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Le président du Conseil des hommes d’affaires algéro-américain a affirmé que des opérateurs américains sont à la recherche de partenaires algériens, pour développer cette filière.
La coopération entre l’Algérie et les Etats- Unis dans le secteur agroalimentaire promet de beaux jours. Plus d’une trentaine d’opérateurs algériens activant dans le secteur se rendront prochainement aux Etats-Unis d’Amérique. Ces derniers auront à visiter les grandes firmes spécialisées dans la production laitière et sa transformation.
D’une durée de dix jours, ce voyage d’affaires sera l’occasion pour les opérateurs des deux pays de discuter des opportunités de partenariat. C’est ce qu’a déclaré le président du conseil hommes d’affaires algéro-américain, Smaïl Chikhoune, lors d’une cérémonie organisée, mercredi dernier, à l’hôtel Sheraton d’Alger.
Cette visite, la première du genre, promet de nouvelles perspectives pour la coopération entre les opérateurs des deux pays et la diversification des échanges. Selon le président du Conseil, beaucoup d’opérateurs américains sont à la recherche de partenaires algériens pour développer la filière agroalimentaire en Algérie.
L’ambassadeur américain, M.David Pearce, présent à la cérémonie, a estimé que cette mission représente une étape importante dans le développement des relations entre les deux pays puisqu’il s’agit, souligne-t-il, de promouvoir la coopération hors hydrocarbures.
Dans ce sens, il a rappelé que les échanges commerciaux entre les deux pays ont atteint les 20 milliards de dollars en 2007.
S’adressant directement aux hommes d’affaires, le diplomate américain a invité ces derniers à saisir cette opportunité pour tirer profit de la technologie et du savoir-faire américains.
Très convaincu, M.Pearce estime que cette mission sera un succès et ouvrira la voie à d’autres partenariats productifs.
Effectivement, durant son séjour, la délégation, composée de 34 hommes d’affaires, va certainement parvenir à décrocher des contrats avec des firmes américaines. C’est l’objectif sur lequel travaille le Conseil algéro-américain qui a été créé en 2005. Son président croit qu’il y a moyen de développer d’importants marchés avec les Américains.
«L’Algérie n’est pas bien connue aux Etats-Unis et notre mission au sein du Conseil est de rapprocher les deux pays», a précisé M.Chikhoune. Celui-ci s’est réjoui de l’intérêt exprimé par les opérateurs algériens pour le marché américain.
Actuellement, il y a une parité entre le nombre des entreprises algériennes et américaines au sein du Conseil, alors qu’au début, les entreprises algériennes n’étaient que 20 contre 80 pour les sociétés américaines.
Enfin, M.Chikhoune a fait savoir qu’une importante délégation d’opérateurs américains spécialisés dans la construction se rendra à Alger en début de décembre prochain.
«Il y a de nombreux constructeurs américains qui sont intéressés par la réalisation de projets d’infrastructures en Algérie», a-t-il conclu.
Nadia BENAKLI (L'Expression)
La coopération entre l’Algérie et les Etats- Unis dans le secteur agroalimentaire promet de beaux jours. Plus d’une trentaine d’opérateurs algériens activant dans le secteur se rendront prochainement aux Etats-Unis d’Amérique. Ces derniers auront à visiter les grandes firmes spécialisées dans la production laitière et sa transformation.
D’une durée de dix jours, ce voyage d’affaires sera l’occasion pour les opérateurs des deux pays de discuter des opportunités de partenariat. C’est ce qu’a déclaré le président du conseil hommes d’affaires algéro-américain, Smaïl Chikhoune, lors d’une cérémonie organisée, mercredi dernier, à l’hôtel Sheraton d’Alger.
Cette visite, la première du genre, promet de nouvelles perspectives pour la coopération entre les opérateurs des deux pays et la diversification des échanges. Selon le président du Conseil, beaucoup d’opérateurs américains sont à la recherche de partenaires algériens pour développer la filière agroalimentaire en Algérie.
L’ambassadeur américain, M.David Pearce, présent à la cérémonie, a estimé que cette mission représente une étape importante dans le développement des relations entre les deux pays puisqu’il s’agit, souligne-t-il, de promouvoir la coopération hors hydrocarbures.
Dans ce sens, il a rappelé que les échanges commerciaux entre les deux pays ont atteint les 20 milliards de dollars en 2007.
S’adressant directement aux hommes d’affaires, le diplomate américain a invité ces derniers à saisir cette opportunité pour tirer profit de la technologie et du savoir-faire américains.
Très convaincu, M.Pearce estime que cette mission sera un succès et ouvrira la voie à d’autres partenariats productifs.
Effectivement, durant son séjour, la délégation, composée de 34 hommes d’affaires, va certainement parvenir à décrocher des contrats avec des firmes américaines. C’est l’objectif sur lequel travaille le Conseil algéro-américain qui a été créé en 2005. Son président croit qu’il y a moyen de développer d’importants marchés avec les Américains.
«L’Algérie n’est pas bien connue aux Etats-Unis et notre mission au sein du Conseil est de rapprocher les deux pays», a précisé M.Chikhoune. Celui-ci s’est réjoui de l’intérêt exprimé par les opérateurs algériens pour le marché américain.
Actuellement, il y a une parité entre le nombre des entreprises algériennes et américaines au sein du Conseil, alors qu’au début, les entreprises algériennes n’étaient que 20 contre 80 pour les sociétés américaines.
Enfin, M.Chikhoune a fait savoir qu’une importante délégation d’opérateurs américains spécialisés dans la construction se rendra à Alger en début de décembre prochain.
«Il y a de nombreux constructeurs américains qui sont intéressés par la réalisation de projets d’infrastructures en Algérie», a-t-il conclu.
Nadia BENAKLI (L'Expression)
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