Fantaisie des mots
Elle brûle sa vie
Comme elle brûle une cigarette !
Elle se livre à l’oubli
Il détruit brillamment les brins de toute une vie
Elle contourne l’amour à chaque carrefour
Elle s’incline devant la grandeur du seigneur
Elle range sa passion dans un terroir inconnu
Elle chasse sa foie pour l’amour
Elle rejette sa sincérité
Elle maudit ses amours épuisés
Elle est une reine en carton
Dans un royaume de fantaisie
Elle garde sa façade généreuse
Elle s’invente chaque jour un sourire
Elle freine le sérieux du temps
Elle crée ses propres instants
Elle vit son ère
Elle est ailleurs, heureuse
Elle ferme derrière elle les portes de la réalité
Elle s’invente ses propres langages
Elle revit avec ses mots
Elle revient à elle
Elle se sent en fin entière
Elle voyage dans l’horizon de ses sensations
Un plaisir, une joie presque éternelle
Elle épouse la tornade de l’ivresse
Elle se sent plus forte que le vent
Elle ne soucie de rien dans le château des mots
Elle ne parle plus
Elle ne dit rien
Elle se laisse aller devant son divin clavier
Elle fait couler l’ancre de son âme
Elle se contente du bruit des vagues
De l’océan inconnu
Elle flirte avec son eau éternelle
Elle rejoint ses profondeurs
Elle s’habille en sirène
Elle raconte l‘histoire de l’azur du ciel
Les coquillages émus s’allongent
Les rochers deviennent plus lisses
La magie de ses mots apaisent les douleurs éternelles
L’océan sombre dans son un beau sommeil
Elle le quitte sans faire du bruit
Elle rejoint l’absurdité du quotidien
Elle trimbale dans son cœur
Les clichés du déjà vécu
S Sabrina (loubna massiri)
Elle brûle sa vie
Comme elle brûle une cigarette !
Elle se livre à l’oubli
Il détruit brillamment les brins de toute une vie
Elle contourne l’amour à chaque carrefour
Elle s’incline devant la grandeur du seigneur
Elle range sa passion dans un terroir inconnu
Elle chasse sa foie pour l’amour
Elle rejette sa sincérité
Elle maudit ses amours épuisés
Elle est une reine en carton
Dans un royaume de fantaisie
Elle garde sa façade généreuse
Elle s’invente chaque jour un sourire
Elle freine le sérieux du temps
Elle crée ses propres instants
Elle vit son ère
Elle est ailleurs, heureuse
Elle ferme derrière elle les portes de la réalité
Elle s’invente ses propres langages
Elle revit avec ses mots
Elle revient à elle
Elle se sent en fin entière
Elle voyage dans l’horizon de ses sensations
Un plaisir, une joie presque éternelle
Elle épouse la tornade de l’ivresse
Elle se sent plus forte que le vent
Elle ne soucie de rien dans le château des mots
Elle ne parle plus
Elle ne dit rien
Elle se laisse aller devant son divin clavier
Elle fait couler l’ancre de son âme
Elle se contente du bruit des vagues
De l’océan inconnu
Elle flirte avec son eau éternelle
Elle rejoint ses profondeurs
Elle s’habille en sirène
Elle raconte l‘histoire de l’azur du ciel
Les coquillages émus s’allongent
Les rochers deviennent plus lisses
La magie de ses mots apaisent les douleurs éternelles
L’océan sombre dans son un beau sommeil
Elle le quitte sans faire du bruit
Elle rejoint l’absurdité du quotidien
Elle trimbale dans son cœur
Les clichés du déjà vécu
S Sabrina (loubna massiri)
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