Enquêtes sécuritaire: les terroristes "achètent" leurs recrues
08.10.2008 Par N B/Echoroukonline
Les services de sécurité ont ouvert des enquêtes sur l’enrichissement soudain de plusieurs familles de terroristes nouvellement recrutés, particulièrement dans les wilayas de Boumerdès et de Tizi-Ouzou.
* Les services de sécurité s’attèlent à remonter à l’origine de l’opulence récente des familles de nouvelles recrues au sein du GSPC. Ces nouveaux terroristes auraient cédé à la tentation du gain facile, selon des repentis. Ils auraient été appâtés en contrepartie d’une rente versée à leurs familles, variable selon la situation sociale, ou d’un financement de projets gérés par un parent.
* Des repentis ont même reconnu que pour échapper au chômage et à la précarité, ils avaient rejoint les rangs des terroristes qui leur avaient promis de subvenir aux besoins de leurs familles.
* Les enquêteurs révèlent que le commandement de l’organisation terroriste investissait l’argent des rançons et des rackets dans le financement de ses plans infâmes avant de l’utiliser, devant l’échec des prêches, à l’incitation de jeunes des milieux les plus défavorisés à rejoindre le maquis.
* Le recours à cette méthode se veut une façon d’inculquer l’idée que le butin de l’organisation n’est pas au seul bénéfice des émirs, mais profite à tous, dans une ultime tentative pour racheter une crédibilité gravement entamée par les attaques suicides.
08.10.2008 Par N B/Echoroukonline
Les services de sécurité ont ouvert des enquêtes sur l’enrichissement soudain de plusieurs familles de terroristes nouvellement recrutés, particulièrement dans les wilayas de Boumerdès et de Tizi-Ouzou.
* Les services de sécurité s’attèlent à remonter à l’origine de l’opulence récente des familles de nouvelles recrues au sein du GSPC. Ces nouveaux terroristes auraient cédé à la tentation du gain facile, selon des repentis. Ils auraient été appâtés en contrepartie d’une rente versée à leurs familles, variable selon la situation sociale, ou d’un financement de projets gérés par un parent.
* Des repentis ont même reconnu que pour échapper au chômage et à la précarité, ils avaient rejoint les rangs des terroristes qui leur avaient promis de subvenir aux besoins de leurs familles.
* Les enquêteurs révèlent que le commandement de l’organisation terroriste investissait l’argent des rançons et des rackets dans le financement de ses plans infâmes avant de l’utiliser, devant l’échec des prêches, à l’incitation de jeunes des milieux les plus défavorisés à rejoindre le maquis.
* Le recours à cette méthode se veut une façon d’inculquer l’idée que le butin de l’organisation n’est pas au seul bénéfice des émirs, mais profite à tous, dans une ultime tentative pour racheter une crédibilité gravement entamée par les attaques suicides.
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