La déesse capricieuse
La mer est agitée elle ne saisie plus mes pensées,
Clouée à son bord ;
Elle ne m’écoute plus et ne me voit même pas ;
Je reste des heures et des jours, je caresse son eau ;
Insensible elle me boude toujours ;
Ses vagues folles me poussent ailleurs ;
Elles me suivent dés que je décide de quitter la plage ;
Je renonce à mon départ et je reste pensive à ses caprices ;
Je voyage a travers ses va et vient, je pense à ses mystères ;
Combien d’âmes qui t’habitent ?
J’entends presque leurs cris et leurs rires,
Attristée je pense à leurs luttes contre toi ;
Affamée tu n’accordes aucune faveur ;
Je te hais tant le moment même mais la sagesse du destin me rattrape vite;
Tu ressens ma peine et d’un coup tu décides à te calmer ;
Tes vagues semblent retrouvées la raison ; mais je ne voudrai pas être leurs proie ;
Je me renonce à ton charme malicieux, et je rejoins mon monde,
Et mes pensées restent à leurs faims tout comme toi.
SABRINA S(loubna mssairai)
La mer est agitée elle ne saisie plus mes pensées,
Clouée à son bord ;
Elle ne m’écoute plus et ne me voit même pas ;
Je reste des heures et des jours, je caresse son eau ;
Insensible elle me boude toujours ;
Ses vagues folles me poussent ailleurs ;
Elles me suivent dés que je décide de quitter la plage ;
Je renonce à mon départ et je reste pensive à ses caprices ;
Je voyage a travers ses va et vient, je pense à ses mystères ;
Combien d’âmes qui t’habitent ?
J’entends presque leurs cris et leurs rires,
Attristée je pense à leurs luttes contre toi ;
Affamée tu n’accordes aucune faveur ;
Je te hais tant le moment même mais la sagesse du destin me rattrape vite;
Tu ressens ma peine et d’un coup tu décides à te calmer ;
Tes vagues semblent retrouvées la raison ; mais je ne voudrai pas être leurs proie ;
Je me renonce à ton charme malicieux, et je rejoins mon monde,
Et mes pensées restent à leurs faims tout comme toi.
SABRINA S(loubna mssairai)
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