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Sunday Times : Placez votre argent au Maroc et en Tunisie

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  • Sunday Times : Placez votre argent au Maroc et en Tunisie

    La Tunisie et le Maroc sont-ils à l’abri de la crise financière ?

    L’investissement dans ces deux pays serait moins risqué selon le Sunday Times

    Dans le contexte actuel de crise financière internationale, l’hebdomadaire britannique Sunday Times a publié dimanche une liste de six pays ayant réalisé des résultats financiers positifs depuis le début de la crise en août 2007. Selon le Sunday Times, les places boursières de ces pays, dont la Tunisie et le Maroc, sont considérées comme stables. Y investir serait moins risqué.


    Jeudi 9 octobre 2008, par Stéphane Ballong

    Les secousses de la crise financière mondiale atteignent les bourses africaines. Ce mardi encore, elles ont toutes été frappées, avec une baisse de 16,5% enregistrée au Caire en Egypte. Les analystes s’accordent tous à dire que la croissance du continent est menacée. Dans ce contexte de crise généralisée, l’hebdomadaire britannique Sunday Times a publié dans sa dernière livraison du dimanche une liste de six pays où les investissements seraient moins risqués. Ils sont tous du Moyen-Orient [1] exceptés : le Maroc et la Tunisie.

    Le Sunday Times, pour réaliser son classement, s’est appuyé sur l’indice MSCI World qui offre aux investisseurs des références pour la gestion de leurs portefeuilles. Selon cet indice, la Tunisie et le Maroc, font partie des pays qui ont le mieux résisté à la crise financière internationale sur les douze derniers mois. Ils affichent sur cette période une croissance respective de +23% et +2% de leurs valeurs boursières. Ces deux pays maghrébins affichent ainsi « des résultats décents » depuis le début de la crise l’été dernier. Ils auraient même fait mieux que les Bric (le Brésil, la Russie, l’Inde et la Chine), les nouveaux géants.

    Plusieurs raisons expliquent ces performances : d’abord, la hausse des flux d’investissements venant notamment des pays du Golfe. Ensuite, dans le cas de la Tunisie, la faiblesse de la participation étrangère à la capitalisation boursière. Elle en « représentait 25% fin septembre 2008, dont 22%, stable et durable, a été acquis dans le cadre d’un partenariat et dans le but de prendre des positions stratégiques, aussi bien dans les sociétés que dans les banques tunisiennes », explique Mokdadi Hamadi, Directeur général de la banque privée UBCI Finance (groupe UBCI-BNP Paribas) cité par Webmanagercenter.com. Par ailleurs, les capitaux flottants ne sont, d’après lui, que de 2,9%, ce qui permet d’éviter un impact direct sur la physionomie du marché.

    Au Maroc, une étude « balaie toutes les certitudes »

    Dans le cas du Maroc, les raisons de la résistance à la crise financière sont citées dans un article du Financial Times daté du 2 octobre. Les réformes initiées par le gouvernement auraient renforcé les fondamentaux de l’économie du pays et permis de résorber le choc engendré par la hausse des cours des produits pétroliers et agricoles. Cette performance marocaine serait aussi expliquée par la diversification des revenus du pays, écrit le Financial Times. Conséquence : le gouvernement a pu augmenter les subventions aux produits alimentaires et énergétiques.

    Le choc semble donc être contenu au Maroc. L’inquiétante tendance baissière observée ces derniers temps à la bourse de Casablanca est, quant à elle, attribuée à « un effet psychologique » par les spécialistes. pourtant une récente étude réalisée par le Centre marocain de conjoncture (CMC), sur l’impact de cette crise financière sur le Royaume, vient de « balayer toutes les certitudes », écrit l’Economiste. Selon cette étude, le Maroc pourrait, en raison de la crise, perdre entre 1,5 à 2 points de croissance pour cette année. Une croissance, initialement prévue à 6,5% par les experts.

    [1] La Jordanie, le Liban, le Sultanat d’Oman, le Qatar

  • #2

    Dans le cas du Maroc, les raisons de la résistance à la crise financière


    L’inquiétante tendance baissière observée ces derniers temps à la bourse de Casablanca est, quant à elle, attribuée à « un effet psychologique » par les spécialistes.
    Mais non ayoub ! c'est que la propagande du "makhzen" ! Parce que nous avons aussi acheter le Sunday Times après le ESISC !

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    • #3
      Et dire que le Maroc est féodal et moyenageux !!!!!!!!!!!

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      • #4
        Et dire que le Maroc est féodal et moyenageux !!
        Non mon ami , personne ne dit ça ,parcontre on dit que vous etes toujours colonisie par la france .

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        • #5
          Non mon ami , personne ne dit ça ,parcontre on dit que vous etes toujours colonisie par la france .

          Gallem99

          ...............................

          Bizarre ! Quand je vois ton avatar ; il me rappelle les caporaux laissés par la France et qui continuent à diriger ton pays après s'être auto-proclamés généraux.

          Fike ou 3ike.

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          • #6
            Au sujet l’indice MSCI

            Le MSCI est un indice boursier mesurant la performance et la stabilité des marchés boursiers. L’indice ne prend pas en compte les performances économiques d’un pays en matière de croissance et PIB. C’est juste que durant ces derniers mois de crises les bourses du Maroc, Tunisie, Jordanie, Liban, Sultanat d’Oman et Qatar se sont montré relativement plus stables que les bourses des pays développés. Même la bourse de Côte d'Ivoire a clôturé à la hausse lundi alors que les bourses occidentales étaient en chute libre. La bourse de Casa a connue quelques déboires cette dernière semaine. La crise ne fait que commencer ses répercussions ne sont pas encore bien connues.
            Dernière modification par icosium, 10 octobre 2008, 13h15.
            "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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            • #7
              Où qu'il est Mendz? Faut qu'il donne des cours d'économie au sunday Times.
              La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo

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              • #8
                voici l'article du financial Times du 02 octobre ou il parle de la solidité de l'economie marocaine, tout ce qu'on sait déjà, pluie, MRE, amis du glof

                <H2>Morocco retunes to new engines of growth


                Published: October 2 2008 03:00 | Last updated: October 2 2008 03:00

                Moroccans seem to be programmed to welcome rain no matter its immediate impact. So even as a late-night downpour obstructs vision and big hailstones pelt cars, people smile and tell you it brings them prosperity.
                In this poor north African country, agriculture is central to the economy. It accounts for 15 per cent of gross domestic product but provides a livelihood to 40 per cent of the workforce. Thanks to plentiful rain, this year's growth is expected to reach 6.5 per cent, up from 2.7 per cent last year.
                In the face of Morocco's continued vulnerability to the weather, businessmen and experts say reforms driven by the government have strengthened the economy, enabling the country to absorb the shock of higher energy and cereal prices.
                The only nation in the Maghreb without oil or gas and one beset by income disparities, housing shortages and an inefficient education system, Morocco nonetheless appears to have managed to maintain economic stability in the face of global inflation. The government strategy is to shift the economy away from agriculture to create jobs and find new engines of growth.
                "The numbers this year are certainly showing the very great resilience of the Moroccan economy in the context of international turmoil," said Francoise Clottes, head of the World Bank office in Morocco.
                This is largely due to strong revenue flows from sources outside agriculture that have enabled the government to spend far more on its food and fuel subsidy programme - described by the International Monetary Fund as the "most important policy issue facing the authorities" - while maintaining a small deficit in the region of 3 per cent.
                Remittances from Morocco's 3m expatriates, mostly in Europe, have gone up 5 per cent to $3.5bn in the first six months of the year.
                Increased revenue has also come from tourism, and corporate tax receipts which rose 70 per cent in the first half of the year due to higher investment and an improved collection system.
                Morocco has also had help from its wealthier friends, Saudi Arabia and the United Arab Emirates, in the form of $800m (€570m) in direct budgetary support.
                "From 1996 to 2004 nothing was happening in the economy," said a Moroccan investment banker. "But starting from 2005 things started to improve thanks to all the public investment in infrastructure and the private investment in real estate and tourism."
                The booming construction sector - driven by a huge public works programme - has helped reduce unemployment from 11.4 per cent in 2003 to 9.1 per cent while plans to promote investment in areas such as automotive parts, offshoring, food processing and electronics have started to pay off.
                The impact has been to raise foreign direct investment from $500m in 2002 to $3bn last year. The biggest single investment came from Renault, the French carmaker, which is putting $1bn into what will become its biggest factory in Africa to produce low-cost cars and vans destined for export to emerging markets.
                Renault has been attracted by Tanger-Med, near Tangiers, northern Morocco's deepwater port and trans-shipping hub which when completed will be the largest in the Mediterranean.
                But the issue of the growing subsidy programme remains to be tackled. It is not a long-term solution to Morocco's economic problems and the IMF in July recommended better targeting of subsidies to the needy to ensure the government could meet the costs of its economic priorities.
                Though no one expects the dilemma over subsidies to be resolved soon, ministers have at least started talking openly about restructuring the system, something observers describe as a first in Morocco.


                Copyright The Financial Times Limited 2008
                </H2>
                « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                • #9
                  Envoyé par AFP
                  "A la bourse de Casablanca, ce n'est pas le temps de vendre, ou bien je garde (mes actions), ou bien j'achète", a-t-il conseillé, assurant que "98% des investissements étrangers sont demeurés stables et n'ont pas quitté la bourse de Casablanca".
                  Espérez que la contagion de la perte de confiance des investisseurs ne touche pas la bourse de Casa. Les européens se disaient prémunis de la crise américaine mais l’onde de choc américaine s’est propagée en Europe. La perte de confiance peut se propager maintenant de l'Europe vers l'Afrique. Comme dit votre ministre des finances Mezouar : "Si nous perdons la confiance, nous perdons tout". Pour garder la confiance, le makhzen fait la propagande du : "Tout va bien". Le ministre lance même un "avertissement" en direction de "ceux qui se jouent de la confiance des citoyens".
                  Dernière modification par icosium, 10 octobre 2008, 12h08.
                  "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

                  Commentaire


                  • #10
                    ben pour le sens de la demesure , on ne battra jamais les marocains , la relativité savent pas encore ce que c , la region MENA n'est pas à comparer avec le BRIC , c'est le ciel et la terre , le maroc et la tunisie ne pesent pas l'egypte , si le sunday times voit en le maroc et la tunisie , avec plus de reserves pour le maroc (ce mais de la fin, et qui est fruit d'une etude marocaine du CMC ,en dit long ) donc si le sunday times voit en lemaroc et la tunisie des regions relativement stables parmis les MENA , on peut l'accepter ou le discuter ,où est le miracle ladedans,

                    le maroc du palais makhzeniens estmoyenageux mes chers que vous le vouliez ou pas , ce n'est pas ne conjoncture favorable qui changera la chose , il cessera de l'etre le jour où il acceptera l'idée que le maroc peut exister sans la monarchie esclavagiste
                    en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

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                    • #11
                      le maroc du palais makhzeniens estmoyenageux mes chers que vous le vouliez ou pas , ce n'est pas ne conjoncture favorable qui changera la chose , il cessera de l'etre le jour où il acceptera l'idée que le maroc peut exister sans la monarchie esclavagiste
                      Au lieu de dire des bêtises ou de les lire sur des journaux faites un effort et lisez de vrais rapports argumentés et détaillés

                      Voici celui tout récent du FMI (16 septembre 2008)

                      http://www.imf.org/external/pubs/cat...cfm?sk=22361.0

                      ou encore plus récent (7 octobre 2008)

                      http://www.imf.org/external/french/p...8/cr08331f.pdf
                      Dernière modification par Atlantic, 10 octobre 2008, 13h16.

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                      • #12
                        Envoyé par Atlantic
                        Au lieu de dire des bêtises ou de les lire sur des journaux faites un effort de et lisez de vrais rapports argumenté et détaillé

                        Voici celui tout récent du FMI (16 septembre 2008)
                        je te signale que le FMI ne cesse de réviser à la baisse ses prévisions de croissance, car la situation évolue de jour en jour et de pire en pire.

                        Mais franchement tu crois sérieusement que l'économie marocaine va tenir le coup alors que tous ses marchés traditionnels s'éffondrent et tous ses sources d'investissement aussi ??

                        Tous les experts marocains lucides prévoient une baisse significative de la crossance marocaine, celà est innévitable et il faut etre vraiment aveugle ou tellement démagoge pour prétendre le contraire et que l'insignifiante économie marocaine qui dépends entièrement de la France pourra tenir le choc et se dresser au milieu de tous les puissantes économies mondiales qui seraient à terre.

                        Mais je sais, votre ministre avertit tout ceux qui osent dire la vérité et contredire ses monsonges, donc en bons makhzeniens vous suivez exactement les ordres de vos maitres les alaouites.

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                        • #13
                          parceque le financial times dit des betises .. la betise ne vient ni de l'article ni du rapport ,elle vient de son interpretaion, qd on a pas le sens de la mesure , qd on ne sais pas relativiser on peut faire dire aux chiffres ce qu'on veut mon cher , je te l'ai dit , le maroc et la tunisie ne pesent pas l'egypte ,et certains veulent se comparer aux BRIC , tu espere encore que je clique sur ton rapport ?

                          bye !! apres la prirere nchallah
                          en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

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                          • #14
                            En plus de l'articule du financial times qui reprend l'analyse du FMI en rajoutant l'aumone des saoudiens et des emiratis, le titre de l'article du sunday times est :

                            La Tunisie et le Maroc sont-ils à l’abri de la crise financière ?
                            L’investissement dans ces deux pays serait moins risqué selon le Sunday Times
                            et c'est de devenu avec nos amis marocains

                            « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

                            Commentaire


                            • #15
                              parceque le financial times dit des betises .. la betise ne vient ni de l'article ni du rapport
                              Bon

                              On a le choix entre un rapport de 52 page du FMI à l issue d'une mission d inspection sur place et bourré de chiffre et d analyses

                              et un article d'une demi page publié certe par le FT, mais écrit par une journaliste arabe basée au Caire,

                              Petite remarque : l'article du FT dit en substance que l'économie est sur la bonne voix malgré la crise international et ce grâce au réformes. (essayez de lire l'article sur le site FT pas la retranscription par les autres journaux)

                              De toute façon. 2008 est presque finie. Plus que quelques mois et on aura les chiffres définitives. Patience!

                              Une dernière question pour la route : vous vous sentez comment avec un baril à moins de 80 dollars?
                              Dernière modification par Atlantic, 10 octobre 2008, 13h37.

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