En Algérie, entre l'application de la loi d'orientation sur l'éducation n°08-04 du 23 janvier 2008, signée par le président de la République, A. Bouteflika et la réalité sur le terrain, en termes d'introduction de l'enseignement de l'informatique dans l'ensemble des établissements d'enseignement et de formation... des efforts sont à entreprendre pour être en conformité avec ce qui est exigé des pouvoirs publics locaux, si la loi en question cite que «l'enseignement scientifique et technologique bénéficiera d'une attention particulière en raison des répercussions sur la formation de l'homme contemporain et le progrès de la société».
Des centaines d'élèves, notamment du cycle du moyen, n'ont pas, à ce jour, bénéficié de l'enseignement de l'informatique dans leurs établissements. Quoique ce retard n'est pas, malheureusement, palpable dans le palier du secondaire où la totalité des lycées que compte la wilaya, 37 au total sont pourvus. Or l'intronisation officielle de l'informatique a débuté, selon la circulaire ministérielle, dès septembre 2006.
Voilà déjà deux ans que cela a été décidé par la tutelle centrale et l'on est en octobre 2008, pour signaler que moins d'une trentaine de collèges, à Sidi Bel-Abbès, sur près de 90, ne sont pas dotés de salles d'informatique.
Pourtant c'est un défi scientifique et technologique relevé par la plus haute autorité du pays et que cet enseignement scientifique aura ses répercussions sur la formation des hommes de demain.
Tel n'est pas le cas pour des centaines de collégiens de Sidi Bel-Abbès ville et dans la wilaya profonde, en quête de cet indispensable outil de formation, synonyme de progrès de société. Et tout retard n'est que préjudiciable vu qu'il ne fait qu'aggraver les écarts et les disparités entre ceux pourvus et ceux qui sont en droit d'être dotés de ce moyen didactique qui facilite, selon la première circulaire ministérielle, l'enseignement des autres matières.
Or, il est aberrant de relever que dans la même wilaya, des élèves ne connaissent ou ne maîtrisent pas les premiers rudiments de l'informatique Windows, Word, Excel et par ricochet la navigation sur internet, alors que d'autres plus nantis sont à leur 3e année d'apprentissage de vulgarisation comme en fait référence notre source qui évoque l'application progressive de la réforme du système éducatif et des décisions du gouvernement, du 30 avril 2002.
Six ans sont passés, les élèves concernés et leurs parents sont en droit d'attendre de réparer ce retard vu qu'en septembre 2006, il a été exigé des exécutants d'assurer d'abord le bon déroulement de l'opération qui avait débuté sur le territoire national.
Par ailleurs, à l'époque, les directions de l'Education ont été chargées de l'élaboration des besoins en équipements pour les trois autres années du cycle du moyen qui en ressent particulièrement, surtout que la loi n°08/04 du 23 janvier 2008 évoque, d'abord, une éducation tournée sur le développement, le progrès, en changeant les mentalités afin de les mettre en adéquation avec les aspirations des jeunes générations ce qui leur permettra de vivre dans une société ouverte sur la modernité. Ce qui n'est pas encore palpable par cette absence de généralisation de l'outil informatique.
Deuxièmement, cette loi suscitée se distingue de l'ordonnance 76/35 du 16 avril 1976 par plusieurs aspects: ouverture des écoles privées, introduction de la langue amazigh, adaptation du système éducatif à l'économie du marché, à la société démocratique et notamment au thème que nous abordons à savoir l'introduction de l'enseignement de l'informatique dans l'ensemble des établissements d'enseignement et de formation.
Par le quotidien d'Oran
Des centaines d'élèves, notamment du cycle du moyen, n'ont pas, à ce jour, bénéficié de l'enseignement de l'informatique dans leurs établissements. Quoique ce retard n'est pas, malheureusement, palpable dans le palier du secondaire où la totalité des lycées que compte la wilaya, 37 au total sont pourvus. Or l'intronisation officielle de l'informatique a débuté, selon la circulaire ministérielle, dès septembre 2006.
Voilà déjà deux ans que cela a été décidé par la tutelle centrale et l'on est en octobre 2008, pour signaler que moins d'une trentaine de collèges, à Sidi Bel-Abbès, sur près de 90, ne sont pas dotés de salles d'informatique.
Pourtant c'est un défi scientifique et technologique relevé par la plus haute autorité du pays et que cet enseignement scientifique aura ses répercussions sur la formation des hommes de demain.
Tel n'est pas le cas pour des centaines de collégiens de Sidi Bel-Abbès ville et dans la wilaya profonde, en quête de cet indispensable outil de formation, synonyme de progrès de société. Et tout retard n'est que préjudiciable vu qu'il ne fait qu'aggraver les écarts et les disparités entre ceux pourvus et ceux qui sont en droit d'être dotés de ce moyen didactique qui facilite, selon la première circulaire ministérielle, l'enseignement des autres matières.
Or, il est aberrant de relever que dans la même wilaya, des élèves ne connaissent ou ne maîtrisent pas les premiers rudiments de l'informatique Windows, Word, Excel et par ricochet la navigation sur internet, alors que d'autres plus nantis sont à leur 3e année d'apprentissage de vulgarisation comme en fait référence notre source qui évoque l'application progressive de la réforme du système éducatif et des décisions du gouvernement, du 30 avril 2002.
Six ans sont passés, les élèves concernés et leurs parents sont en droit d'attendre de réparer ce retard vu qu'en septembre 2006, il a été exigé des exécutants d'assurer d'abord le bon déroulement de l'opération qui avait débuté sur le territoire national.
Par ailleurs, à l'époque, les directions de l'Education ont été chargées de l'élaboration des besoins en équipements pour les trois autres années du cycle du moyen qui en ressent particulièrement, surtout que la loi n°08/04 du 23 janvier 2008 évoque, d'abord, une éducation tournée sur le développement, le progrès, en changeant les mentalités afin de les mettre en adéquation avec les aspirations des jeunes générations ce qui leur permettra de vivre dans une société ouverte sur la modernité. Ce qui n'est pas encore palpable par cette absence de généralisation de l'outil informatique.
Deuxièmement, cette loi suscitée se distingue de l'ordonnance 76/35 du 16 avril 1976 par plusieurs aspects: ouverture des écoles privées, introduction de la langue amazigh, adaptation du système éducatif à l'économie du marché, à la société démocratique et notamment au thème que nous abordons à savoir l'introduction de l'enseignement de l'informatique dans l'ensemble des établissements d'enseignement et de formation.
Par le quotidien d'Oran
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