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La ville a pour ambition de se doter au terme du projet de 670 hectares de verdure, ce qui en ferait l'une des grandes villes vertes du monde.
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L’émirat souhaite réduire de 20% ses émissions de CO² dans les secteurs du tourisme et de l’hôtellerie d’ici 2011, avant de se transformer en « ville verte ».
Dubaï, émirat devenu célèbre pour ses frasques urbaines, a annoncé sa volonté d’ajouter une dimension « écologique » à ses réalisations. Le gouvernement, qui souhaite hisser l’état des Émirats arabes unis au rang de première région mondiale du tourisme de luxe, veut ainsi s’affirmer dans la tendance mondiale vers le développement durable.
Le Département du tourisme et du commerce de Dubaï (DTCM) précise que l’émirat s’engage à diminuer de 20% ses émissions de carbone dans les secteurs du tourisme et de l’hôtellerie d’ici 2011. Un système de surveillance « aidera les entreprises du secteur touristique en mesurant le taux d’émission de CO² ». La conservation des ressources naturelles et l’utilisation sensible de l’énergie, de l’eau et du gaz sera également désormais prise en compte. Le développement de la ville comprendra la création de 29 parcs publics supplémentaires, 45 parcs résidentiels et 27 autres infrastructures de plein air, dans l’objectif d’ « oxygéner le paysage urbain » avec près de 670 hectares de verdure.
source Les Echos Touristique.
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L’émirat souhaite réduire de 20% ses émissions de CO² dans les secteurs du tourisme et de l’hôtellerie d’ici 2011, avant de se transformer en « ville verte ».
Dubaï, émirat devenu célèbre pour ses frasques urbaines, a annoncé sa volonté d’ajouter une dimension « écologique » à ses réalisations. Le gouvernement, qui souhaite hisser l’état des Émirats arabes unis au rang de première région mondiale du tourisme de luxe, veut ainsi s’affirmer dans la tendance mondiale vers le développement durable.
Le Département du tourisme et du commerce de Dubaï (DTCM) précise que l’émirat s’engage à diminuer de 20% ses émissions de carbone dans les secteurs du tourisme et de l’hôtellerie d’ici 2011. Un système de surveillance « aidera les entreprises du secteur touristique en mesurant le taux d’émission de CO² ». La conservation des ressources naturelles et l’utilisation sensible de l’énergie, de l’eau et du gaz sera également désormais prise en compte. Le développement de la ville comprendra la création de 29 parcs publics supplémentaires, 45 parcs résidentiels et 27 autres infrastructures de plein air, dans l’objectif d’ « oxygéner le paysage urbain » avec près de 670 hectares de verdure.
source Les Echos Touristique.