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Rentrée scolaire à M’Sila : Une école récente risque l’effondrement
Cinq cent élèves et vingt enseignants vivent depuis septembre 2006 sous la menace de l’effondrement imminent de l’école primaire 924 dans la ville de M’sila, sans que les autorités de la wilaya daignent se manifester pour éviter une catastrophe qui s’avère inéluctable.
Cette école, inaugurée par le ministre de l’Education M. Benbouzid un certain 18 novembre 2000, n’en finit pas de subir les effets des affaissements successifs qui ont fait éclater les murs à différents endroits et faire basculer dangereusement toute une bâtisse d’un niveau, composée de 4 classes et du bureau de la direction en la détachant de l’ensemble des escaliers engendrant de fait des fissurations à travers l’ensemble des constructions.
L’état de délabrement de cette école, dont l’existence ne dépasse pas huit années, inaugurée en grande pompe le 18 novembre 2000, transparaît à l’entrée de l’établissement où une partie du mur de clôture s’écarte de l’ensemble et s’incline dangereusement vers l’extérieur et peut à tout moment se coucher et écraser des enfants. A notre arrivée en cette journée de Ramadhan, les fissurations, stigmatisant les différentes bâtisses de l’établissement rappelant l’imminence de la survenance du danger, n’en finissent pas de susciter continuellement de l’effroi parmi les enseignants dont certains refusent formellement de dispenser leurs cours dans ces classes.
« On est terrorisés, nous dira une enseignante, à l’idée de rejoindre cette école qui peut à tout instant s’écrouler ». Faudrait-il un effondrement de l’établissement avec mort d’homme pour qu’on réagisse, s’interroge-t-on au niveau de cette école. Le wali de M’sila était au courant de l’état de cette école, nous dit-on, pour avoir organisé la rentrée scolaire officielle de l’année 2006/2007. Des rapports relatant le caractère dangereux dans lequel se trouve cette école, transmis sans discontinuité aux autorités administratives et techniques depuis au moins 2006, s’apparentent à d’interminables litanies qui n’ont rien solutionné, sauf quelques visites de constat au niveau de l’établissement et rien de plus. D’aucuns diront que cette école a été réalisée sans études de sols.
El Watan
Cinq cent élèves et vingt enseignants vivent depuis septembre 2006 sous la menace de l’effondrement imminent de l’école primaire 924 dans la ville de M’sila, sans que les autorités de la wilaya daignent se manifester pour éviter une catastrophe qui s’avère inéluctable.
Cette école, inaugurée par le ministre de l’Education M. Benbouzid un certain 18 novembre 2000, n’en finit pas de subir les effets des affaissements successifs qui ont fait éclater les murs à différents endroits et faire basculer dangereusement toute une bâtisse d’un niveau, composée de 4 classes et du bureau de la direction en la détachant de l’ensemble des escaliers engendrant de fait des fissurations à travers l’ensemble des constructions.
L’état de délabrement de cette école, dont l’existence ne dépasse pas huit années, inaugurée en grande pompe le 18 novembre 2000, transparaît à l’entrée de l’établissement où une partie du mur de clôture s’écarte de l’ensemble et s’incline dangereusement vers l’extérieur et peut à tout moment se coucher et écraser des enfants. A notre arrivée en cette journée de Ramadhan, les fissurations, stigmatisant les différentes bâtisses de l’établissement rappelant l’imminence de la survenance du danger, n’en finissent pas de susciter continuellement de l’effroi parmi les enseignants dont certains refusent formellement de dispenser leurs cours dans ces classes.
« On est terrorisés, nous dira une enseignante, à l’idée de rejoindre cette école qui peut à tout instant s’écrouler ». Faudrait-il un effondrement de l’établissement avec mort d’homme pour qu’on réagisse, s’interroge-t-on au niveau de cette école. Le wali de M’sila était au courant de l’état de cette école, nous dit-on, pour avoir organisé la rentrée scolaire officielle de l’année 2006/2007. Des rapports relatant le caractère dangereux dans lequel se trouve cette école, transmis sans discontinuité aux autorités administratives et techniques depuis au moins 2006, s’apparentent à d’interminables litanies qui n’ont rien solutionné, sauf quelques visites de constat au niveau de l’établissement et rien de plus. D’aucuns diront que cette école a été réalisée sans études de sols.
El Watan
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