Salut a tous,
Hier soir, après une journée ordinaire je rentrai chez moi, un peu tard il est vrai, vers 20h. J'étais en voiture avec un ami et arrivés a la sortie d'autoroute qui mene vers Bachjarrah on a vu que la route était quasiment bloquée par les emouteillages. Je lui ai donc demandé de me déposer sur place, en pensant déscendre vers El-Harrach en taxi ou alors en bus, si j'en trouve encore un a cette heure "tardive".
J'ai donc marché une centaines de mètres et arrivant au niveau des arrêts (Tennis) j'aperçoit un dérnier bus, je presse un peu le pas et voila qu'un mec surigt de nul part avec un couteau en main. Il fesai un peu noir et je n'ai remarqué l'arme que quand il était devant moi. L'endroit était spacieux alors je me sui dit que je pourrais le semer facilement, je lui assene un coup de pied en plein poitrine puis j'en profite pour filer, mais a peine me suis-je retourner qu'un autre gars est en face de moi et là je ne sais comment je me retrouve par terre, un couteau à la gorge et un autre a l'éstomac, j'avoue avoir cru vivre ma dérnière minute et n'attendait que le moment ou les lames me transpercent.
"File moi le téléphone fils de p ..." me dit celui qui me méttait le couteau à la gorge, je le lui donne. "Sort l'argent p ..." me dit-il encore, et je lui file les 500 Da que j'avais encore en poche et là il me demande de lui donner le reste mais lui disant que j'en avais plus, il me fouyille tout de même, jusque au caleçon. "Si tu nous suis je te saigne" me dit alors l'autre, juste avant de filer vers l'intérieur de la cité. Quand je me relève je n'en revient pas. Quelques personnes étaient là a regarder mais nul n'a levé le petit doigt, et on est tous parti comme si rien n'était.
J'étais assez choqué et je marchais sans vraiment savoir ou j'allais. Passant devant le commissariat de Bachdjerrah (environ 1 km plus loin) je rentre pour déposer plainte. Le flic qui était à la porte m'écoute puis me dit : "les arrêts ce n'est pas notre secteur, va vers le poste police du Lotissement Michel, c'est eux les résponsables". Je lui fait alors remarqué que je viens d'être agréssé et que je suis venu a pied depuis la bas et qu'il n'était pas normal que je refasse le même chemin a pied !!!!! Il ne voulait rien entendre et m'a dit : "Ca c'est ton problème". Je n'ai donc rien pu faire d'autre si ce n'est continuer vers chez moi, 2 ou 3 km plus loin, en priant Dieu de ne pas subir la même chose une seconde fois car je n'avais plus rien a "donner", d'autant que le chemin n'était pas plus sur vers ce côté là.
Arrivé enfin à la maison je ne sentrais plus mes jambes et je réalisais que je venais d'échapper à la mort par je ne sais quel miracle, mais aussi a quel point ce pays devenait invivable. Je ne peut aujourd'hui décrir mon état d'ésprit, si ce n'est une térrible mélancolie et une peur que je ne peut expliquer. Je jure par Dieu que je ne vivrai pas dans ce pays et que je partirai dès que possible, simple question de temps.
Hier soir, après une journée ordinaire je rentrai chez moi, un peu tard il est vrai, vers 20h. J'étais en voiture avec un ami et arrivés a la sortie d'autoroute qui mene vers Bachjarrah on a vu que la route était quasiment bloquée par les emouteillages. Je lui ai donc demandé de me déposer sur place, en pensant déscendre vers El-Harrach en taxi ou alors en bus, si j'en trouve encore un a cette heure "tardive".
J'ai donc marché une centaines de mètres et arrivant au niveau des arrêts (Tennis) j'aperçoit un dérnier bus, je presse un peu le pas et voila qu'un mec surigt de nul part avec un couteau en main. Il fesai un peu noir et je n'ai remarqué l'arme que quand il était devant moi. L'endroit était spacieux alors je me sui dit que je pourrais le semer facilement, je lui assene un coup de pied en plein poitrine puis j'en profite pour filer, mais a peine me suis-je retourner qu'un autre gars est en face de moi et là je ne sais comment je me retrouve par terre, un couteau à la gorge et un autre a l'éstomac, j'avoue avoir cru vivre ma dérnière minute et n'attendait que le moment ou les lames me transpercent.
"File moi le téléphone fils de p ..." me dit celui qui me méttait le couteau à la gorge, je le lui donne. "Sort l'argent p ..." me dit-il encore, et je lui file les 500 Da que j'avais encore en poche et là il me demande de lui donner le reste mais lui disant que j'en avais plus, il me fouyille tout de même, jusque au caleçon. "Si tu nous suis je te saigne" me dit alors l'autre, juste avant de filer vers l'intérieur de la cité. Quand je me relève je n'en revient pas. Quelques personnes étaient là a regarder mais nul n'a levé le petit doigt, et on est tous parti comme si rien n'était.
J'étais assez choqué et je marchais sans vraiment savoir ou j'allais. Passant devant le commissariat de Bachdjerrah (environ 1 km plus loin) je rentre pour déposer plainte. Le flic qui était à la porte m'écoute puis me dit : "les arrêts ce n'est pas notre secteur, va vers le poste police du Lotissement Michel, c'est eux les résponsables". Je lui fait alors remarqué que je viens d'être agréssé et que je suis venu a pied depuis la bas et qu'il n'était pas normal que je refasse le même chemin a pied !!!!! Il ne voulait rien entendre et m'a dit : "Ca c'est ton problème". Je n'ai donc rien pu faire d'autre si ce n'est continuer vers chez moi, 2 ou 3 km plus loin, en priant Dieu de ne pas subir la même chose une seconde fois car je n'avais plus rien a "donner", d'autant que le chemin n'était pas plus sur vers ce côté là.
Arrivé enfin à la maison je ne sentrais plus mes jambes et je réalisais que je venais d'échapper à la mort par je ne sais quel miracle, mais aussi a quel point ce pays devenait invivable. Je ne peut aujourd'hui décrir mon état d'ésprit, si ce n'est une térrible mélancolie et une peur que je ne peut expliquer. Je jure par Dieu que je ne vivrai pas dans ce pays et que je partirai dès que possible, simple question de temps.
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