je te savais mauvaise…
j’avais su ménager mes espaces…
je me préservais de tes flèches...
ces piques allègrement jetées ...
elle entrerait en mon coeur...
elle creuserait l’ abîme …
plus loin.. au plus profond…
peu importait alors le mal..
peu importait cette liqueur assassine …
qui exultait de tes lèvres et s’en allait...
Je restais muet…
les cris, les pleurs et le tapage.
Je contemplais,l’étendue de notre désastre.
Je ne tenterais aucun geste pour te retenir,
je ne tenterais pas le diable,
l’amour se mourrait,
à quoi bon s’user à sa résurrection ?
j’avais su ménager mes espaces…
je me préservais de tes flèches...
ces piques allègrement jetées ...
elle entrerait en mon coeur...
elle creuserait l’ abîme …
plus loin.. au plus profond…
peu importait alors le mal..
peu importait cette liqueur assassine …
qui exultait de tes lèvres et s’en allait...
Je restais muet…
les cris, les pleurs et le tapage.
Je contemplais,l’étendue de notre désastre.
Je ne tenterais aucun geste pour te retenir,
je ne tenterais pas le diable,
l’amour se mourrait,
à quoi bon s’user à sa résurrection ?
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