changing the world, but no one thinks of changing himself

              Commentaire


              • #8
                Incroyable ,pas un petit mot sur la patrie de l arganier par excellence ,ou sa culture et l 'extraction de l 'huile de l'arganier est une veritable petite industrie.
                Pardonnes nous notre maladresse pour cet oubli .
                Je vais rectifier l’erreur.


                L'arganier (Argania spinosa) est un arbre endémique du Maroc(Dans la région du sud-ouest et en particulier la plaine du Souss) et de l’Algerie (dans la région de Tindouf sud-ouest du pays).la suite
                .


                Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

                Commentaire


                • #9
                  L'arganier est un arbre exclusif du Maroc et c'est pas parceque vous faites une "experience", terme prouvant que c'est inédit en Algerie que c'est devenu un arbre présent en Algerie.
                  Mais bon vu l'etat d'imitation auquel vous êtes arrivé pour vous construire une identité je comprend que vous soyez attiré par un pays comme le nôtre.

                  Si l'Alerie veux se lancer dans l'aranier, c'est bien, mais faudrai qu'elle s'inspire de la tradition marocaine et de l'expertise développée chez nous.

                  Commentaire


                  • #10
                    Maintenant les arbres respectent les frontieres.....

                    Commentaire


                    • #11
                      C'est pas qu'ils respectent les frontières mais un séquoïa c'est pas au Mali que tu va le trouver.
                      L'aranier est une espèce marocaine tres presente dans notre inconscient et mythologie.

                      Commentaire


                      • #12
                        Par contre, les bétises, c'est de l'exclusivité de certains !

                        Connais-tu l'Algérie sur le bout des doigts "Mr. je sais tout" ou est-ce que ....!?

                        tres presente dans notre inconscient et mythologie.
                        Parle pour toi et change mythologie par mythomanie et va reprendre ton biberon ! A défaut, prend ça !
                        La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

                        Commentaire


                        • #13
                          bedaoui l'arganier est une espece endemique au maroc et a l'algerie , et il peut etre cultivé partt où on prend la peine de le faire , il n'est pas estampillé maroc ds ses genes .. l'argania spinosa , comme d'ailleur le cedre de l'atlas , le cedrus atlantica se trouve au maroc et auss en algerie , l'arganier pousse ds la region de tindouf, il n'a pas l'importance economique en algerie qu'il a au maroc voilà tte la difference , comme le dattier il existe ausi au maroc mais en algerie c'est une richesse nationale contrairement au maroc où a culture est marginale .
                          en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

                          Commentaire


                          • #14
                            L'arganier est un arbre exclusif du Maroc et c'est pas parceque vous faites une "experience", terme prouvant que c'est inédit en Algerie que c'est devenu un arbre présent en Algerie.
                            Mais bon vu l'etat d'imitation auquel vous êtes arrivé pour vous construire une identité je comprend que vous soyez attiré par un pays comme le nôtre
                            .


                            Un autre malade...
                            Ils se multiplient ici, ma foi !...


                            Deglet Nour de Tolga, je l'achète ici à Montréal, 6 $ le kilo...
                            Je trouve qu'elle devrait être plus chère, vu sa qualité...
                            A Biskra, je l'ai payée 250 DA le kilo, il y a un an...

                            Commentaire


                            • #15
                              iwa a si bachi malek mremden?, tu perds aussi les pedales en insultant a gauche et a droite a ce que j´ai lu de tes interventions ces derniers temps...est ce du au ramadan (manque du noicotine) ou autre? si c´est l´effet du jeune, je te dit Mebrouk el3id et la hache se detterera aprs!

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X