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Dix milliards de dinars pour la culture chaque année

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  • Dix milliards de dinars pour la culture chaque année

    Au cours d'une réunion restreinte, le secteur de la culture a été passé en revue. Bouteflika s'est montré satisfait des progrès enregistrés en tenant à restituer «l'action appréciable menée par le secteur en matière de création d'infrastructures et de soutien à la production culturelle...». Par chapitre, le Président a abordé la question du livre et la lecture publique.
    Tout en relevant les efforts accomplis dans ce domaine au cours de ces dernières années, il a fait remarquer que «l'édition doit être un vecteur pilote de l'émergence des industries culturelles», avant de rappeler que «la promotion du livre en tant que produit culturel doit tenir compte de la prégnance de plus en plus grande de la télévision et de l'Internet». Au plan des industries culturelles, le chef de l'Etat a estimé que pour mener à bien le programme de leur mise en place, «il s'agit de renforcer et élargir la formation dans les métiers qui sont nécessaires à leur expansion et à leur consolidation».

    En matière de perspectives de la promotion culturelle, le chef de l'Etat a instruit le gouvernement à lui accorder davantage d'attention. Il a déclaré à cet effet: «Notre pays a investi d'importantes ressources dans le développement des infrastructures culturelles qui doivent être valorisées au service de la production culturelle. Nous avons également réhabilité les festivals culturels dans diverses disciplines. C'est donc sur ces fondements solides que nous aurons à encourager davantage la promotion et l'émulation entre nos artistes».
    «L'Algérie contemporaine est ouverte sur un monde où la compétition domine dans tous les domaines. Notre nation doit y tenir sa place en s'en donnant les moyens, notamment, en oeuvrant à enraciner notre jeunesse dans notre identité nationale dont la culture demeure un grand atout. Nous devons également poursuivre notre apport à nos espaces culturels et spirituels. C'est dans cet esprit que se place l'organisation à Alger du Festival culturel panafricain en juillet 2009".

    Dans son exposé, Mme Toumi a notamment fait ressortir les efforts consentis par l'Etat en faveur de la culture, en illustrant par les montants annuellement investis dans le secteur et qui ont été multipliés par quatre au cours de cette décennie. A titre d'exemple, dira la ministre, le budget d'équipement du secteur, qui était de moins de 2 milliards DA en 1999, totalise pour la période 2000-2009, une enveloppe financière de 90 milliards DA, soit 10 milliards par an. A cela s'est ajoutée l'augmentation du budget de fonctionnement qui est passé de 4 milliards DA en 1999 à près de 15 milliards DA en 2009. Au titre des réalisations effectuées durant la période 2005-2007, la ministre a relevé que 123 projets ont été réalisés.
    Enfin au titre des prévisions pour 2008-2009, il est attendu la réception de 438 autres projets.

    - Le Quotidien d'Oran

  • #2
    " la gestion de la culture par madame toumi ne laissera de traces que dans les ciasses de l'etat"

    dixit l'ecrivain ahlam moustaghanmi

    je suis d'accord..un ministre qui ne connait de la culture algerienne que les "restes" issues de la colonisation française...a quoi s'attend bouteflika??
    « Puis-je rendre ma vie
    Semblable à une flûte de roseau
    Simple et droite
    Et toute remplie de musique »

    Commentaire


    • #3
      C'est-à-dire Tamerlan? Quels sont ces restes?
      Tu aurais critiquer la mauvaise gestion culturelle j'aurais applaudi! Tu critiques la francophonie, je ne suis pas d'accord!
      C'est quoi ce délire sur les restes? Les ruines romainess laissées à l'abandon?

      Commentaire

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