Vous avez cru jusqu’à ce jour qu’il y avait des tyrans ? Et bien ! vous vous êtes trompés, il n’y a que des esclaves : là où nul n’obéit, personne ne commande.Le fait de pouvoir élire librement des maîtres ne supprime ni les maîtres ni les esclaves.
Les élections sont des parodies qui se servent des grands mots - Démocratie, Peuple, Nation, République, Souveraineté -, mais qui cachent mal le cynisme des gouvernants : il s'agit pour eux d'installer et de maintenir en place une tyrannie soft qui produit un homme unidimensionnel - le consommateur abruti et alièné - comme jamais aucune dictature n'a réussi à en produire.
L'Algerien croit que le gouvernement est la limite de la liberté. Il espère, en détruisant le gouvernement, élargir la liberté. Mais la vraie limite n'est pas le gouvernement mais la société. Le gouvernement est un produit social comme un autre. On ne détruit pas un arbre en coupant une de ses branches.
etant des algeriens on sait tres bien que l'opprimé qui se plaint aspire à devenir oppresseur.
ce qui fait qu'on est condamné a vivre opprimés et heureux d'etre ainsi... jusqu'au jour ou le pouvoir n'interessera personne...
"hasta la victoria siempré"
Les élections sont des parodies qui se servent des grands mots - Démocratie, Peuple, Nation, République, Souveraineté -, mais qui cachent mal le cynisme des gouvernants : il s'agit pour eux d'installer et de maintenir en place une tyrannie soft qui produit un homme unidimensionnel - le consommateur abruti et alièné - comme jamais aucune dictature n'a réussi à en produire.
L'Algerien croit que le gouvernement est la limite de la liberté. Il espère, en détruisant le gouvernement, élargir la liberté. Mais la vraie limite n'est pas le gouvernement mais la société. Le gouvernement est un produit social comme un autre. On ne détruit pas un arbre en coupant une de ses branches.
etant des algeriens on sait tres bien que l'opprimé qui se plaint aspire à devenir oppresseur.
ce qui fait qu'on est condamné a vivre opprimés et heureux d'etre ainsi... jusqu'au jour ou le pouvoir n'interessera personne...
"hasta la victoria siempré"
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