A la recherche de ma part,
De mon îlot, de mon repos,
La Terre est vaste mais quelque part,
J'y garerai mon vieux radeau.
Les marécages de mes vingt ans,
Sont à l'image des sables mouvants,
Décevant comme un premier mariage
Que l'ouragan force au partage.
Les sols glissants de la banquise,
Le souffle glacial d'une simple brise,
Sont la hantise de cette marquise,
Impatiente du temps des cerises.
La Terre est grande mais si néfaste,
Les eaux sont si troubles et si vastes.
Ma survie est devenue la prisonnière
Des caprices de ces guerrières.
De mon îlot, de mon repos,
La Terre est vaste mais quelque part,
J'y garerai mon vieux radeau.
Les marécages de mes vingt ans,
Sont à l'image des sables mouvants,
Décevant comme un premier mariage
Que l'ouragan force au partage.
Les sols glissants de la banquise,
Le souffle glacial d'une simple brise,
Sont la hantise de cette marquise,
Impatiente du temps des cerises.
La Terre est grande mais si néfaste,
Les eaux sont si troubles et si vastes.
Ma survie est devenue la prisonnière
Des caprices de ces guerrières.
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