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"Barack Obama" n'a pas porté chance aux Brésiliens lors des municipales
SAO PAULO, Brésil - "Barack Obama" n'a pas porté chance aux Brésiliens lors des municipales. Au moins huit homonymes du candidat démocrate américain à l'élection présidentielle du 4 novembre ont perdu dimanche au Brésil.
Peut-être que s'ils avaient choisi "John McCain", ils auraient eu plus de chance, ironisent les commentateurs. Dans les plus de 5.000 villes en jeu, la loi électorale permet aux candidats de choisir le nom sous lequel ils se présentent, tant que celui-ci ne porte pas préjudice.
Certains candidats avaient même opté pour le nom du Français "Zinedine Zidane" ou pour celui de "Ben Laden", mais personne n'avait inscrit celui du candidat américain républicain "John McCain".
Pour autant, les perdants de "Barack Obama" n'entendent pas renoncer, "non seulement parce que j'ai de l'admiration pour lui, mais aussi parce qu'il est le surnom que le peuple m'a donné. C'est ainsi que tout le monde me connaît," a expliqué le candidat Dos Anjos.
Ce sont des opportunistes qui tentent de se rendre ainsi plus populaires, selon David Fleischer, professeur à l'Université de Brasilia.
Le Parti des travailleurs du président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva a gagné du terrain lors de ces élections locales
Sont fous ces brésiliens
Peut-être que s'ils avaient choisi "John McCain", ils auraient eu plus de chance, ironisent les commentateurs. Dans les plus de 5.000 villes en jeu, la loi électorale permet aux candidats de choisir le nom sous lequel ils se présentent, tant que celui-ci ne porte pas préjudice.
Certains candidats avaient même opté pour le nom du Français "Zinedine Zidane" ou pour celui de "Ben Laden", mais personne n'avait inscrit celui du candidat américain républicain "John McCain".
Pour autant, les perdants de "Barack Obama" n'entendent pas renoncer, "non seulement parce que j'ai de l'admiration pour lui, mais aussi parce qu'il est le surnom que le peuple m'a donné. C'est ainsi que tout le monde me connaît," a expliqué le candidat Dos Anjos.
Ce sont des opportunistes qui tentent de se rendre ainsi plus populaires, selon David Fleischer, professeur à l'Université de Brasilia.
Le Parti des travailleurs du président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva a gagné du terrain lors de ces élections locales
Sont fous ces brésiliens