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L'euro repartait à la baisse face au dollar et au yen, mercredi en début d'échanges européens, plombé par de nouvelles craintes de récession en Europe, amplifiées par des chiffre montrant un recul de l'inflation, premier signe de ralentissement de l'économie.
Vers 09h00 GMT (11h00 à Paris), l'euro s'échangeait à 1,3589 dollar pour un euro, contre 1,3618 mardi vers 21h00 GMT.
La monnaie unique européenne reculait également à 137,16 yen pour un euro, contre 139,01 la veille.
Le dollar perdait aussi du terrain face au yen, à 101,00 yens pour un dollar contre 102,07 yens mardi soir.
"Après l'euphorie des Bourses dans la foulée des plans de sauvetage du secteur bancaire, qui a redonné un coup de fouet aux devises à haut rendement et à l'euro, et a stoppé l'avancée rapide du yen, maintenant le marché se remet de ses montagnes russes dans une ambiance de lendemain de fête", commentaient les analystes de Commerzbank.
L'euro repartait à la baisse, après son regain de la veille provoqué par un retour de confiance sur les marchés, alors que la crainte d'une croissance négative se répand en Europe.
Les grands instituts allemands de conjoncture ont ainsi estimé mardi que la première économie européenne était "au bord de la récession", prévoyant "au mieux" une croissance de 0,2% pour 2009. Et la Banque de France a revu à la baisse sa prévision de croissance pour le troisième trimestre en France, estimant que le PIB devrait baisser de 0,1% au lieu d'augmenter de 0,1%.
Mardi, en début d'échanges européens, la devise s'est vue davantage plombée par les chiffres de l'inflation allemande, dont le ralentissement au mois de septembre semble conforter les craintes de ralentissement économique confirmées peu après par la chancelière Angela Merkel.
Par ailleurs, le taux d'inflation dans la zone euro s'est établi à 3,6% sur un an en septembre, soit un léger ralentissement par rapport aux mois précédents, sur fond de repli des prix de l'énergie.
Les marchés guetteront les évolutions de la réunion, mercredi, à Bruxelles, des dirigeants européens pour un sommet au cours duquel ils vont tenter d'entériner à 27 pays le plan d'aide massif aux banques de près de 2.000 milliards de dollars décidé par les 15 pays de la zone euro et le Royaume-Uni dimanche et lundi.
Malgré les sommes massives débloquées par les Européens et les Américains pour soutenir leur secteur bancaire, la crise financière n'est pas pour autant terminée et une série de mauvais indicateurs nourrissent les craintes de récession aux Etats-Unis et en Europe, insistent les analystes qui pointaient le risque à la baisse pour l'euro d'un retour de l'aversion au risque sur les marchés.
La devise britannique était en hausse face à la monnaie européenne, à 77,82 pence pour un euro, comme face au dollar à 1,7448 dollar pour une livre.
La monnaie helvétique était stable face à l'euro à 1,5488 franc suisse pour un euro, et baissait face au dollar à 1,1404 franc suisse pour un dollar.
L'once d'or valait 849,50 dollars contre 832,50 dollars la veille au fixing du soir.
Sources : AFP.
Vers 09h00 GMT (11h00 à Paris), l'euro s'échangeait à 1,3589 dollar pour un euro, contre 1,3618 mardi vers 21h00 GMT.
La monnaie unique européenne reculait également à 137,16 yen pour un euro, contre 139,01 la veille.
Le dollar perdait aussi du terrain face au yen, à 101,00 yens pour un dollar contre 102,07 yens mardi soir.
"Après l'euphorie des Bourses dans la foulée des plans de sauvetage du secteur bancaire, qui a redonné un coup de fouet aux devises à haut rendement et à l'euro, et a stoppé l'avancée rapide du yen, maintenant le marché se remet de ses montagnes russes dans une ambiance de lendemain de fête", commentaient les analystes de Commerzbank.
L'euro repartait à la baisse, après son regain de la veille provoqué par un retour de confiance sur les marchés, alors que la crainte d'une croissance négative se répand en Europe.
Les grands instituts allemands de conjoncture ont ainsi estimé mardi que la première économie européenne était "au bord de la récession", prévoyant "au mieux" une croissance de 0,2% pour 2009. Et la Banque de France a revu à la baisse sa prévision de croissance pour le troisième trimestre en France, estimant que le PIB devrait baisser de 0,1% au lieu d'augmenter de 0,1%.
Mardi, en début d'échanges européens, la devise s'est vue davantage plombée par les chiffres de l'inflation allemande, dont le ralentissement au mois de septembre semble conforter les craintes de ralentissement économique confirmées peu après par la chancelière Angela Merkel.
Par ailleurs, le taux d'inflation dans la zone euro s'est établi à 3,6% sur un an en septembre, soit un léger ralentissement par rapport aux mois précédents, sur fond de repli des prix de l'énergie.
Les marchés guetteront les évolutions de la réunion, mercredi, à Bruxelles, des dirigeants européens pour un sommet au cours duquel ils vont tenter d'entériner à 27 pays le plan d'aide massif aux banques de près de 2.000 milliards de dollars décidé par les 15 pays de la zone euro et le Royaume-Uni dimanche et lundi.
Malgré les sommes massives débloquées par les Européens et les Américains pour soutenir leur secteur bancaire, la crise financière n'est pas pour autant terminée et une série de mauvais indicateurs nourrissent les craintes de récession aux Etats-Unis et en Europe, insistent les analystes qui pointaient le risque à la baisse pour l'euro d'un retour de l'aversion au risque sur les marchés.
La devise britannique était en hausse face à la monnaie européenne, à 77,82 pence pour un euro, comme face au dollar à 1,7448 dollar pour une livre.
La monnaie helvétique était stable face à l'euro à 1,5488 franc suisse pour un euro, et baissait face au dollar à 1,1404 franc suisse pour un dollar.
L'once d'or valait 849,50 dollars contre 832,50 dollars la veille au fixing du soir.
Sources : AFP.
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