Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Des anticancéreux «made in Algeria» bientôt sur le marché

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Des anticancéreux «made in Algeria» bientôt sur le marché

    Par B. Mahmoud Le directeur général de Saïdal, Rachid Zouani, a annoncé, hier, que son groupe ambitionne de couvrir 60% du marché national du médicament à l’horizon 2015 pour atteindre un chiffre d’affaires de 3 milliards de dollars.

    Par B. Mahmoud Le directeur général de Saïdal, Rachid Zouani, a annoncé, hier, que son groupe ambitionne de couvrir 60% du marché national du médicament à l’horizon 2015 pour atteindre un chiffre d’affaires de 3 milliards de dollars.

    La stratégie du groupe consiste à réduire progressivement la dépendance de l’Algérie à l’étranger en matière de médicaments pour réduire la lourde facture des importations qui risque de passer de 1,8 milliards de dollars actuellement à 8 milliards de dollars en 2015. Cette explosion des importations des médicaments s’explique par deux facteurs: Le premier est le vieillissement de la population née juste après l’indépendance qui constitue 25% et le deuxième demeure en une progression rapide de certaines pathologies chroniques comme le diabète et les maladies respiratoires.

    Le patron du groupe de Saïdal tire la sonnette d’alarme en prédisant ainsi une hausse annuelle soutenue de 22% des besoins en médicaments. Les conséquences de cette poussée des besoins risquent d’être désastreuses pour l’économie nationale, d’où la nécessité d’encourager l’industrie locale du médicament à travers l’adoption d’une politique basée sur la préférence nationale.

    Pour le patron de Saïdal, le plus urgent aujourd’hui est de protéger la jeune industrie nationale de médicaments en interdisant les importations de médicaments produits localement. Il s’agit aussi d’encourager la conclusion de partenariat avec des opérateurs étrangers. Revenant à la situation actuelle du marché, il a révélé que les médicaments produits localement représentent 37% du marché en Algérie.

    Saïdal contribue à hauteur de 700 millions de dollars de la facture de consommation de médicaments, soit 24% du marché, précise-t-il. Réduire la facture des importations Une part du marché qui devra s’accroître dans les prochaines années avec l’élargissement de la nomenclature des médicaments remboursables. Le patron de Saïdal s’attend d’ailleurs, cette année, à une croissance de 20% du chiffre d’affaires du groupe.

    Questionné sur la perte de production du groupe en raison de la concurrence des médicaments d’importation, il a avoué que Saïdal a une capacité de production de 250 millions d’unités, mais elle n’utilise, aujourd’hui, que la moitié de cette capacité de production, soit 130 millions d’unités, à cause de cette concurrence.

    Selon le même responsable, sur une liste de 400 médicaments importés, qui représente 80% de la facture des importations, Saïdal peut produire 300 localement. «On ne pourrai jamais couvrir à 100% les besoins du pays en médicaments ; cependant on peut réduire considérablement la facture des importations», a soutenu le DG de Saïdal sur les ondes de la chaîne III.

    Pour les nouveautés du groupe, Rachid Zaouani annonce la mise sur le marché prochainement de médicaments anticancéreux produits localement grâce à un partenariat avec un opérateur arabe. «Nous avons la technologie nécessaire pour la production des anticancéreux. L’infrastructure qui devra abriter la nouvelle unité de production a été achevée et nous allons lancer, incessamment, la production», a-t-il confié. Il existe, selon les derniers chiffres officiels, 250.000 cancéreux en Algérie et 30.000 nouveaux cas sont recensés annuellement.

    Le Financier

  • #2
    que son groupe ambitionne de couvrir 60% du marché national du médicament à l’horizon 2015 pour atteindre un chiffre d’affaires de 3 milliards de dollars.
    enfin une bonne nouvelle, quoique je le trouve très optimiste de 37% à 60% en 7 ans! il a osé ce patron, c'est combien le chiffre d'affaire actuel pour voir un peu de son réalisme coté chiffre d'affaire, s'il est moins de 1 milliard je crois pas que ça serait atteint à 2015
    en tout cas, bel effet d'annonce

    Commentaire


    • #3
      il ne fallait pas liberaliser l'imporation du médicament. C'est devenu un souk. L'état aurait du garder le quadi monopole de l'importation. Comme c'est encore le cas aujourd'hui en Tunisie.

      Mais saidal peut y arriver, ils sont résisté à tous les sabotages et restent la seule industrie pharma du maghreb.

      En moyenne c'ets 170 millions d'unité vente par an. pour un marché de presque 800 millions d 'unité vente.

      Le chiffre d'affaire 2007 de saidal est de 130 millions de dollars. Mais ses prix sont bas. Sa production reconomise aujord'hui à 700 millions de dollars à l'algérie. Tout en faisant travailler 4000 employés.






      « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

      Commentaire


      • #4
        Saïdal n'est pas la seule indsutrie pharma du maghreb, c'est faux, au Maroc de très nombreuses entreprises privées et une publique s'y activent.
        Mais Saïdal reste la number one.

        Commentaire


        • #5
          ça c'est l'introduction d'un HS :
          Saïdal n'est pas la seule indsutrie pharma du maghreb, c'est faux, au Maroc de très nombreuses entreprises privées et une publique s'y activent.

          Et je parie qu'à son deuxiéme méssage , il va nous dire leurs nom !!
          .


          Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

          Commentaire


          • #6
            Voici un article sur le secteur en 2007:

            """L'industrie pharmaceutique marocaine de plus en plus compétitive

            2007-08-17
            L'industrie pharmaceutique marocaine a connu ces dernières années une évolution tant quantitative que qualitative. L'Organisation Mondiale de la Santé l'a même notée à égalité avec ses consoeurs européennes. Mais les responsables de ce secteur affirment que le Maroc doit augmenter la formation et les investissements s'il souhaite devenir un véritable acteur sur les marchés mondiaux.
            Par Sarah Touahri pour Magharebia à Rabat – 17/08/2007
            [Sarah Touahri] La majorité des médicaments achetés au Maroc concernent les infections, le système digestif, le métabolisme et le système nerveux central.



            Au cours des vingt dernières années, l'industrie pharmaceutique marocaine a enregistré une croissance considérable. Ses salariés sont pleinement satisfaits de ces résultats, mais affirment que beaucoup reste encore à faire pour asseoir un développement durable. Selon l'Association Marocaine de l'Industrie Pharmaceutique (AMIP), les performances de ce secteur et son niveau d'expertise sont désormais reconnus par l'Organisation Mondiale de la Santé, qui le classe à égalité avec son homologue européen.
            En 1965, le Maroc ne comptait que huit usines pharmaceutiques, contre trente-cinq aujourd'hui, dont la production répond aux normes de qualité internationales. Ces usines ont un chiffre d'affaires annuel combiné de cinq milliards de dirhams et sont évaluées à plus de deux milliards de dirhams au total. Les investissements annuels totalisent plus de trois cents millions de dirhams et le secteur emploie 37 000 personnes. En moyenne, huit à dix pour cent de la production sont exportés vers des pays européens, arabes, asiatiques et africains.
            Le président de l'AMIP, Omar Tazi, affirme que l'industrie pharmaceutique marocaine permet au pays "de disposer des traitements essentiels et d'assurer l'auto-suffisance du pays en termes de médicaments, ce qui en fait un secteur industriel stratégique pour le pays". L'entrée en vigueur de la couverture médicale obligatoire a également eu un impact sur cette industrie, qui a enregistré une augmentation de dix pour cent de ses ventes au cours du premier trimestre de cette année.
            Mais ce secteur a néanmoins perdu une partie de sa part de marché intérieur. Les entreprises marocaines fournissaient entre 80 et 85 pour cent de la demande intérieure il y a cinq ans, et elles ne satisfont aujourd'hui plus de 70 pour cent de celle-ci. Les 30 pour cent restants sont couverts par des importations à faible coût, essentiellement en provenance d'Europe.

            Cette perte de parts de marché ne semble toutefois pas inquiéter les experts. M. Tazi affirme qu'il est acceptable d'importer plus, dans la mesure où la demande de médicaments sophistiqués qui ne sont pas produits localement a augmenté. Comme les consommateurs dans d'autres pays, les Marocains cherchent de nouvelles thérapies. Ils ont besoin de nouveaux médicaments, dont la plupart ne sont pas produits localement, parce que les coûts de recherche et de développement sont très élevés.
            Selon l'AMIP, une étude des classes thérapeutiques montre que dans leur immense majorité, les médicaments sont destinés à aider le système digestif et le métabolisme, traiter les infections et le système nerveux central. Ce dernier représente près de la moitié du marché.
            Les salariés du secteur ont formulé quelques revendications. Ils espèrent que les autorités apporteront soutien et investissement pour renforcer la compétitivité du secteur sur le plan mondial. Les fabricants locaux sont obligés d'améliorer en permanence leurs équipements et leurs conditions de travail. M. Tazi explique que bien que l'industrie pharmaceutique n'ait eu que peu de problèmes pour adhérer aux normes européennes, la situation concernant les normes américaines est plus complexe et nécessitera une augmentation significative des investissements.
            Les pharmaciens ont appelé à des réformes du secteur. Mohamed Lghaouti Laghdef, président du Conseil Régional de l'Ordre des Pharmaciens du Nord, a indiqué que la profession devrait être revue, en mettant plus l'accent sur la spécialisation dans le domaine pharmaceutique, comme le font la plupart des pays développés. "Au Maroc, 77,5 pour cent des pharmaciens travaillent dans des dispensaires. Le reste travaille dans la biologie (250 pharmaciens) ou l'industrie (150 pharmaciens). Seuls deux pour cent des pharmaciens travaillent pour l'Etat", précise-t-il."""

            Commentaire


            • #7
              remarquez l'heures de mon message précédent et le sien !!!


              qu'est ce que vous en dites ??

              14:38 synchro
              .


              Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

              Commentaire


              • #8
                Le groupe Saïdal ne doit pas être surpassé par une compagnie marocaine, il réalise un chiffre d'affaire de près de 9 milliards de dinars, soit 18% du chiffre d'affaire de la pharma au Maroc.
                J'en conclu que l'industrie pharma au Maroc est plus importante que celle d'Algerie, mais que le premier groupe maghrebin est le groupe algérien Saïdal.

                Commentaire


                • #9
                  Beidawi, c'est pas grave , mais ce n'est pas le sujet, la, nous sommes sérieux , et on parle de choses vraiment sérieuses, alors STP, un autre jour .
                  .


                  Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

                  Commentaire


                  • #10
                    Le chiffre d'affaire de l'industrie marocaine de pharma est de 550 millions d'EUR, soit 650 million$, ou 5,9 milliards de DH.
                    Je ne sais pas si il y'a des équivalent de cette industrie au Maghreb.
                    Par contre l'avantage de l'Algérie est que la présence d'un groupe pharma important permet l'écclosion de la recherche.
                    La recherche que mène Saïdal est pionière au Maghreb, il me semble, a moins qu'au Maroc il y'ai un équivalent chez promopharm, ou laprophan...;

                    Commentaire


                    • #11
                      c'est tres bien continues comme ça, juste n'oublies pas de fermer derriere toi quand t'aura fini .







                      ça ne te dérange pas plus que ça de polluer ainsi tout les topic ???
                      .


                      Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

                      Commentaire


                      • #12
                        depuis tout à l'heure le seul qui écrit des topic où on parles pas de pharmacie c'est Azzouz 75;
                        Le même qui m'accuse de pollution!!!

                        Commentaire


                        • #13
                          le ca echeant passe à oujda pour t'approvisionner en medicaments importes d'algerie.

                          Commentaire


                          • #14
                            En plus tu joues à la victime. Ecoutes gamin, trop c’est trop

                            Sur ce topic le titre est :
                            Des anticancéreux «made in Algeria» bientôt sur le marché

                            Tu nous sors :
                            « oui nous aussi au Maroc nous avons…….

                            Sur un autre topic le sujet :

                            Informatique: Condor s’associe à Microsoft

                            Même refrain : « nous au Maroc nous avons…..


                            Enfin, un peu de respect, au moins quand vous êtes avec des adultes , comportez vous poliment mer..

                            Allez, je vous laisse FA bouffez le.
                            .


                            Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

                            Commentaire


                            • #15
                              tu m'as tué de rire azouz75
                              comment tu as deviné ce qu'il allait poster.... trop fort notre azouz75
                              Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
                              "L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants." Thomas Mann
                              Cette citation me vient de mon cousin chaoui Adhrhar

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X