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Allah aurait causé la crise financière

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  • Allah aurait causé la crise financière

    Le chef du hamas palestinien Ismaïl Haniyeh a déclaré lors de la prière du vendredi passé qu'Allah a causé la crise financière aux Etats-Unis et en Europe pour punir les oppresseurs!

    Les stupides fanatiques religieux, qu'ils soient musulmans, chrétiens ou juifs, aiment à se prendre pour les porte-parole de Dieu!


  • #2
    Désolant ! c'est comme si on disait que les Palestiniens sont punis par une occupation car ils sont de mauvais musulmans !!
    ?

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    • #3
      j'ai entendu presque la meme chose dans une mosquée a Alger Vendredi dernier et qui disait pendant le preche " oundorou ila amrika wa bounoukiha eribaouia fi azmatin layssa laha mathil min qablou " en gros il voulais dire que les banque americaine avec leurs system qui est contradiction a l'islam sont en crise et si ils avait suivis l'islam ils serait a l'abri
      " La voix c'est ce qui ressemble le plus a l'ame" [ Roger Mondoloni ]

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      • #4
        Voila pourquoi je ne crois rien de ce que les hommes peuvent dire au nom de la religion!

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        • #5
          ouai, mais ce qui est moins marrant c'est que certain vont y croire et s'enfoncer encore plus dans le fanatisme :22:

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          • #6
            Voila pourquoi je ne crois rien de ce que les hommes peuvent dire au nom de la religion!
            et t'a pas encore entendu les femmes et ce qu'elles peuvent dire au nom de la religion
            " La voix c'est ce qui ressemble le plus a l'ame" [ Roger Mondoloni ]

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            • #7
              dieu avait des action dans les bank amirécain !!

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              • #8
                En fait si on est dans une logique religieuse, ce n'est pas si farfelu que ça en a l'air.
                On sait que selon le Coran, Dieu a favorisé l'émergence de certains empires et a décidé du déclin d'autres. Et cette crise financière pourrait être fatale aux USA comme super-puissance...
                Maintenant il est clair qu'il ne faut pas s'improviser devin, mais bon rien est impossible ("oua houa 3la koul chain kadir")
                Dernière modification par absent, 22 octobre 2008, 14h35.

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                • #9
                  En effet, une partie non négligeable de ceux qui écoutent ce type de fanatiques religieux se transforment en fanatiques par la force de l'ignorance.

                  Notez l'arrogance du stupide prêcheur! Il se prend vraiment pour le porte parole d'Allah! Un peu comme le stupide fanatique évangélique américain qui avait récemment exigé de Dieu qu'il fasse gagner John McCain le 4 novembre prochain s'il ne veut pas perdre de son estime auprès des évangéliques!

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                  • #10
                    Je dirais pareil. Dieu a instauré des rêgles et il n'a pas à intervenir à chaque fois. Il y a eu des dépassements et donc ils ont payé cash. Mais Hanniyeh n'a pas conçu la chose dans ce sens.

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                    • #11
                      et si on suit cette logique
                      je dirais :
                      Que la pire des punitions pour les musulmans , c'est d'avoir ce genre de fanatique ignorant dans cette religion ...

                      et si on suit cette logique bidon ....alors les enfants qui meurent de faim un peu partout ds le monde , c'est une punition de DIEU !
                      et les personnes qui souffrent de maladie incurable , c'est également un châtiment divin de DIEU !.......

                      a leur place j'irais voir un psy
                      "N'imitez rien ni personne. Un lion qui copie un lion devient un singe." Victor Hugo

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                      • #12
                        surtout que le libre arbitre n'est pas négligeable non plus, coûte que coûte certains essayent de tout délégué à Dieu par faiblesse et ignorance.
                        Il n’y a rien de noble à être supérieur à vos semblables. La vraie noblesse, c'est être supérieur à votre moi antérieur.
                        Hemingway

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                        • #13
                          Et pourtant il y a belle et bien certains experts qui pensent que le système musulman serait le meilleur pour l'economie mondiale.
                          D'ailleurs voilà un aperçu de l(un d'entre eux.

                          dimanche 28 septembre 2008 - par Roland Laskine

                          Chronique. Roland Laskine, rédacteur en chef à l’hebdomadaire Le Journal des Finances, analyse l’interdiction des ventes à découvert aux Etats-Unis.

                          En 1968, les étudiants écrivaient sur les murs qu’il est « interdit d’interdire ». Aujourd’hui, ces mêmes étudiants, dont une bonne partie occupent des postes clés dans les entreprises ou l’administration s’inquiètent de la crise financière et déclarent qu’il est « interdit de laisser faire ». L’heure est donc au resserrement des contrôles sur toutes les places financières et surtout à la restriction des opérations spéculatives qui ont largement contribué à aggraver la crise.

                          Lorsque Nicolas Sarkozy monte à la tribune de l’ONU pour réclamer plus de contrôle et une meilleure régularisation des règles du capitalisme, notre Président ne fait que traduire l’exaspération générale de dizaines de millions d’épargnants dans le monde victimes des agissements d’une poignée de banquiers irresponsables.

                          L’interdiction totale des ventes à découvert sur les valeurs financières de part et d’autre de l’Atlantique et la limitation des opérations à effets de leviers qui permettent de parier sur 100 ou 500 en ne mettant sur la table d’une dizaine de dollars, était sous doute nécessaire. A court terme, il était en effet important d’éteindre l’incendie qui menace de se propager à l’ensemble de la maison. La mise en œuvre de ces restrictions est beaucoup plus délicate.

                          Les « hedge funds » ne sont jamais à court d’idées pour spéculer
                          Si nos dirigeants financiers cherchent vraiment à limiter la spéculation, rien de plus simple, il suffit d’appliquer des principes de la Charia arrêtés sept cents ans auparavant : interdit de vendre des actifs que vous ne possédez pas de façon effective ou de réaliser des opérations de prêts d’argent moyennant rémunération. Interdit surtout de spéculer sur les déboires d’une entreprise. Le seul moyen de s’enrichir c’est de participer au développement d’une entreprise et d’en percevoir les fruits en étant présent au capital.
                          Des principes simples et de bon sens que tous les détenteurs d’actions ou de contrats d’assurance-vie indexés sur la Bourse auraient voulu voir appliqués plus tôt. Le problème est que ces principes de gestion ne correspondent ni à la tradition occidentale, ni à nos convictions religieuses. Pour que le système fonctionne il faut surtout que tout le monde s’y conforme en même temps. Car dans un monde où la spéculation est reine, aucun titre - fut-il trié sur le volet - n’est à l’abri d’un mauvais coup.
                          Toute la difficulté pour les régulateurs consistera donc trouver des règles communes à tous les intervenants et surtout applicables à toutes les classes d’actifs. En limitant momentanément des ventes à découvert sur les valeurs financières, les autorités de marché prennent le risque de faire dévier la spéculation sur des titres connexes, comme les biens de consommation ou l’automobile dont on peut penser qu’ils seront eux aussi victimes de raréfaction de l’offre de crédit de la part des banques. L’extrême volatilité du prix du baril de pétrole qui a gagné plus de 15% en quelques heures en début de semaine à New York montre que les « hedge funds » ne sont jamais à court d’idées lorsqu’il s’agit d’alimenter la spéculation.

                          Pour retrouver son équilibre, le marché a besoin de sanctionner tous les excès commis par les banques. Les mesures partielles mises en place ça et là peuvent retarder la chute des maisons les plus vulnérables, mais elles n’ont aucune chance de la stopper. Ce n’est qu’une fois que la bulle immobilière et financière aura explosé, que le régulateur pourra s’atteler à la mise en place d’une réglementation pus contraignante et applicable à tous sans exception.

                          Pour l’heure, même si nous avons le sentiment que le dénouement de la crise est proche, il faut reconnaître qu’il est bien difficile de revenir en Bourse en toute confiance.


                          Source : Journal des Finances

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