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Des scientifiques découvrent le gène transsexuel

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  • Des scientifiques découvrent le gène transsexuel

    Des chercheurs des universités de Melbourne en Australie et de Los Angeles aux Etats-Unis, affirment avoir découvert le "gène transsexuel". Ils ont découvert que le gène "récepteur des androgènes" était plus long chez les personnes transssexuelles que chez les personnes non-transssexuelles.

    Les scientifiques estiment que c'est là une preuve que le "transsexualisme" est d'origine biologique contrairement à ce qu'on pensait auparavant, à savoir un choix de mode de vie.

    Transexual gene found by researchers
    THE nature versus nurture debate rages on but a new study of transsexuals has shown genetics plays a key role in determining our sense of gender.
    In the largest genetic study of its kind, 112 male-to-female transsexuals took part in a study involving several Melbourne research bodies and the University of California, Los Angeles.

    Researchers measured the variation in the androgen receptor gene, which is involved in the functioning of the sex hormone testosterone.

    DNA samples from the transsexuals were compared with the samples from 250 typical men.

    Researchers discovered the transsexuals were more likely than non-transsexuals to have a longer form of the gene.

    "We think these genetic differences might reduce testosterone action and under-masculinise the brain during foetal development," Prince Henry's Institute researcher Lauren Hare said.

    Lead researcher, Associate Professor Vincent Harley, head of molecular genetics at Prince Henry's Institute, said there had long been debate about the causes of transsexuality.

    "There is a social stigma that transsexualism is simply a lifestyle choice. However, our findings support a biological basis of how gender identity develops," he said.

    He said researchers were recruiting transsexual people for another study and hoped to double the sample size and examine other genes.

    Assoc Prof Harley said it was important to replicate the findings in other populations.

    Researcher Trudy Kennedy, director of the Monash Gender Dysphoria Clinic, said the study supported other evidence that genetics and brain gender were important in transsexuality.

    "This is something that people are born with and it's certainly not a lifestyle choice as some have suggested," she said.

    Julie Peters, a transgender person, said she knew from as young as three or four years old she did not fit into being a boy.

    "I have always had the personality of a girl, I suppose is the way I perceive it and even from a very young age, three or four, I was really mad at people for making me a boy," she said.

    "I personally think it (gender) is a combination of both (nature and nurture).

    "You are born with a predisposition to have a certain personality and then depending on the culture you are brought up in your personal situation it becomes active in a particular way."

    The study research was jointly funded by the National Health and Medical Research Council and the US National Institutes of Health.

    source : News - Australia

  • #2
    Voila une découverte qui devrait faire taire tous ceux et celles qui attribuent la transexualité à un manque de volonté d.'être comme les autres.

    Commentaire


    • #3
      Intox ?! On est dans le forum "Santé" et non "Hoax"!
      Il suffit de googler "Transsexual gene" dans Google News en anglais pour retrouver des dizaines d'articles sur le sujet. Exemple avec l'article du "New Scientist" : http://www.newscientist.com/article/...6_head_dn15045

      Ci dessous, l'article de "Canoe" en français.

      Un gène expliquerait la transsexualité
      Dans une vaste étude génétique portant sur les transsexuels, des chercheurs australiens ont découvert un lien génétique entre l'identité sexuelle et d'un gène impliqué dans l'action de la testostérone.

      Des échantillons d'ADN ont été prélevés chez à partir de 112 transsexuels hommes devenus femmes. Les chercheurs ont ensuite comparé les différences génétiques avec les non-transsexuels.

      Les chercheurs du Prince Henry's Institute (PHI) de Clayton ont découvert que les transsexuels étaient plus susceptibles d'avoir une version plus longue d'un gène qui est connu pour modifier l'action de la testostérone, l'hormone sexuelle.

      «Nous pensons que ces différences génétiques pourraient réduire la production de testostérone et influer sur le cerveau pendant le développement fœtal», a déclaré dans le communiqué du PHI le chercheur Lauren Hare.

      Depuis des décennies, il y a un débat sur les causes de transsexualité. Les premières théories reposaient sur des facteurs psychosociaux tels qu’un traumatisme durant l'enfance. Des études plus récentes ont indiqué que les antécédents familiaux et génétiques sont les aspects liés au développement de l'identité sexuelle.

      «Il y a un stigmate social voulant que le transsexualisme soit tout simplement un choix de vie, mais nos résultats reposent sur la base biologique de la façon dont se développe l'identité sexuelle», a affirmé pour sa part le chercheur principal, le professeur Vincent Harley et chef du département de génétique moléculaire au Prince Henry's Institute.

      «Comme pour toutes les études d'association génétique, il sera important de reproduire ces résultats dans d'autres populations», a ajouté le professeur Vincent Harley Harley.

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      • #4
        Et bien c'est une excellente nouvelle! Si c'est une anomalie génétique, alors un jour on pourra les guérir tous.

        ∑ (1/i²) = π²/6
        i=1

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