La baisse du prix du baril de pétrole, qui pourrait se stabiliser à 78 dollars, celle des produits de première nécessité ainsi que la hausse de la valeur du dollar par rapport à l’euro, pourraient générer davantage de recettes en dinars...
La baisse du prix du baril de pétrole, qui pourrait se stabiliser à 78 dollars, celle des produits de première nécessité ainsi que la hausse de la valeur du dollar par rapport à l’euro, pourraient générer davantage de recettes en dinars, a affirmé le ministre des Finances, Karim Djoudi. «Sur notre économie, le prix du baril de pétrole devra jouer sur nos recettes fiscales et d’exportation, en légère diminution, mais ceci est compensé par le fait que le dollar va se raffermir contre l’euro et donc ce que nous perdons en valeur du prix du baril nous le compensons par la valorisation du dollar par rapport à l’euro», a-t-il dit, à la presse en marge d’une séance de l’Assemblée populaire nationale (APN) consacrée aux réponses du ministre sur la loi de Finances 2009. Djoudi a expliqué que «l’hypothèse retenue est que le dollar va se reformer et l’euro va baisser», ajoutant que «l’euro, qui se situe aujourd’hui entre 1,35 et 1,36, devrait encore baisser, ce qui aura un effet d’appréciation du dollar par rapport à l’euro et donc davantage de recettes en dinars». «La baisse des produits de première nécessité, soutenus par l’Etat, devrait intervenir dans la baisse de nos dépenses budgétaires et nos importations», a-t-il estimé. Concernant le prix du baril de pétrole, il a indiqué que la crise financière pouvait avoir un impact sur son prix, mais qu’«il serait, nous l’espérons, atténué par le fait que le pétrole est un bien rare et que sa rareté fait qu’il soit plus ou moins un prix rémunérateur».
La baisse du prix du baril de pétrole, qui pourrait se stabiliser à 78 dollars, celle des produits de première nécessité ainsi que la hausse de la valeur du dollar par rapport à l’euro, pourraient générer davantage de recettes en dinars, a affirmé le ministre des Finances, Karim Djoudi. «Sur notre économie, le prix du baril de pétrole devra jouer sur nos recettes fiscales et d’exportation, en légère diminution, mais ceci est compensé par le fait que le dollar va se raffermir contre l’euro et donc ce que nous perdons en valeur du prix du baril nous le compensons par la valorisation du dollar par rapport à l’euro», a-t-il dit, à la presse en marge d’une séance de l’Assemblée populaire nationale (APN) consacrée aux réponses du ministre sur la loi de Finances 2009. Djoudi a expliqué que «l’hypothèse retenue est que le dollar va se reformer et l’euro va baisser», ajoutant que «l’euro, qui se situe aujourd’hui entre 1,35 et 1,36, devrait encore baisser, ce qui aura un effet d’appréciation du dollar par rapport à l’euro et donc davantage de recettes en dinars». «La baisse des produits de première nécessité, soutenus par l’Etat, devrait intervenir dans la baisse de nos dépenses budgétaires et nos importations», a-t-il estimé. Concernant le prix du baril de pétrole, il a indiqué que la crise financière pouvait avoir un impact sur son prix, mais qu’«il serait, nous l’espérons, atténué par le fait que le pétrole est un bien rare et que sa rareté fait qu’il soit plus ou moins un prix rémunérateur».
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