Projet du complexe d'aluminium de Béni-Saf
En marge de la visite d'inspection qu'il a effectuée samedi à Oran, le ministre de l'Energie et des Mines, M. Chakib Khelil, a indiqué que suite aux instructions récentes du chef de l'Etat, Sonatrach va rediscuter son niveau de participation dans le projet de réalisation d'un complexe d'aluminium à Béni-Saf avec ses partenaires, le consortium émirati Mubadala-Dubal.
Pour rappel, les pouvoirs publics ont entamé une refonte de tout le processus d’investissement. Celui-ci, critiqué en termes acerbes par le chef de l'Etat lors de son discours devant les élus locaux, a été revu et corrigé à travers une nouvelle série de mesures, notamment celle relative aux projets d'investissement impliquant des capitaux étrangers dans lesquels l'Algérie entend, à l'avenir, détenir la majorité du capital.
C'est dans ce cadre que des discussions vont être entreprises avec le partenaire émirati pour revoir les niveaux de participation de chacun dans le projet.Il faut dire que depuis l'annonce du projet, la répartition du capital de l'aluminerie entre les Algériens (30%) et les Emiriens (70%) a été pointée du doigt.
En marge de la visite d'inspection qu'il a effectuée samedi à Oran, le ministre de l'Energie et des Mines, M. Chakib Khelil, a indiqué que suite aux instructions récentes du chef de l'Etat, Sonatrach va rediscuter son niveau de participation dans le projet de réalisation d'un complexe d'aluminium à Béni-Saf avec ses partenaires, le consortium émirati Mubadala-Dubal.
Pour rappel, les pouvoirs publics ont entamé une refonte de tout le processus d’investissement. Celui-ci, critiqué en termes acerbes par le chef de l'Etat lors de son discours devant les élus locaux, a été revu et corrigé à travers une nouvelle série de mesures, notamment celle relative aux projets d'investissement impliquant des capitaux étrangers dans lesquels l'Algérie entend, à l'avenir, détenir la majorité du capital.
C'est dans ce cadre que des discussions vont être entreprises avec le partenaire émirati pour revoir les niveaux de participation de chacun dans le projet.Il faut dire que depuis l'annonce du projet, la répartition du capital de l'aluminerie entre les Algériens (30%) et les Emiriens (70%) a été pointée du doigt.
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