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Marché informel de la devise à Béjaïa:Inquiétude au “Wall-Street” local
La crise économique qui secoue actuellement le monde a provoqué un climat de doute et de suspicion auprès des cambistes informels exerçant au niveau des différentes places de la vallée de la Soummam, telles que celles d’El Qods” de Béjaïa, cafés de “change” d’El Kseur et la place du 1er Novembre de Sidi Aich réputées pour être de grands lieux de marchés parallèles de change de devises.
Affolement et panique se lisent sur les visages des cambistes suite à ce revirement de situation inattendu. Faute d’informations fiables quant au taux de change de devises et pris au dépourvu par cette tournure inextricable encensée de folles rumeurs que l’euro subit, l’effet boomerang de cette crise est que cette forte devise a été échangée dans les grandes places à raison de 800 DA les 100 euros. Les cambistes ne savent plus où donner de la tête et négocient sans entrain. Finie l’euphorie de ces dernières années où des liasses de billets en main ils accostent tout passant, qui ose s’aventurer sur les places où ils règnent en maîtres. Les combistes opérant au vu et au su de tout le monde, ne font rien pour cacher et soustraire aux yeux des autorités leur activité se permettant même de vendre ou d’acheter la devise à la criée. Aussi, ces places réduites comme étant de grands centres de négoce en matière de devises ont perdu ces dernières semaines de leur animations habituelles. Cela étant, force est de reconnaître que le marché parallèle des changes a été du moins pour le moment la première victime de la crise économique mondiale qui pointe du nez semant doute en émoi au sein des cambites qui assistent médusés et impuissants face à ce “Tsunami” financier qui risque de tout emporter sur son passage.
La Dépêche de Kabylie
Affolement et panique se lisent sur les visages des cambistes suite à ce revirement de situation inattendu. Faute d’informations fiables quant au taux de change de devises et pris au dépourvu par cette tournure inextricable encensée de folles rumeurs que l’euro subit, l’effet boomerang de cette crise est que cette forte devise a été échangée dans les grandes places à raison de 800 DA les 100 euros. Les cambistes ne savent plus où donner de la tête et négocient sans entrain. Finie l’euphorie de ces dernières années où des liasses de billets en main ils accostent tout passant, qui ose s’aventurer sur les places où ils règnent en maîtres. Les combistes opérant au vu et au su de tout le monde, ne font rien pour cacher et soustraire aux yeux des autorités leur activité se permettant même de vendre ou d’acheter la devise à la criée. Aussi, ces places réduites comme étant de grands centres de négoce en matière de devises ont perdu ces dernières semaines de leur animations habituelles. Cela étant, force est de reconnaître que le marché parallèle des changes a été du moins pour le moment la première victime de la crise économique mondiale qui pointe du nez semant doute en émoi au sein des cambites qui assistent médusés et impuissants face à ce “Tsunami” financier qui risque de tout emporter sur son passage.
La Dépêche de Kabylie