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Vendredi une femme d'origine camerounaise s'est immolé dans le Palais de justice de rouen et a grièvement brulée une gréffière.
C'est un fait divers peu commun. bien que je conserve encore en mémoire des cas d'immolation d' algérien l'année dernière qui avait agit ainsi par désespoir. Mais là c'est totalement différent, Je ne sais pas quel est ce désespoir ou cette colère qui peut conduire une personne à accomplir un tel geste. C'est atroce de périr carbonisé.
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La femme qui s'est immolée par le feu, Thérèse X., était placée sous contrôle judiciaire comme complice de son mari dans une affaire d'escroquerie. Elle souhaitait que ce contrôle soit levé pour pouvoir se rendre au Canada, a précisé le procureur de Rouen, Joseph Schmidt.
Lorsque la greffière lui a appris vendredi matin qu'elle ne pouvait quitter le territoire, elle a quitté le bureau du secrétariat de l'instruction puis est revenue vers 11h30 avec un bidon d'essence dont elle s'est aspergée avant de mettre le feu.
Entendant des hurlements, un avocat, Me Frédéric Caulier, s'est précipité vers le bureau, a aperçu la greffière entourée de flammes qu'il a pu éteindre avec sa robe.
La greffière, gravement brûlée aux bras et au thorax, a pu seulement lui dire qu'elle avait été "agressée", a rapporté Me Pascale Badina, bâtonnier du barreau de Rouen.
Le corps carbonisé de Thérèse X. a été retrouvé dans le bureau.
Lors de sa visite, Pascal Clément a réuni l'ensemble des magistrats et des fonctionnaires du tribunal de grande instance.
Il leur a assuré que des mesures étaient à l'étude pour renforcer les mesures de sécurité dans le tribunal, a rapporté le délégué régional du syndicat de la magistrature, Jacques Viltingot.
Le garde des Sceaux s'est ensuite rendu au chevet de la greffière au CHU de Rouen.
Source :l'express
C'est un fait divers peu commun. bien que je conserve encore en mémoire des cas d'immolation d' algérien l'année dernière qui avait agit ainsi par désespoir. Mais là c'est totalement différent, Je ne sais pas quel est ce désespoir ou cette colère qui peut conduire une personne à accomplir un tel geste. C'est atroce de périr carbonisé.
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La femme qui s'est immolée par le feu, Thérèse X., était placée sous contrôle judiciaire comme complice de son mari dans une affaire d'escroquerie. Elle souhaitait que ce contrôle soit levé pour pouvoir se rendre au Canada, a précisé le procureur de Rouen, Joseph Schmidt.
Lorsque la greffière lui a appris vendredi matin qu'elle ne pouvait quitter le territoire, elle a quitté le bureau du secrétariat de l'instruction puis est revenue vers 11h30 avec un bidon d'essence dont elle s'est aspergée avant de mettre le feu.
Entendant des hurlements, un avocat, Me Frédéric Caulier, s'est précipité vers le bureau, a aperçu la greffière entourée de flammes qu'il a pu éteindre avec sa robe.
La greffière, gravement brûlée aux bras et au thorax, a pu seulement lui dire qu'elle avait été "agressée", a rapporté Me Pascale Badina, bâtonnier du barreau de Rouen.
Le corps carbonisé de Thérèse X. a été retrouvé dans le bureau.
Lors de sa visite, Pascal Clément a réuni l'ensemble des magistrats et des fonctionnaires du tribunal de grande instance.
Il leur a assuré que des mesures étaient à l'étude pour renforcer les mesures de sécurité dans le tribunal, a rapporté le délégué régional du syndicat de la magistrature, Jacques Viltingot.
Le garde des Sceaux s'est ensuite rendu au chevet de la greffière au CHU de Rouen.
Source :l'express
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