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La crise mondiale sur l'algerie : La vrai situation

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  • La crise mondiale sur l'algerie : La vrai situation

    Le chef du gouvernement n'arrete pas de dire que l'algerie ne sera pas affecte par la crise .... ? !!!

    Peut on croire ces declarations, car l'algerie ne vie pas isole du reste du monde. Du moment ou l'UE est deja touche (ou cette situation poura duree entre 1 a 2 ans pour retablir la confience) , leur investissement dans nos pays sera aussi touche.

    Je ne comprend pas pkoi le gouv continue a dire que notre economie est solide alors qu'on importe presque la totalite de nos besoins en produits alimentaires de bases. Il suffit que le Bresil ou l'UE ferme un peu le robinet on va avoir la meme situation qu'en egypt ou en Afrique il y a qqe temps.

    si par exple Emaar est touchee, elle ne poura investir en algerie, ce qui touchera le plan de devellopement et de croissance de l'algerie .......... d'ou l'algerie sera directement ou indirectement touche par la crise.

    On demande a Mr Ouyahia de dire la situation reelle, car les projets a coup de milliards de dollars lance doivent etre soit reexamine ou reetudier pour bien se preparer a une possibilite de crise .........

    A mon avis, c'est le meilleur moment pour respensabilise la population et de lancer une vrai politique agricole, car contrairement a l'Iran qui est sous embargo, ce pays n'est surement pas touche par la crise de la meme maniere que nous, du moment ou ils produisent la totalite de leurs besoin, et ils l'exportent meme certains produits qui ne sont pas sous embargo et enfin ils produisent bcp plus de petrole que nous.


    Et enfin, une politique de controle des depences publiques et de suivi des projets doit etre effectuee, car si le gouvernement continue a depenser l'argent des hydrocarbures dans des realisations steriles a coup de 3 milliards de $, c'est l'algerien qui va payer la facture a la fin.

    A vous de me dire ce que vous pensez ???? L'UMA n'a t'elle pas un role a jouer dans cette periode de crise ?
    Dernière modification par racdavid, 23 octobre 2008, 15h19.

  • #2
    Envoyé par racdavid
    Je ne comprend pas pkoi le gouv continue a dire que notre economie est solide alors qu'on importe presque la totalite de nos besoins en produits alimentaires de bases. Il suffit que le Bresil ou l'UE ferme un peu le robinet on va avoir la meme situation qu'en egypt ou en Afrique il y a qqe temps.
    Fermer le robinet ??!!! C'est quoi cette abérration ??

    Envoyé par racdavid
    si par exple Emaar est touchee, elle ne poura investir en algerie, ce qui touchera le plan de devellopement et de croissance de l'algerie .......... d'ou l'algerie sera directement ou indirectement touche par la crise.
    Il y a des pays autour de nous qui dépendent entièrement de l'investissement étranger donc ils sont encore plus vulnérables.

    L'Algérie ne peut empecher des entreprises étrangères à tomber faillite ou à réduire leur investissements.

    Mais l'Algérie dépends plus des cours du pétrole que des investisseurs étrangers et meme pour le premier péril, l'Algérie a constitué une appréciable réserve en devises pour celà.

    Envoyé par racdavid
    A mon avis, c'est le meilleur moment pour respensabilise la population et de lancer une vrai politique agricole, car contrairement a l'Iran qui est sous embargo, ce pays n'est surement pas touche par la crise de la meme maniere que nous, du moment ou ils produisent la totalite de leurs besoin, et ils l'exportent meme certains produits qui ne sont pas sous embargo et enfin ils produisent bcp plus de petrole que nous.
    Ah tu deviens partisans d'Ahmadinejad maintenant ??

    Je te signale que l'Iran est encore plus vulnérable que l'Algérie puisque son économie ne peut supporter un pétrole à moins de 100 dollars.

    Envoyé par racdavid
    A vous de me dire ce que vous pensez ???? L'UMA n'a t'elle pas un role a jouer dans cette periode de crise ?
    Ah l'UMA, c'est vrai que nous allons bientot couler (et nous sommes les seuls à subir celà) et on compte sur nos chéres voisins de nous sortir du trou

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    • #3
      Je pense que tu es un peu de mauvaise foi comme a tes habitudes, je ne parle pas de moi mais du gouvernement, tu n'as pas repondu a l'idee globale de mon poste........ ??

      Pkoi le Gouv Algerien ne veut pas admettre qu'il y a un risque sur notre economie si la crise perciste ..... Pkoi ce Ouyahia continue a nier tt.

      Ce comportement schisophrene de notre gouv me fait presage le pire, surtt si la population n'est guerre preparer a replonger une deuxieme fois dans une crise economique. Ce jour la, ca sera trop tard.

      En france, perso je commence a sentir venir qqe chose, deja les prix de l'immobilier baissent, les postes d'emplois sont bloques et leurs ouverture est reportes pour plusieurs mois, ... les banques nous rappellent pour nous explique le pbme de cette crise, ....

      Code HTML:
      Mais l'Algérie dépends plus des cours du pétrole que des investisseurs étrangers et meme pour le premier péril, l'Algérie a constitué une appréciable réserve en devises pour celà.
      Bravo petit Jesus, cette somme va nous sauveee ... Ya Niya (Lorsque la France va mettre sur la table 360 millirds d'euro, l'allemagne qqe 400 Milliards, l'UK plus les USA presque 700 Millirds et tt cela n'a rien ameliore .... tes cacaouettes ne durerons pas plus de 2 ans, a condition que les prix des produits alimentaires restent a leurs niveau d'aujourd'hui, alors que tu sais que les prix vont augmenter .... donc tu survivera combien de temps mon ami )


      Concernant, l'UMA je pense que c'est ds des moment de crise qu'il faut s'unir car lorsque tt va bien, tt le monde n'a rien a foutre de l'union .... mais, bon toi schiso comme tu es, tu es bloque sur ton idee anti-voisin de l'Ouest, donc UMA pour toi represente charite.

      Je ne vois pas seulement a nos deux voisins Tunisie et Maroc, mais cette fois ci la Lybie fait mieux que nous, alors entre nous discutons tranquilos sinon s'abstenir ......... Merci a toi
      Dernière modification par racdavid, 23 octobre 2008, 17h20.

      Commentaire


      • #4
        algerie

        Je pense que tu es un peu de mauvaise foi comme a tes habitudes, je ne parle pas de moi mais du gouvernement, tu n 'a pas repondu a l'idee globale de mon poste.

        Pkoi le Gouv Algerien ne veut pas admettre qu'il y a un risque sur notre economie si la crise perciste ..... Pkoi ce Ouyahia continue a nier tt.

        Ce comportement schisophrene de notre gouv me fait presage le pire, surtt si la population n'est guerre preparer a replonger une deuxieme fois dans une crise economique
        xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
        @ mendz ta repondu tres clairement et tres justement
        il n'ya rien a admettre

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        • #5
          tôt ou tard, si la crise se prousuit ou s'agrave notre pays sera touché, autant s'y preparer de suite et faire des choix strategiques

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          • #6
            Le chef du gouvernement n'arrete pas de dire que l'algerie ne sera pas affecte par la crise .... ? !!!
            Ouyahia n'a pas dit ça...
            Au contraire, il a bien donné trois limites de prix du baril pour que l'Algérie soit en difficulté, en crise ou en danger.
            C'est très clair et il a raison, pour le moment, l'Économie algérienne est très dépendante des revenus des hydrocarbures et si ces derniers fléchissent, l'Économie algérienne fléchira...


            Le reste de tes questions manquent de consistance sinon c'est que du blablabla racdavidien

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            • #7
              Envoyé par racdavid
              a condition que les prix des produits alimentaires restent a leurs niveau d'aujourd'hui, alors que tu sais que les prix vont augmenter ....
              Ah non, moi je ne le sais pas, c'est toi qui le dit

              Mais bon, si les prix des produits alimentaires de base augumentent sur le marché mondial ça implique directement que le pétrole a flambé aussi

              Donc on est gagnants quand meme.

              Et puis je te le signale si tu ne le sais pas, une récession économique mondiale ====> déflation mondiale donc baisse des prix.

              Et c'est ce qui est constaté actuellement au niveau de tous les matières premières et principalement les produits alimentaires.

              Envoyé par racdavid
              mais cette fois ci la Lybie fait mieux que nous

              En quoi svp ?? Eclaire nous de tes lumières

              Mais biensur, que la crise est mondiale et celà personne ne le nie, mais j'espère que tu conviens avec moi que tout pays a ses spécificités, ses points forts et ses points faibles donc aucun pays ne sera touché de la meme manière que l'autre, et en ce qui concerne l'Algérie, son sort ne dépends que des prix du pétrole, si les prix se maintiennent au dessus de 50 $, l'Algérie ne crains pratiquement rien, sinon, elle devrait serrer la ceinture comme tous les autres pays.

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              • #8
                bsr tt le monde !
                franchement ce que soulève racdavid dans son post ne relève pas de l'abberation. Le mal est profond. La crise financière prend de l'ampleur et s'étend à tous les continents(le dernier en date l'argentine). L'assèchement des liquidité inquiète tous les pays et aucun ne sera épargné à part cuba et la corée du nord qui ne sont pas integré aux échanges mondiaux capitalistes comme l'est l'algérie et ses voisins.
                Entendre dire le chef du gouvernement que "l'algérie sera épargnée" me fait rappeler un certain premier ministre français à propos du nuage de tchernobyl qui s'arrete aux frontière du pays.
                Voyons les choses de plus près au risque de choquer les pseud-optimistes:
                90% de nos echanges se font avec les pays de l'OCDE, essentiellement l'UE;
                98% de nos recettes en devises proviennent des hydrocarbures avec un prix qui fait du yoyo et suit une tendance baissière;
                Notre budget est calculé sur la base d'un baril à 35$, lorsque la première éconiomie mondiale tombe en recession sa demande en énergie baisse aussi, ce phénomène est accentué lorsque les spéculateurs anticipent la baisse en se délaissant des actions pétrolières et trouver d'autres valeurs.
                Alors je veux bien être optmiste comme ouyahia avec une telle marge de manoeuvre!

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                • #9
                  Code HTML:
                  Mendz et Langar

                  voici les dernieres declarations du ministre du commerce Algerien ...... le Yoyo Algerien continue, un coup tt va bien et un coup le feu est a la maison.

                  Je pense que MenDz comme Langar vous etes un exple de l'aveuglement de l'algerie et de la politique Algerienne........ L'algerie d'ailleurs ne sait ou mettre la tete, forte de qqe cacaouette dans son livret d'epargne dans les banques europeenne qui sont d'ailleurs en difficulté, commence a avoir peur de sa survie et la survie de notre regime.

                  Je vais pas jouer a la sorciere pour predire un scenario catastrophe, mais je vais juste vous donner un article du journal l'expression d'aujourd'hui:

                  CRISE FINANCIÈRE ET CHUTE DES PRIX DU PÉTROLE
                  L’angoisse de El Hachemi Djaâboub
                  26 Octobre 2008 - Page : 3
                  Lu 941 fois

                  Notre économie est trop dépendante du pétrole

                  Devant la gravité de la situation, notamment en raison de la dépendance de l’Algérie aux exportations d’hydrocarbures, le ministre du Commerce a exhorté le gouvernement à trouver d’autres alternatives pour garantir d’autres sources de revenus plus sûres au pays........
                  Dernière modification par racdavid, 26 octobre 2008, 11h44.

                  Commentaire


                  • #10
                    La crise mondiale sur l'algerie : La vrai situation

                    Hbibna racdavid bonjour.

                    Devant la gravité de la situation, notamment en raison de la dépendance de l’Algérie aux exportations d’hydrocarbures,

                    La "Remarque" du ministre (remarque qui ne concerne que lui, rien d'officiel...)

                    le ministre du Commerce a exhorté le gouvernement à trouver d’autres alternatives pour garantir d’autres sources de revenus plus sûres au pays........

                    La "Contradiction" du ministre...

                    Pour camoufler les défaillances du département du commerce en l'occurence les entreprises d'etat qui carburent grace à l'argent du pétrole et les seules à représenter l'essentiel du tissu économique du pays, voilà qu'il faut trouver des alternatives pour garantir "d'autres" sources de revenu au pays!!
                    Mister Minister c'est NON!
                    Le sérum c'est Terminé!
                    La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
                    De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
                    .
                    Merci.
                    " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

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                    • #11
                      Racdavid, je crois que le president algerien ete claire il y a quelque mois, il y a pas de crise sauf si le baril de petrole decend sous les 50 dollars, ou 60 pour les grands infrastructure.

                      maintenant que le prix et tous pres des 60$ on commence de parler d'une crise et meme de l'endetemenet dans les 4 ,5 ans si les prix reste sous les 50$

                      __________________________________________________ ______________

                      L’économie algérienne dans le rouge : L’Etat face à la crise
                      L’Etat algérien va-t-il enfin pouvoir tordre le cou aux intérêts mafieux, ceux qui imposent à la collectivité nationale — en s’appuyant sur la formidable « puissance » de la bureaucratie, noyautée par des réseaux occultes — l’importation massive de denrées, produits en tout genre... qui auraient pu être, depuis déjà de longues années, fabriqués en Algérie ? La crise économique mondiale est à nos portes. Si notre système bancaire et financier n’a pas été touché « en raison du retard mis à le moderniser », le ralentissement des économies des pays développés, y compris celle de la Chine, porte un coup dur au marché de l’énergie. L’Opep est aujourd’hui incapable de défendre un prix de pétrole oscillant entre 60 et 80 dollars, à moins d’une très forte réduction de la production. Ce qui n’est pas du tout évident.

                      Le cycle d’un prix du pétrole élevé inauguré en 1999 s’achève. Les pays producteurs de pétrole vont devoir batailler fort pour empêcher un effondrement du marché du brut ; le scénario de 1986, avec un baril à 6 dollars, est encore dans tous les esprits. L’économie algérienne est, de nouveau, exposée à tous les périls. Tous les dangers. Le chef du gouvernement Ahmed Ouyahia a eu le courage d’avertir, le 25 juin dernier, lors du congrès du RND, du risque de voir le prix du pétrole passer en dessous des 60 dollars : « Tous les projets du pays seraient chimériques et sans lendemain. » Le président Bouteflika prend le relais le 26 juillet, face aux maires, en critiquant sévèrement les investisseurs étrangers qui font des bénéfices sur le dos de l’Algérie. L’aisance financière est un mythe. La cagnotte financière (140 milliards de dollars) risque d’être aspirée en quelques petites années. La fragilité légendaire de l’économie algérienne se vérifie encore une fois. Le coût social sera élevé, sans préjuger du reste... L’on se pose à nouveau cette question qui taraude continuellement les esprits : est-il normal que la facture alimentaire du pays soit encore à ce point élevée ? Pourquoi toutes ces importations de voitures qui coûtent très cher à la Banque centrale en termes de devises, et l’on apprend, au détours d’une déclaration de la vaillante Unop, que pas moins de 15 unités de médicaments sont fermées pour donner libre cours à l’importation. Qui profite de ces situations de rente si l’on exclut les firmes étrangères ? Depuis 1999, des dizaines de milliards de dinars ont été engloutis par l’agriculture, beaucoup d’argent a été détourné à cause d’une gestion aléatoire des fonds de développement de ce secteur. L’Etat est floué dans cette affaire ; nos importations de produits alimentaires (céréales, sucre, lait, huile, café, légumes secs...) n’ont cessé de gonfler, aggravées, il est vrai, par les augmentations des prix à l’échelle mondiale. Peu importe, les experts algériens (Mme Chaulet, Aït Amara, Bessa, Bedrani...) s’évertuent à longueur d’année, dans les colloques, à travers les colonnes de journaux... à tirer la sonnette d’alarme. Aucun répondant des pouvoirs publics. Ils prêchent dans le désert...

                      La rente impose ses schémas économiques et son mode opératoire pour l’agriculture. C’est le tout nouveau ministre de l’Agriculture, Rachid Benaïssa, dont la voix était étouffée jusque-là, qui vient d’admettre le danger d’une telle dépendance, au moment où la devise va se faire rare pour pouvoir satisfaire les besoins alimentaires des Algériens. Il ne s’agit pas de verser dans le catastrophisme, mais l’on risque, si l’Etat ne réagit pas avec célérité, avec les stratégies adéquates, de revivre des moments pénibles et franchement désastreux pour la population. Il est dans la capacité de notre pays d’amener, à moyen terme, un taux de couverture d’au moins 70% de nos besoins alimentaires par la production nationale. C’est avant tout une question de décision politique. Les pouvoirs publics doivent faire preuve de volontarisme. Une politique conséquente de soutien à la production nationale revêt un caractère extrêmement urgent. Si l’Etat n’agit pas en empruntant le bon chemin, celui de la rigueur, de la production, il ne faut pas s’étonner que l’on renoue avec l’emprunt extérieur dans 3 ou 4 années pour nourrir la population. C’est une perspective peu glorieuse pour l’Algérie et l’aveu d’une faillite économique... Il en est de même pour l’industrie, totalement laminée par l’informel, dans l’indifférence générale. La crise à nos portes doit être, au contraire, le motif de bousculer les certitudes, de remettre tout à plat, d’analyser les incohérences et de situer les dépendances et les responsabilités. L’Etat doit s’attaquer aux situations de rente si l’on veut, malgré notre pétrole, éviter le naufrage économique.

                      Par Omar Belhouchet

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                      • #12
                        Nous sommes au debut de la crise et il est juste que pour le moment la seule manifestation importante est la baise du prix du petrol.Si jamais cette crise persiste il y aura un effet d'entrainement sur toutes les economies du monde et personne ne sera à l'abri.C pas pour defendre la situation de notre economie mais certains sur ce forum qui nous la ramene sur le fait qu'on depent du petrol doivent faire attention et reflechir sur leur devenir car la chute sera rude et meme tres rude.

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                        • #13
                          rcdavid
                          ........ L'algerie d'ailleurs ne sait ou mettre la tete, forte de qqe cacaouette dans son livret d'epargne dans les banques europeenne qui sont d'ailleurs en difficulté, commence a avoir peur de sa survie et la survie de notre regime.
                          Et pour les autres régimes du Maghreb?
                          Dernière modification par Allane, 26 octobre 2008, 13h56. Motif: Personnellement je ne mense pas que la survie du régime algérien dépend de cette crise financière.

                          Commentaire


                          • #14
                            l,algerie est un pays exportateur de petrole et de gaz alors que la plupart des economistes se basent sur le prix de reference petrolier.selon chakib khelili l,algerie compte porter ses exportations de gaz a 85 milliards de metre cube d,ici 2010.mais quelque soit les conditions il y aura un impact direct ou indirect sur l,economie nationale et il y aura certainement des dommage collateraux qui influent sur les couts des exportations et des importations en raison de la fluctuations des monnaies de reference et des cours de marche

                            Commentaire


                            • #15
                              rcdavid Citation:
                              ........ L'algerie d'ailleurs ne sait ou mettre la tete, forte de qqe cacaouette dans son livret d'epargne dans les banques europeenne qui sont d'ailleurs en difficulté, commence a avoir peur de sa survie et la survie de notre regime.
                              Et pour les autres régimes du Maghreb?

                              Allane

                              ..................................
                              Eux ( exception faite de la Libye) ne carburent pas avec uniquement avec l'argent des hydrocarbures.
                              Bien au contraire un baril qui baisse soulage leur trésorerie.

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