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La famille Ferrier a pris l'habitude de laisser sa ménagerie, incluant une ânesse et son petit, manger à sa table et regarder la télévision à l'intérieur de la maison.
En plus des deux ânes, les Ferrier cohabitent avec quatre CHIENS, trois chats, deux moutons, un lama et divers volatiles de basse-cour. Le couple et ses deux enfants ont pris l'habitude de laisser l'ensemble de leurs animaux circuler librement dans leur cuisine et leur salle de séjour.
"Nous avons même aménagé lespace pour eux. Si nous voulons déjeuner en paix, nous leur donnons une assiette et ils mangent à côté de nous.
Bien sûr nous ne leur donnons pas n'importe quoi à manger mais si nous prenons un repas froid, chacun a droit à un petit quelque chose" explique Jackie Ferrier, 42 ans. En plus de ces repas pris en commun avec leurs animaux, les Ferrier autorisent leurs ânes à se coucher dans le salon, pour regarder la télévision avec eux.
"C'est très amusant quand nos amis viennent nous rendre visite et qu'ils croisent des poules dans le salon. C'est une vie définitivement différente, mais elle serait ennuyeuse si nous la vivions comme n'importe qui", ajoute la quadragénaire.
- AP
En plus des deux ânes, les Ferrier cohabitent avec quatre CHIENS, trois chats, deux moutons, un lama et divers volatiles de basse-cour. Le couple et ses deux enfants ont pris l'habitude de laisser l'ensemble de leurs animaux circuler librement dans leur cuisine et leur salle de séjour.
"Nous avons même aménagé lespace pour eux. Si nous voulons déjeuner en paix, nous leur donnons une assiette et ils mangent à côté de nous.
Bien sûr nous ne leur donnons pas n'importe quoi à manger mais si nous prenons un repas froid, chacun a droit à un petit quelque chose" explique Jackie Ferrier, 42 ans. En plus de ces repas pris en commun avec leurs animaux, les Ferrier autorisent leurs ânes à se coucher dans le salon, pour regarder la télévision avec eux.
"C'est très amusant quand nos amis viennent nous rendre visite et qu'ils croisent des poules dans le salon. C'est une vie définitivement différente, mais elle serait ennuyeuse si nous la vivions comme n'importe qui", ajoute la quadragénaire.
- AP
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