ONG: Nous détenons des preuves des violations des droits de l'homme, par des membres du polisario
New York : La Présidente de l'ONG "Med Euro-Cap - AISBL", Delphine Bourgeois, a appelé mardi la Communauté internationale à traduire en justice les dirigeants du polisario auteurs de graves violations des droits de l'homme.
"Nous détenons aujourd'hui les preuves irréfutables que des violations dangereuses des droits de l'homme, assimilables à des crimes contre l'humanité, ont été perpétrés par des membres du polisario dans le Sud algérien", a souligné devant la 4ème commission de l'Assemblée générale de l'ONU Bourgeois, qui est aussi élue communale d'Ixelles en Belgique et échevine aux affaires européennes à Bruxelles.
Evoquant les témoignages qu'elle a recueillis lors d'un séjour en Mauritanie à l'invitation d'ONG mauritaniennes, elle s'est aussi dite consternée par les traitements inhumains dont ont été victimes des centaines de personnes dans les camps de Tindouf en Algérie.
"J'ai été scandalisée que des traitements aussi barbares et d'une telle cruauté pouvaient encore exister", a-t-elle affirmé, relevant que "ces violations vont crescendo dans leur horreur et varient entre enlèvement, disparitions coercitives, détentions arbitraires, génocide et sévices physiques et psychiques".
S'adressant aux représentants des Etats membres, Bourgeois a appelé à "l'ouverture d'une enquête, sous juridiction internationale, avec audition des témoins et des victimes, sur ces violations gravissimes des droits humanitaires commises par le polisario dans les camps de Tindouf, sur le territoire d'un pays signataire des conventions internationales, en l'occurrence l'Algérie".
A cet effet, elle a réclamé la mise en place d'une "commission internationale indépendante pour tirer au clair cette situation inacceptable", condamnant également l'Algérie pour les violation des droits de l'homme et les crimes commis sur son territoire.
Bourgeois a rappelé que quelques unes de ces victimes du polisario avaient témoigné lors d'une conférence de presse tenue le 23 juin dernier à Noukchott.
Ces témoignages, a-t-elle ajouté, ont été décrits dans un rapport illustré de photos et adressé au Secrétaire Général de l'ONU.
MAP
New York : La Présidente de l'ONG "Med Euro-Cap - AISBL", Delphine Bourgeois, a appelé mardi la Communauté internationale à traduire en justice les dirigeants du polisario auteurs de graves violations des droits de l'homme.
"Nous détenons aujourd'hui les preuves irréfutables que des violations dangereuses des droits de l'homme, assimilables à des crimes contre l'humanité, ont été perpétrés par des membres du polisario dans le Sud algérien", a souligné devant la 4ème commission de l'Assemblée générale de l'ONU Bourgeois, qui est aussi élue communale d'Ixelles en Belgique et échevine aux affaires européennes à Bruxelles.
Evoquant les témoignages qu'elle a recueillis lors d'un séjour en Mauritanie à l'invitation d'ONG mauritaniennes, elle s'est aussi dite consternée par les traitements inhumains dont ont été victimes des centaines de personnes dans les camps de Tindouf en Algérie.
"J'ai été scandalisée que des traitements aussi barbares et d'une telle cruauté pouvaient encore exister", a-t-elle affirmé, relevant que "ces violations vont crescendo dans leur horreur et varient entre enlèvement, disparitions coercitives, détentions arbitraires, génocide et sévices physiques et psychiques".
S'adressant aux représentants des Etats membres, Bourgeois a appelé à "l'ouverture d'une enquête, sous juridiction internationale, avec audition des témoins et des victimes, sur ces violations gravissimes des droits humanitaires commises par le polisario dans les camps de Tindouf, sur le territoire d'un pays signataire des conventions internationales, en l'occurrence l'Algérie".
A cet effet, elle a réclamé la mise en place d'une "commission internationale indépendante pour tirer au clair cette situation inacceptable", condamnant également l'Algérie pour les violation des droits de l'homme et les crimes commis sur son territoire.
Bourgeois a rappelé que quelques unes de ces victimes du polisario avaient témoigné lors d'une conférence de presse tenue le 23 juin dernier à Noukchott.
Ces témoignages, a-t-elle ajouté, ont été décrits dans un rapport illustré de photos et adressé au Secrétaire Général de l'ONU.
MAP
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