ce sujet avait été abordé en juin, j'ai envie de le reprendre suite à des lectures sur le net.
On ne peut pas faire comme si ça n'existait pas. La réalité est bien en face de nous, l'homosexualité ' masculine ou féminine) a de tous temps exister.
en Islam , cette pratique est condamné. Mais que penser quand ces homosexuels se considèrent comme croyants.
voici un exemple;
Mushin Hendricks a acquis une certaine notoriété en Afrique du Sud. Une notoriété qu’il doit à son courage. Il a annoncé sur la radio nationale qu’il était imam, musulman et gay… Mushin Hendricks a payé cher son coming out. Il a dû démissionner des deux écoles où il enseignait le coran. Il a en prime vécu avec la peur que la communauté musulmane lui fasse payer son homosexualité : la plupart des fidèles de l’islam condamnent les relations entre personnes du même sexe, estimant que l’islam proscrit ces unions.
window.google_render_ad(); « Mon combat est un Jihad pour l’amour »
Mais Mushin Hendricks a tenu bon. « Mon combat est un Jihad pour l’amour », indique-t-il simplement. « J’ai tous les jours affaire à des jeunes musulmans qui luttent pour concilier l’islam avec leur sexualité. Mon travail consiste essentiellement à leur donner des conseils. Je leur dis d’accepter l’islam pour ce qu’il leur apporte de bien et de le concilier avec leur sexualité. Parce que celle-ci au bout du compte sera toujours présente. Je leur dis de rester dans l’islam et de laisser Allah en être juge à la fin des fins », explique le père de famille qui s’est marié pour cacher sa vraie nature.
On prend parfaitement la mesure de la peine de conjuguer islam et homosexualité dans le documentaire Jihad au nom de l’amour, dans lequel l’Afrique du Sud n’est que la première étape d’un périple mondial. Le réalisateur indien Parvez Sharma, lui-même gay et musulman, a posé sa caméra en Afrique du Sud, mais aussi en Egypte, en France, en Iran, en Turquie, au Pakistan, en Inde et au Canada.
le clip vidéo du film 'jihad au nom de l'amour'
On ne peut pas faire comme si ça n'existait pas. La réalité est bien en face de nous, l'homosexualité ' masculine ou féminine) a de tous temps exister.
en Islam , cette pratique est condamné. Mais que penser quand ces homosexuels se considèrent comme croyants.
voici un exemple;
Mushin Hendricks a acquis une certaine notoriété en Afrique du Sud. Une notoriété qu’il doit à son courage. Il a annoncé sur la radio nationale qu’il était imam, musulman et gay… Mushin Hendricks a payé cher son coming out. Il a dû démissionner des deux écoles où il enseignait le coran. Il a en prime vécu avec la peur que la communauté musulmane lui fasse payer son homosexualité : la plupart des fidèles de l’islam condamnent les relations entre personnes du même sexe, estimant que l’islam proscrit ces unions.
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Mais Mushin Hendricks a tenu bon. « Mon combat est un Jihad pour l’amour », indique-t-il simplement. « J’ai tous les jours affaire à des jeunes musulmans qui luttent pour concilier l’islam avec leur sexualité. Mon travail consiste essentiellement à leur donner des conseils. Je leur dis d’accepter l’islam pour ce qu’il leur apporte de bien et de le concilier avec leur sexualité. Parce que celle-ci au bout du compte sera toujours présente. Je leur dis de rester dans l’islam et de laisser Allah en être juge à la fin des fins », explique le père de famille qui s’est marié pour cacher sa vraie nature.
On prend parfaitement la mesure de la peine de conjuguer islam et homosexualité dans le documentaire Jihad au nom de l’amour, dans lequel l’Afrique du Sud n’est que la première étape d’un périple mondial. Le réalisateur indien Parvez Sharma, lui-même gay et musulman, a posé sa caméra en Afrique du Sud, mais aussi en Egypte, en France, en Iran, en Turquie, au Pakistan, en Inde et au Canada.
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