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Le ministre algérien des Finances, Karim Djoudi, a pris part, lundi à Washington, à d’une réunion qui a regroupé les ministres des Finances des pays maghrébins et le directeur général du FMI, Dominique Strauss-Kahn. La situation économique et financière de l’Algérie et les perspectives de coopération du Fonds avec la Banque d’Algérie ont été au centre des travaux. Cette réunion s’est tenue après la plénière des Assemblées annuelles du FMI et de la BM auxquelles ont participé M.Djoudi et le gouverneur de la Banque d’Algérie, Mohamed Laksaci, aux côtés de plus de 180 ministres des Finances et banquiers centraux, en présence du DG du FMI, et du président de la BM, M.Robert Zoellik.
Le représentant du FMI a félicité l’Algérie pour la politique «prudente» qu’elle a menée dans la gestion de ses finances publiques, notamment en matière budgétaire et de la dette dont le remboursement anticipé a grandement participé au confortement de sa position financière. Il est à rappeler que dans son dernier rapport publié le mois en cours, le FMI prévoit des perspectives favorables pour l’économie algérienne, notamment dans les agrégats macroéconomiques relatifs à la croissance économique, à l’inflation et à la balance des paiements. Le FMI souligne entre autres, que le taux d’inflation devrait s’établir à 4,3% en 2008, à 4% en 2009 contre 3,6% en 2007.
Le Fonds anticipe quant au taux d’inflation de l’Algérie qui devrait connaître une nette baisse dans les prochaines années pour s’aligner à 2,9% en 2013. Concernant la dette, le FMI observe que grâce à sa politique de désendettement à travers le remboursement anticipé de la dette, l’Algérie est classée parmi les rares pays créanciers nets sur le continent africain en particulier et des pays en développement en général. L’Algérie avait abrité la première conférence annuelle Maghreb-FMI consacrée aux relations commerciales entre les pays de cette région. La prochaine édition de ces conférences devra se tenir en novembre prochain en Libye et portera sur le financement des projets communs.
source : l'Expression
Le représentant du FMI a félicité l’Algérie pour la politique «prudente» qu’elle a menée dans la gestion de ses finances publiques, notamment en matière budgétaire et de la dette dont le remboursement anticipé a grandement participé au confortement de sa position financière. Il est à rappeler que dans son dernier rapport publié le mois en cours, le FMI prévoit des perspectives favorables pour l’économie algérienne, notamment dans les agrégats macroéconomiques relatifs à la croissance économique, à l’inflation et à la balance des paiements. Le FMI souligne entre autres, que le taux d’inflation devrait s’établir à 4,3% en 2008, à 4% en 2009 contre 3,6% en 2007.
Le Fonds anticipe quant au taux d’inflation de l’Algérie qui devrait connaître une nette baisse dans les prochaines années pour s’aligner à 2,9% en 2013. Concernant la dette, le FMI observe que grâce à sa politique de désendettement à travers le remboursement anticipé de la dette, l’Algérie est classée parmi les rares pays créanciers nets sur le continent africain en particulier et des pays en développement en général. L’Algérie avait abrité la première conférence annuelle Maghreb-FMI consacrée aux relations commerciales entre les pays de cette région. La prochaine édition de ces conférences devra se tenir en novembre prochain en Libye et portera sur le financement des projets communs.
source : l'Expression