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L'Algérie élue à la présidence du conseil des gouverneurs de l'AIEA

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  • L'Algérie élue à la présidence du conseil des gouverneurs de l'AIEA

    ALGER - L'Algérie a été élue à la présidence du conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), a-t-on appris mardi auprès du ministère des Affaires étrangères. "Le conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique a élu, par acclamation, Taous Feroukhi, ambassadeur de l'Algérie, gouverneur pour l'Algérie, au poste de président du conseil des gouverneurs de l'AIEA, pour la période 2008-2009", a-t-on indiqué de même source.

    APS

  • #2
    bonne nouvelle,merci pour l'information.

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    • #3
      Comme si l'algérie est un pays ou l'énergie atomique est largement utilisée.

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      • #4
        Code PHP:
        L'Algérie élue à la présidence du conseil des gouverneurs de l'AIEA 
        c

        Dans une organisation internationale, ce n'est pas ça qui compte, l'AIEA est un organe de l'ONU, les membres fondateurs "Etats" de cette institution sont tjrs juges et parties..........autrement dit, il y a l'égalité juridique entre Etats mais l'égalité de vote" Voix" fait défaut, les éléctions, la prise des décision, recommandations, résolutions ..;etc, sont soumises au vote , dont le droit de véto au conseil de sécurité, là y a un problème technique par ce que la voix de chaque Etat est différente de l'autre, selon la taille, et la puissance de ce dernier.

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        • #5
          Le programme nucléaire algérien inquiète les Américains
          L’Algérie veut sa bombe

          La mise en marche du réacteur algérien d’Aïn Oussera suscite la crainte des experts occidentaux. Il est trop grand pour un usage civil et il bénéficie d’une large défense aérienne.
          Amale Samie

          • Mohammed El Baradei.

          L’Algérie possède-t-elle la bombe atomique ? Serait-elle en train de mettre la dernière touche à quelques ogives nucléaires pour arroser ses voisins? Madrid, Rabat et Tunis se sont émus quand un satellite américain a pris des photos du réacteur de Aïn Oussera, à 160 km au sud d’Alger.
          L’Algérie poursuit un programme nucléaire civil depuis les premières années d’indépendance, c’est de notoriété publique, mais le soupçon sur le caractère civil de ce programme restait tenace. Et si l’Algérie cherchait à réaliser un programme d’armement nucléaire depuis 1980 ? Dans l’affirmative, l’a-t-elle abandonné ? Ne serait-elle pas plutôt en train de maîtriser la manipulation du plutonium ?

          Mission
          Le lièvre fut levé en 1991. Les Américains découvrirent, grâce à une image prise d’un satellite qui effectuait une mission de routine, un grand site nucléaire en construction à côté du petit site déclaré par les autorités algériennes comme un centre de recherche pour un programme nucléaire civil. Jusque-là, l’Algérie n’avait officiellement qu’un seul réacteur, celui de Draria, à 20 km à l’est d’Alger. Il venait d’être mis en route et sa puissance n’excédait pas 1 megawatt.
          Avec Ain Oussera, l’Algérie a voulu entrer dans la cour des grands. La puissance du réacteur Es-Salam était de 15 mégawatts. À Washington, on s’inquiétait d’autant plus que les services secrets espagnols du CESID avaient établi un rapport sur “le potentiel nucléaire” algérien en août 1998. Ce rapport était un véritable signal d’alarme, il y était écrit que l’Algérie serait prête à avoir des installations pour produire du plutonium de type militaire à partir de 2000. Et que sa bombe serait prête immédiatement après.
          Le Washington Times enfonçait le clou en juin 2000. Selon son éditorialiste, «le programme militaire algérien se trouve à un stade très avancé et cela suscite l'inquiétude dans plusieurs capitales, à commencer par les pays de l'Europe du Sud».
          Ce que la communauté internationale demande à l’Algérie maintenant, c’est qu’elle permette à l’AIEA d’inspecter ses installations.
          Dans un article paru dans son édition du 5 juillet, le quotidien algérien El Watan commentait un article du Washington Times, qui affirmait que les Etats-Unis auraient fortement conseillé à l'Algérie d'ouvrir ses infrastructures nucléaires à des inspections.
          M. El-Baradei, directeur général de l'Agence internationale à l'énergie atomique (AIEA), est trop occupé.
          Bien que sa mission actuelle soit purement formelle : il est « en visite » en Israël, pour moins de 48 heures, et il va plaider pour un Proche-Orient dénucléarisé. Il prêchera dans le désert. «Je ne sais pas ce qu'il vient voir ici», a déclaré Ariel Sharon, sur le ton qu’on devine. «Israël est obligé de détenir entre ses propres mains toutes les composantes de la force nécessaires à sa défense », soit 200 ogives nucléaires dont dispose Israël, a ajouté le Premier ministre israélien. El-Baradei estime, lui, que l'arsenal nucléaire d'Israël, qui n'est pas signataire du Traité de non-prolifération, est un danger pour la région et que «les capacités» nucléaires d'Israël «accélèrent la course aux armements et créent des dangers».
          Nous vivons une époque où il ne fait pas bon aller trop loin dans «la recherche nucléaire civile ». À moins d’être Israël. Alors, l’Algérie détient-elle l’arme atomique ? En tant que voisins perpétuellement en bisbille et lestés d’un lourd contentieux de 40 ans, comment pour ne pas craindre que la technologie algérienne puisse un jour être utilisée par un gouvernement islamiste algérien qui aspergerait le Maroc de plutonium. Il n’est pas concevable que ces bombes, encore virtuelles, soient un jour larguées sur Taza ou Meknès, tant que l’Algérie est dirigée par des gens responsables. La Corée du Nord et l’Iran ont été décrétés États voyous par les Américains. Mais ce sont d’abord les services de renseignements espagnols qui ont alerté leur gouvernement sur la capacité très proche de l’Algérie à expédier des bombes au plutonium sur Madrid, voire sur Tel-Aviv.
          Les Etats-Unis ne veulent plus de tension dans le Maghreb, ils ne veulent pas accueillir de nouveau membre du club atomique. Alors, qu’est-ce qui mijote vraiment sous les képis des généraux algériens?

          quel est le role actuel de ces reacteurs
          ghir ehna ou ndirou el guelb

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          • #6
            L'article commence à dater!!!

            Pour ce qui est des capacités nucléaires de l'Algérie... Elles se résument à de grandes réserves d'uranium dans le Hogar, peut être aussi du plutonium. Ce métal y est à l'état naturel, donc non enrichi et ne présente de risque pour personne. Comparativement à ces voisin, l'Algérie maîtrise une grande partie du processus de l'utilisation de l'énergie nucléaire.

            L'Algérie a t elle les moyens d'enrichir l'uranium?
            Non, pour cela il faudrait des centrifugeuses, ce que nous ne savons toujours pas fabriquer.

            L'Algérie veut elle la bombe?
            Non, car elle apporte plus de problèmes que de solutions. La bombe n'a d'utilité que si elle est dissuasive. Or actuellement, et pour longtemps encore, le pétrole et le gaz restent la meilleur arme de dissuasion contre les occidentaux. Pour ce qui est des deux voisins qui se sentent menacés, l'ANP, dans sa composante actuelle, est une force de dissuasion suffisante.
            « la libération de l'Algérie sera l'œuvre de tous », Abane Ramdane 1955.

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            • #7
              Le second article est hallucinant
              Qu'on arrête avec ces histoires sinon ça sera un 2éme Irak
              ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

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              • #8
                Le programme nucléaire algérien inquiète les Américains

                Il inquiète surtout Israël et son allié du Maghreb.

                L’Algérie veut sa bombe
                L'Algérie est elle même une bombe ( à retardement ) voilà la vraie crainte pour la région

                La mise en marche du réacteur algérien d’Aïn Oussera suscite la crainte des experts occidentaux

                Ce vieux tas de ferraille, rongé par la rouille ,a été visité et revisité maintes fois par les fonctionnaires de l'AIEA sauf par les Experts Israeliens.


                Il est trop grand pour un usage civil et il bénéficie d’une large défense aérienne.
                Trop grand ne veux rien dire pour 2 ou 3 tubines (sur un site de 140 hectares dans une zône désertique) qui n'ont pas fonctionné plus de 200 heures en phase de test de réception,il y a de ça belle lurette.

                Mais où va-t-on chercher ces ragots de grands-mères désoeuvrées en collant des histoires burlesques sur le compte d'un pays en équilibre instable.Si le nucléaire intéreszse tant nos forumeurs,il serait bon de lorgner du côté des installation et équipements de l'Etat Hébreux (Bombes Nucléaires,Satellites d'espionnage,aviation Hi Tech.....)

                Cette histoire ressemble une campagne d'intox comme on voit tous les jours et c'est un peut comme les armes de destruction massive que cherchait G.W.Bush et qu'on a oublié aussitôt.



                Comme on dit : celui qui veut tuer son chien,l'accuse de rage

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