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Tunisie : Un projet aéronautique de 1Milliard de $ à Tabarka.

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  • Tunisie : Un projet aéronautique de 1Milliard de $ à Tabarka.

    Un groupe américano-koweïtien devrait prochainement s’installer à Tabarka (Ville touristique à extrême Nord de la Tunisie), pour travailler dans le secteur de la maintenance aéronautique. C’est ce qu’à révélé Abderrahim Zouari, ministre tunisien du transport en début de semaine à l’occasion d’un séminaire sur l’emploi.

    Toujours selon la même source, ce groupe compte faire un investissement d’une valeur de 1 Milliard DT, pour la construction d’une importante unité de maintenance des gros avions, dans l’environnement immédiat de l’aéroport international de Tabarka. Cet investissement pour lequel le groupe étranger a déjà fait les déclarations nécessaires depuis mars derniers, se fera en plusieurs phases dont la première nécessitera 120 MDT d’investissement.

    africanmanager

  • #2
    beau projet. la concurrence dans l'aéronautique entre rabat et tunis sera féroce

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    • #3
      beau projet. la concurrence dans l'aéronautique entre rabat et tunis sera féroce
      ... avec un grand vide au milieu ! où sont les plans algeriens dans ce secteur

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      • #4
        ces sont les investiss attirés par le projet airbus ..!

        c'est bon tolkien: les mig, sukhoie, fernas ..etc






        ps: je ne fais que plaisanter

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        • #5
          avec un grand vide au milieu ! où sont les plans algeriens dans ce secteur
          Je pense que le plus grand grand centre de minatenance d'avion en afrique se trouve à Alger. Sans publicité.

          http://www.elwatan.com/Dans-les-atel...Air-Algerie-la
          « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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          • #6
            tout ce tire et c'est pas encore de la pub
            c'est une pub mais à vocation nationale, un journal étranger n'en dirait pas autant, je sais bien ce que je dis parce que j'ai un proche dans le domaine de la NDT
            Dernière modification par Smarmalla9, 07 octobre 2008, 01h51.

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            • #7
              je pense que la "pub" il y a surement mais sans vrm en avoir le mérite, je sais parce que j'ai de la famille dans le domaine de la NDT
              continue à faire des effets d"annonces et des BP pour PME pour ton pays.. ca te fera avancer c'est certain...

              Avec un savoir au ras des pâquerettes, le seul BP ou plutot progarmme c'ets dans le savoir qu'il faut le faire, et autant commencer par le plus simple et dans ton cas c'est dans l'alphabétisation.




              « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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              • #8
                Pour rester dans le sujet

                Dans les ateliers d’Air Algérie, la plus importante base de réparation et d’entretien d’Afrique : La maintenance, combien ça coûte ?



                Nous nous sommes retrouvés subito presto face à un énorme blockhaus blindé servant d’atelier de réparation d’avions. Les anciens chantiers, déjà envahis par la rouille, se dressent encore lamentablement sur les lieux tels de vieilles cabanes du Far West. A quelques encablures de cette immense ferraille, l’ancienne flotte d’Air Algérie, parquée soigneusement près des vieux garages, attendait encore désespérément preneur. Elle a fait couler tellement d’encre.


                Nous sommes sur les chantiers de maintenance et de réparation de la compagnie Air Algérie, un lieu minutieusement surveillé et classé « zone interdite ». C’est sur la piste d’atterrissage que démarrent les premières besognes de maintenance. Sur place, des techniciens sont cloués au sol à l’arrivée et au départ de chaque avion. Histoire de vérifier les essais de vol avant le décollage et de détecter d’éventuelles anomalies d’ordre technique après chaque atterrissage. Dans les différentes escales de la compagnie publique Air Algérie, quelque 1400 techniciens sont chargés de cette dure mission de vérification et de réparation au décollage et à l’atterrissage de chaque avion d’Air Algérie. Ils sont les premiers responsables censés certifier le bon état de ces monstres métalliques.
                Des chartes de partenariat liaient les différentes compagnies aux fins d’assurer les besognes de maintenance et de réparation au niveau des escales non couvertes. A l’aéroport d’Alger, Egypte Air, à titre indicatif, travaille en partenariat avec Alitalia, tandis que Air France charge les techniciens d’Air Algérie d’assurer toutes les activités de maintenance « en ligne » et de certifier le bon état des aéronefs. Nous nous sommes postés près du parking moyen porteur de l’aéroport d’Alger, accompagnés du directeur technique adjoint, chargé de la maintenance en ligne, M. Doughmane. Nous observons émerveillés le va-et-vient de Mohamed Salim Kechroud, technicien supérieur à Air Algérie, chargé de vérifier, ce jour-là, un ATR qui vient de débarquer. Ses moteurs vrombissaient toujours, ne laissant aucune chance d’espionner le technicien et le commandant de bord qui échangeaient possiblement des recommandations exclusivement techniques.
                Au stationnement de l’avion, celui-ci est doté immédiatement d’un groupe électrogène pour l’alimenter continuellement. Le technicien effectue ensuite la transition extérieure avant de jeter un coup d’œil sur le CRM (manuel avion) sur lequel sont rédigées d’éventuelles anomalies détectées au cours du vol. C’est à ce niveau que le technicien peut évaluer le degré des anomalies observées et décider les réparations nécessaires. Il y va de la sécurité du passager et de l’aéronef. Ceci est le slogan préféré de tous les responsables de la compagnie publique Air Algérie. Après une brève discussion avec le commandant de bord, M. Kechroud, sous un soleil de plomb, s’affaire à analyser les anomalies mentionnées dans le CRM. « Il y a trois anomalies détectées en cours du voyage. Donc cela nécessitera soit d’apporter des réparations en ligne ou bien de déplacer l’aéronef à la base de maintenance », nous explique-t-il sous le regard attentif du directeur technique adjoint, chargé de la maintenance en ligne. Nous quittons « la piste » pour nous rendre, sans retard, à l’immense base de maintenance et de réparation. On dit que c’est « la première » sur le continent africain en termes de capacité.
                Chez les mécanos
                Au niveau de chaque poste de surveillance, l’on demande continuellement les motifs de notre présence. « C’est pourquoi nous avons décidé de vous accompagner dans votre mission », se permet de se justifier un agent de l’IGF (Inspection générale des finances). M. Doughmane, directeur technique adjoint, chargé de la maintenance en ligne nous fait savoir qu’il existe, en conclusion, deux types d’entretien. Il s’agit, primo, de la maintenance « en ligne » pendant l’exploitation des aéronefs, et, secundo, de l’entretien planifié qui, en quelque sorte, nécessite habituellement le déplacement des avions à la base de maintenance et de réparation. Rencontré sur place, Sofiane Bouchouchi, directeur technique adjoint, département Production Avions, nous apprend que le support industriel de la base de maintenance est composé de quelque 1500 à 2000 outils différents. Avant de prendre le chemin à destination de la base de maintenance, M. Doughmane, notre guide, désormais épaulé non seulement par un agent de l’IGF, mais aussi par Sofiane Bouchouchi et M. K. Lamari, directeur technique adjoint, chargé de la production moteurs et équipements, nous propose de faire escale à sa nouvelle direction en cours de construction. Cette nouvelle infrastructure est équipée d’une salle dite des opérations.
                « Nous pouvons suivre l’avion dès son décollage jusqu’à toutes les escales couvertes par la compagnie et rester ainsi en contact permanent avec l’équipage. Histoire de réceptionner d’éventuelles anomalies et donner les instructions nécessaires », nous dira encore M. Doughmane. Nous reprenons à nouveau le chemin, et l’immense garage d’avions s’approche à pas de géant. Pour les besoins de préparer la saison estivale, 10 avions d’Air Algérie étaient en maintenance en juin dernier. Deux autres appareils, dont l’un d’entre eux appartient aux forces aériennes et l’autre à Air Libya, étaient également parqués à l’intérieur de la base pour des besoins de réparation. Actuellement, la base est en train de vivre une « période creuse », excepté un ATR, un avion d’Air Libya et un autre appartenant à l’armée de l’air. A l’intérieur, c’est un véritable chantier de ferraille. Des avions complètement mis à nu, d’énormes pièces à terre, une armée de techniciens s’adonnant à un cycle de va-et-vient perpétuel. « Toute réparation faite doit être signée par le technicien et l’inspecteur », souligne M. Bouchouchi, directeur technique adjoint, Production Avions.
                L’appareil d’Air Libya est carrément éventré et refait à neuf. Il coûtera environ 1 million de dollars si l’on se réfère aux prévisions de M. Bouchouchi. Chaque aéronef nécessite environ 600 à 700 demandes supplémentaires de travaux de réparation. La base de maintenance et de réparation se compose de 4 départements, dont chacun est doté de 5 à 6 grands ateliers. Le département dit « production moteurs et équipements » est l’un des plus importants de la base. Deux principes à retenir : au banc d’essai, les moteurs sont acheminés soit pour réparation, soit pour recherche d’anomalies détectées durant l’exploitation. C’est ce que nous explique M. Lamari, le directeur adjoint, chargé de ce département. Son atelier est équipé d’une cellule Shaft, destinée au traitement des moteurs turbo, mais aussi d’une cellule Jet-sell (réacteurs). Chaque moteur coûte dans les 8 millions de dollars. C’est pourquoi, le gros budget de la compagnie Air Algérie est alloué au département de la maintenance et de la réparation. Le budget absorbé dans le cadre de l’entretien de l’ancienne flotte demeure encore secret. Aucune information ne nous a été fournie à ce sujet.



                Par Ali Titouche
                « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                • #9
                  Donc on va dire et pour simplifier que air algérie a lancé cette base de maintenace pour optimiser ses couts; et elle a déjà une longeur d'avance sur la sous-traitance. L'investissement a déjà été réalisé.

                  Vous vous êtes lancés dans la sous-traitance avec des compagnies étrangères et d’autres nationales, pouvez-vous nous en parler ?
                  Nous venons à peine de débuter dans la sous-traitance. Les Libyens sont nos premiers clients et nous misons sur un autre potentiel à Oman. Nous avons décidé d’aller négocier le marché avec eux en septembre. Il existe d’autres potentiels chez les Soudanais, bien qu’ils passent une période de turbulences sur le plan politique, mais aussi chez d’autres compagnies, à l’instar de Tassili Airlines. Pour le moment, nous ne trouvons pas encore d’interlocuteurs, car les responsables de cette compagnie sont des intérimaires, mais nous comptons bien réussir le marché avec eux. Notre deuxième client est le ministère de la Défense nationale et nous avons actuellement un avion des forces militaires en chantier dans notre base de maintenance. Nous avons déjà conclu avec le ministère de la Défense nationale un contrat de deux ans et ils sont actuellement en train de préparer un nouveau cahier des charges sur une période de cinq ans. Il y a une sérieuse volonté chez les responsables du département de la Défense nationale d’aller encore plus loin avec notre compagnie. Le simple partenariat en projet avec le ministère de la Défense nationale nous permettra de fonctionner à plein régime. Pour résumer, il est à retenir que notre mission consiste à s’occuper, en premier lieu, de la flotte d’Air Algérie qui nécessite à la fois une maintenance en ligne et une maintenance préventive, mais nous faisons aussi de la sous-traitance avec d’autres clients et compagnies.
                  Y a-t-il des changements en perspective ?
                  En un mot, je peux vous dire que nous avons un très bon outil de production et la plus grande base africaine, reconnue mondialement, mais nous ne savons pas encore vendre l’image. Je peux vous annoncer qu’un plan de communication se prépare au niveau de notre département, destiné au grand public mais surtout aux clients potentiels.
                  « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                  • #10
                    Y a-t-il des changements en perspective ?
                    En un mot, je peux vous dire que nous avons un très bon outil de production et la plus grande base africaine, reconnue mondialement, mais nous ne savons pas encore vendre l’image. Je peux vous annoncer qu’un plan de communication se prépare au niveau de notre département, destiné au grand public mais surtout aux clients potentiels.
                    Voilà,

                    et si des gens ne connaissant rien au domaine habitués à tirer des cables tache qu'on peut confier facilement à des poissions rouges, viennent nous dire qu'ils ont inventé la poudre ça laisse moqueur forcément....




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                    • #11
                      qu'est ce que tu kharab9 l'ami? tout le monde ne souffre pas de chauvinisme le sais-tu ?

                      cet article c'est du n'importe quoi, mais vrm ..!
                      j'ai parlé en connaissance de cause, tu veux que je détaille mes pensées, ben te voilà servi:
                      des promos d'air algerie qui passent des stages à la ram academy, cela ne date pas d'hier
                      des techniciens avec des certifications particulières, comme le jar, qui vont pour des missions speciales a alger, sur les frais d'air algerie, non plus
                      je te dis que j'ai un proche qui fait l'NDT

                      même pour un non connaisseur il s'en douterait, wech une compagnie de rien aura le meilleur centre...hum humm.. pour la consommation interne wé
                      c'est pour cela qu'on ne libère le champs médiatique pour vous bourrer de la consommation interne
                      Dernière modification par Smarmalla9, 03 octobre 2008, 20h58.

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                      • #12
                        cet article c'est du n'importe quoi, mais vrm ..!
                        j'ai parlé en connaissance de cause, tu veux que je détaille mes pensées, ben te voilà servi:
                        des promos d'air algerie qui passent des stages à la ram academy, cela ne date pas d'hier
                        C'est plutot intelligent de leur part.... on va pas mettre 50 millions de dollars dans un simulateur de vols alors qu'il y en a un à casablanca!!!! ca coute moins cher que de les envoyer à seattle. Réfléchis un peu.

                        mais toi tu l'appelles ram acadmy t'as inventé la poudre, un simulateur de vols mon cher...

                        La maintenance des avions de la RAM ca se passe ou? on désosse ou les avions?entièrement à casa? ça coute combien?








                        « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                        • #13
                          Bledard

                          Ce journaliste doit avoir ,pour la première fois , mis ses pieds dans un atelier de réparation aéronautique d'où son ébahissement.

                          Il suffit de lire ceci pour comprendre que le titre D'Al Watan est pompeux car en Afrique on fait mieux.

                          (.....)-Vous vous êtes lancés dans la sous-traitance avec des compagnies étrangères et d’autres nationales, pouvez-vous nous en parler ?

                          -Nous venons à peine de débuter dans la sous-traitance. Les Libyens sont nos premiers clients et nous misons sur un autre potentiel à Oman.


                          Car le Maroc déjà sous-traite avec des géants comme Eads, Snecma, Safran, Boeing et non avec la Libye et Oman.

                          http://www.animaweb.org/actu-detail.php?actu=2550

                          http://www.aeronautique.ma/Une-usine...lanca_a26.html

                          L'Afrique du Sud ,l'Egypte , la Tunisie doivent faire de même.

                          Restons plutot sur le cas tunisien ( objet du topic) qui parait intéressant.

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                          • #14
                            mon ami bledard, j'ai déjà passé un stage carrément chez la ZIRAM (zone industrielle de la RAM) elle est à coté de l'aéroport mohamed5 a nouacer, c'est elle qui s'occupe de la maintenance et réparation, cette zone abrite également la filiale du groupe SAfran "SMES" (snecma morocoo engine services) spécialisée dans la réparation et maintenance des moteurs, elle est détenue 51% par safran, 49% par la RAM

                            quant à la ram academy, c'est une filiale du groupe royal air maroc qui s'occupe de la formation: des techniciens, pilotes, hôtesses et stewards ..Etc

                            je te le dis pour que tu fasses distinction entre les deux structures ...

                            air algerie recours aux deux structures, le pole de formation pour son personnel et la ZIRAM pour inviter des techniciens ayant certaines certifications (soit du groupe EDAS, boieng, ou même iso), dont ne dispose pas beaucoup de compagnies aériennes, pour des missions d'audits et pilotage
                            celles de boieng sont les plus recherchées

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                            • #15
                              le plus grand grand centre de minatenance d'avion
                              oui ça je savais mais un centre de maintenance c'est pas pareil qu'un usine de production, ou tu aura des dizaines de metiers représentés, où y'aura des ingenieurs aéronautique d'airbus qui apprendront à de jeune tunisiens et marocains à travailler sur tel ou tel aspect de l'aeronautisme !

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