Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Rachida Dati: "Laporte est allé trop loin"

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Rachida Dati: "Laporte est allé trop loin"

    Pour Rachida Dati, Bernard Laporte est allé trop loin! La ministre de la Justice n'aurait pas du tout apprécié le comportement de Bernard Laporte, secrétaire d’Etat en charge des Sports.

    Dimanche à Paris, au cours d'une cérémonie sur le Champ-de-Mars à laquelle elle assistait en sa qualité de maire du VIIe arrondissement, le secrétaire d'État aux Sports avait affirmé en public qu'il n'était pas «le père de l'enfant que porte Rachida». La vidéo montrant le secrétaire d’Etat en train de plaisanter à ce sujet à créer un véritable buzz sur Internet, allant même jusqu’à entraîner une réaction de la part de BHL, qualifiant Laporte de « porc ».

    Choquée par l’attitude de l’ancien entraîneur du Quinze de France, Rachida Dati n’aurait pas tardé à s’exprimer sur ce sujet. Bernard Laporte "est allé trop loin" et son propos est "particulièrement déplacé", aurait estimé la garde des Sceaux. Quoiqu’il en soit, le secret est toujours bien gardé.


    source yahoonews

    Quel bourrin ce Laporte, sa sent la blague de vestiaire ou de troisiéme mi temps :22:
    « Ça m'est égal d'être laide ou belle. Il faut seulement que je plaise aux gens qui m'intéressent. »
    Boris Vian

  • #2
    je pensais que le pere de cet enfant etait AZNAR, l.ex premier ministre espanol.
    عيناك نهر من جنون... عيناك أرض لا تخون

    Commentaire


    • #3
      a ce qu'il parait elle est enceinte d'une fille

      Commentaire


      • #4
        oui une petite fille

        Rachida Dati est agacée... sa petite fille lui donne-t-elle des coups de pied ??

        Hier, au ministère de la Justice, à l'occasion de l'installation du service d'aide au recouvrement des victimes d'infractions, la petite fille qu'attend Rachida Dati pour le mois de janvier avait l'air de bouger beaucoup et même de donner des coups de pied à sa maman ! Elle avait l'air moins sereine que d'habitude la future maman, un peu boudeuse même...


        Alors que Bernard Laporte avait déclaré dimanche, à l'issue d'un discours officiel : "Je tenais à dire que je ne suis pas le père de l'enfant que porte Rachida", et que notre Garde des Sceaux avait étouffé un rire, Le Figaro, dans ses confidentiels de ce matin, dit que le secrétaire d'Etat aux sports est allé trop loin, et qu'il aurait tenu des "propos déplacés", selon Rachida Dati. Ils sont très amis pourtant, ces deux-là... mais peut-on faire une boutade de tout ? Rachida Dati en a t-elle "ras-le-bol" des allusions diverses et variées ?

        Pourtant, il y a trois semaines, l'animateur Arthur— dont le nom comme 'papa potentiel' avait été évoqué par certains médias — lui avait adressé un texto ironique lui demandant quel était "le montant de la pension virtuelle qu'il devrait lui verser pour cet enfant virtuel suite à leur relation virtuelle", une blague qui avait fait beaucoup rire la ministre. Ils en avaient d'ailleurs récemment plaisanté lors du dîner de gala de la 24è Biennale des antiquaires, au Grand Palais, où ils étaient assis l'un à côté de l'autre.

        Elle se serait par contre offusquée du démenti d'Eric Besson, publié jeudi dernier dans VSD. En effet, le secrétaire d'Etat à la prospective étant l'un de ses compagnons de jogging, il avait ironisé : "Rachida Dati est une amie. L'enquête préliminaire en cours demandée par la Garde des Sceaux devrait m'innocenter très vite", et d'après Marianne2.fr, elle aurait boudé son collègue durant une semaine.

        Comme il ne faut pas contrarier une femme enceinte, messieurs les soi-disants nominés par la presse en délire au titre de "papa", il va falloir arrêter les plaisanteries !
        « Ça m'est égal d'être laide ou belle. Il faut seulement que je plaise aux gens qui m'intéressent. »
        Boris Vian

        Commentaire


        • #5
          Envoyé par lilha
          Comme il ne faut pas contrarier une femme enceinte, messieurs les soi-disants nominés par la presse en délire au titre de "papa", il va falloir arrêter les plaisanteries !
          moi je pense plutot que rachida dati ferait mieu de prendre du repos a la maternité c'est pas très bon de vouloir rester en vie trop active surtout quand on est enceinte a moins qu'elle veuille avorter

          Commentaire


          • #6
            a ce qu'il parait elle est enceinte d'une fille
            Oh la pauvre! elle ne sait pas ce qui l'attend!!!

            Commentaire


            • #7
              Oh la pauvre! elle ne sait pas ce qui l'attend!!!

              et ce se qui l'attend ?

              Commentaire


              • #8
                Elle s'est peut-être juste fait inséminer, l'age aidant pas de prétendant père, l'horloge bio n'attend pas donc elle a peut-être fait un enfant toute seule et tout le monde essaie de pronostiquer le père.

                Commentaire


                • #9
                  l'enjeu est ailleurs et le mal est plus profond
                  un article a lire c'etait sur le quotidien d'oran de juin 2008

                  ---------------------------------
                  De l’usage du prénom Rachida pour désigner dame Dati, ministre de la Justice.

                  Il y a dix jours, sur Canal +, Jean-Pierre Raffarin a donné son avis sur les diverses et récurrentes polémiques qui entourent Rachida Dati. Comme à son habitude, l’ancien Premier ministre français a louvoyé, oscillant entre soutien plus ou moins ferme et critiques implicites à l’adresse de la garde des Sceaux.

                  Mais ce qui m’a le plus interpellé, c’est l’une de ses phrases dont je vous cite de mémoire le contenu. « Rachida, a-t-il expliqué, est quelqu’un qui a de la personnalité et qui sait où elle va ». Vous noterez qu’il n’a pas dit « Madame Dati » ou tout simplement « Rachida Dati ». Non, il l’a désignée par son prénom et il a fait cela de manière systématique durant tout l’entretien avec Laurence Ferrari.

                  Ce qu’il y a d’intéressant dans l’affaire, c’est qu’il n’est pas le seul dans ce cas. La semaine dernière, un confrère parisien m’a ainsi téléphoné pour savoir ce que je « pensais du cas Rachida ». Je lui ai alors demandé pourquoi il l’appelait de la sorte. Blanc à l’autre bout de la ligne puis cette réponse embarrassée : « Bah, tout le monde l’appelle comme ça, non ? ». Et c’est bien le problème. Combien d’hommes politiques, de journalistes ou de personnalités du show-biz versent dans cette familiarité à l’égard des beurs ? En son temps, déjà, Dominique de Villepin évoquait sa confiance en « Azzouz », alors secrétaire d’État à l’égalité des chances, et il suffit de tendre l’oreille pour entendre les uns et les autres parler de « Rama » ou de « Fadela » comme on parle de bonnes copines ou d’adolescentes pour lesquelles on a cette affection qui excuse les petites bêtises.

                  « Ne l’appeler que Rachida, c’est penser Fatma »
                  S’agit-il d’une forme de complicité qui serait la marque du monde politique ? Je ne le crois pas, n’ayant jamais ouï Raffarin parler de « Roselyne » ou de « Christine ». On m’objectera que les dirigeants socialistes, communistes ou verts ont tendance à s’appeler par leurs prénoms en public. C’est vrai, mais il s’agit-là d’une certaine forme d’égalitarisme forcé, une manière de se rappeler les uns aux autres qu’il n’y a pas, parmi eux, de tête qui dépasse. Si j’insiste sur cette histoire, c’est parce que je suis convaincu qu’évoquer Rachida Dati uniquement par son prénom est loin d’être innocent. Cela traduit ce paternalisme, parfois inconscient, que subissent souvent les enfants de l’immigration y compris (et surtout) celles et ceux qui veulent que l’on oublie leurs origines pour ne retenir que leurs seules compétences. J’irai même plus loin : ne l’appeler que Rachida, c’est faire comme il n’y a pas si longtemps où l’on ne disait que Fatma et le titre de cette chronique aurait pu s’intituler « Ne l’appeler que Rachida, c’est penser Fatma ».

                  Ne croyez pas que je cherche à défendre Rachida Dati : elle n’en n’a pas besoin et, de toutes les façons, elle est loin de constituer ce que j’appellerai une cause prioritaire. Il reste que cette tempête autour d’elle est un cas d’école dont devraient s’inspirer tous les enfants issus de l’immigration qui cherchent à s’en sortir. Cette histoire de prénom, tout comme le procès en obscurantisme qui lui est fait depuis la pathétique affaire du mariage annulé pour cause de mensonge à propos de la virginité, démontrent qu’ils ne pourront pas éviter de se trouver en face de personnes tentées de leur rappeler leurs origines qu’elles soient raciales ou sociales.

                  Dans un pays qui a connu une révolution et plusieurs révoltes, la notion de classe, quoiqu’en disent quelques « socialistes » qui n’en finissent pas de se perdre, demeure incontournable. Appeler quelqu’un uniquement par son prénom, surtout dans un univers policé où chaque code compte, c’est, consciemment ou non, le rabaisser. C’est lui rappeler que l’on n’oublie pas d’où il vient et que, par conséquent, lui aussi n’a pas intérêt à le faire. Les déboires de Rachida Dati démontrent aussi l’importance de la manière dont l’élévation sociale est perçue. A tort ou à raison, de nombreux Français sont aujourd’hui convaincus que la ministre de la Justice ne doit sa position qu’à la volonté de Nicolas Sarkozy (vous voyez chère Lamia, je ne l’appelle plus « le mari de Carla », et c’est bien pour vous faire plaisir !).

                  Seule la compétence compte
                  La mise en cause a beau se défendre, clamer qu’elle possède ses réseaux et les compétences requises, on voit bien que le message a du mal à passer et les polémiques au sujet de ses tenues, de son autoritarisme et de ses études n’arrangent pas les choses. En réalité, la compétence est la condition première pour la réussite des enfants d’immigrés.

                  C’est elle qui forge la légitimité et force le respect. Sans elle, le soutien du plus puissant des réseaux ne sert à rien car, tôt ou tard, l’heure de vérité sonne avec violence. S’élever au-dessus de sa condition est un combat qui n’est jamais terminé et il ne suffit pas d’arriver pour se croire installé. Une fille ou un fils d’immigré peuvent être admis dans les cercles les plus fermés, il ne devront jamais baisser leur garde et quelle meilleure protection que leur compétence ? Ce qui signifie une chose : il faut, un jour ou l’autre, savoir dire non, et réfréner ses ambitions afin de ne pas franchir ce que l’on appelle communément son seuil d’incompétence. Un berrichon incompétent déclenchera certainement les critiques, mais un beur ou une beurette incompétents provoqueront des torrents de fiel surtout si leur comportement est jugé arrogant ou revanchard.

                  Quoiqu’en dise ce bon vieil Edouard (je parle de Balladur, pas du fils de notaire), rien ne prouve vraiment que Dati soit « nulle » ou incompétente (mais inexpérimentée, pressée, brutale, c’est très possible). Le serait-elle qu’il ne faudrait tout de même pas oublier que dans l’actuel gouvernement, il y a des ministres qui sont de véritables branquignoles (des ’bghoulas’ pluriel de ’bghel’, si vous préférez) que l’on critique rarement, alors qu’il suffit de les écouter parler pour se rendre compte de leur vacuité. Comment expliquer cette différence de traitement ? Peut-être parce qu’ils ne s’appellent pas Rachida. Ou alors parce qu’ils ont compris que modestie et discrétion sont, que l’on soit compétent ou pas, mères de toutes les assurances…

                  mercredi 18 juin par Akram Belkaïd
                  « Puis-je rendre ma vie
                  Semblable à une flûte de roseau
                  Simple et droite
                  Et toute remplie de musique »

                  Commentaire

                  Chargement...
                  X