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Le patron du FMI : "La situation est trés grave"

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  • Le patron du FMI : "La situation est trés grave"

    Les Bourses ne parviennent pas à relever la tête

    Le CAC 40 a une nouvelle fois chuté, jeudi 9 octobre, cédant 1,55 % à la clôture. Après avoir passé la journée dans le vert, l'indice parisien a dévissé dans les derniers échanges, miné par la chute des banques et des assurances à Wall Street. La Bourse de Paris porte ainsi à 15,63 % ses pertes depuis le début de la semaine.

    Les autres places européennes ont également joué au yo-yo, jeudi, avant de finir en net recul. Londres abandonne 1,21 % et Francfort 2,53 %. L'Eurostoxx 50 cède 3,33 % et Zurich signe la plus forte baisse avec une chute de 4,52 % de son indice SMI. En Islande, les échanges à la Bourse de Reykjavik, malmenée par la crise qui frappe le secteur financier, ont été suspendus jusqu'à lundi, a annoncé jeudi l'opérateur boursier OMX.

    Seule Moscou a échappé à la tourmente, jeudi. Les deux Bourses russes ont terminé la séance en forte hausse, le RTS grimpant de 10,91 %, tandis que le Micex finissait à 9,8 %, les deux indices récupérant une bonne partie de leurs pertes de la veille. Cette semaine a été particulièrement mouvementée sur les Bourses russes, avec des chutes records des cours et des interruptions de cotations à répétition.

    Après six journées consécutives de baisse, New York était également hésitante, jeudi, le Dow Jones reculant de 0,93 %, alors que le Nasdaq perdait 0,12 %. Au lendemain du vent de panique qui a soufflé sur les Bourses mondiales, les places asiatiques étaient elles aussi partagées jeudi : Tokyo a cédé 0,5 %, tandis que Hongkong terminait en hausse de 3,31 %.

    DSK : "LA SITUATION EST TRÈS GRAVE"

    Alors qu'elles affichaient en début de séance une belle santé, revigorées par la décision concertée, mercredi, des principales banques centrales mondiales d'abaisser leurs taux, les Bourses européennes ont ensuite perdu confiance avec la reprise des ventes à découvert sur les valeurs financières à New York, alors qu'elles étaient interdites depuis le 19 septembre. Ce mécanisme, pratiqué par de nombreux spéculateurs, consiste à emprunter une action dont on pense que le prix va baisser et à la vendre aussitôt, avec l'espoir d'empocher une forte plus-value au moment où il faudra la racheter pour la rendre au prêteur.

    Jeudi a également vu le patron du FMI, Dominique Strauss-Kahn, appeler, comme il l'avait fait avant le sommet du G4 à l'Elysée, à une réponse commune des Européens à la crise. "DSK" a estimé que "la situation est très grave, mais dans le même temps nous pouvons résoudre les problèmes si nous agissons vite, énergiquement et de façon concertée".

    En France, la CGT a fait part de ses craintes de voir la crise financière et bancaire contaminer l'économie réelle. Avec pour conséquence une hausse du chômage qui pourrait toucher "des centaines de milliers" de personnes. Le secrétaire confédéral du syndicat, Jean-Christophe Le Duigou, a appelé le gouvernement à agir autrement que comme un "pompier".

    Le Monde

  • #2
    Seule Moscou a échappé à la tourmente, jeudi. Les deux Bourses russes ont terminé la séance en forte hausse, le RTS grimpant de 10,91 %, tandis que le Micex finissait à 9,8 %, les deux indices récupérant une bonne partie de leurs pertes de la veille. Cette semaine a été particulièrement mouvementée sur les Bourses russes, avec des chutes records des cours et des interruptions de cotations à répétition.

    je me demande quelle crédibilité a cette bourse

    elle ferme ses portes, des que le vent soufle
    Gone with the Wind.........

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