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Le patron de Microsoft, le sensible et délicat Steve Ballmer, a annoncé hier que la crise financière mondiale toucherait de nombreuses sociétés, même l’invulnérable Microsoft.
S. Ballmer a rappelé que Microsoft était à la fois en affaires avec le marché des entreprises et le marché de la grande consommation et que, quoiqu’il arrive, la société serait forcément touchée par la crise.
Microsoft dispose tout de même de suffisamment de ressources pour éviter la faillite.
Mais Steve Ballmer pense que moins on fait d’argent, moins on peut emprunter, ce qui ne sent jamais très bon.
Après une douloureuse chute du cours de l’action lundi, le titre Microsoft a repris 3.3% hier à 25.84$ après un rebond global des marchés américains.
Du point de vue des investisseurs, le discours de S. Ballmer sonne comme l’annonce de revenus toujours en baisse chez Microsoft.
Steve Ballmer espère que les affaires vont se redresser d’ici la fin de la semaine, probablement parce que l’espoir fait survivre.
Les marchés ont plongé lundi après le refus des Représentants d’apporter 700 milliards de dollars d’aide au secteur financier, mais se sont redressés par la suite.
Traduction et adaptation d’un article d’Emma Hughes pour INQ.
- theinquirer.fr
S. Ballmer a rappelé que Microsoft était à la fois en affaires avec le marché des entreprises et le marché de la grande consommation et que, quoiqu’il arrive, la société serait forcément touchée par la crise.
Microsoft dispose tout de même de suffisamment de ressources pour éviter la faillite.
Mais Steve Ballmer pense que moins on fait d’argent, moins on peut emprunter, ce qui ne sent jamais très bon.
Après une douloureuse chute du cours de l’action lundi, le titre Microsoft a repris 3.3% hier à 25.84$ après un rebond global des marchés américains.
Du point de vue des investisseurs, le discours de S. Ballmer sonne comme l’annonce de revenus toujours en baisse chez Microsoft.
Steve Ballmer espère que les affaires vont se redresser d’ici la fin de la semaine, probablement parce que l’espoir fait survivre.
Les marchés ont plongé lundi après le refus des Représentants d’apporter 700 milliards de dollars d’aide au secteur financier, mais se sont redressés par la suite.
Traduction et adaptation d’un article d’Emma Hughes pour INQ.
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