Si toute forme de contrat dans lequel le droit des parties contractantes dépend d'un événement aléatoire, notamment ce principe que l'on trouve dans les jeux de hasard et les pariages avec mise est illicite. Qimar
Si aussi le Gharar qui est définit par les exégètes de l’Islam comme toute transactionØ dans laquelle il y a tromperie ou ignorance sur l'objet du contrat. La vente 'Gharar' est celle dont on ne sait pas si l'objet existe ou non, ou on ne connaît pas quelle est sa quantité ou s'il sera possible de la livrer ou non.
Tout comme l'usure, l'Islam condamne toute spéculation, pari sur l'avenir, thésaurisation et interdit les transactions faisant intervenir les jeux de hasard et les incertitudes extrêmes… Al-Gharar veut dire aussi toute transaction comportant un flou ou un aléa…
selon certains savants:
Al-Gharar reprend les activités qui ont un élément d'incertitude, d'ambiguïté ou de déception. Dans un échange commercial, il se réfère à une tromperie ou à une ignorance sur l'objet du contrat (l'incertitude sur les matières, le prix des matières). La vente Gharar est celle où il y a incertitude quant à l'objet, sa quantité ou s'il sera possible de livrer ou non. Le Ghararest considéré comme normal dans une transaction s'il n'est pas excessif et si son impact sur l'économie ou la société est minimal. Exemple on ne peut pas vendre les poissons dans l’eau ou l’oiseau dans le ciel: c’est du Gharar excessif.
Conclusion :
Les assurances sur la vie seraient totalement illicites car la mort n'est pas fixée par un délai ainsi que toutes les assurances qui ne respectent pas les principes de bases cités en haut : exemple : l'assurance sur une voiture: la prestation de l'assurance dans ce cas n'est pas quantifiée car il se peut que la voiture ne subisse aucun dommage ou inversement, il se peut qu'elle soit accidentée dés son premier jour.
C’est un concept avant-gardiste que je qualifie de Juste (en fin dans mon cas payer ses assurances c’est plus de pertes que de gains).
Si aussi le Gharar qui est définit par les exégètes de l’Islam comme toute transactionØ dans laquelle il y a tromperie ou ignorance sur l'objet du contrat. La vente 'Gharar' est celle dont on ne sait pas si l'objet existe ou non, ou on ne connaît pas quelle est sa quantité ou s'il sera possible de la livrer ou non.
Tout comme l'usure, l'Islam condamne toute spéculation, pari sur l'avenir, thésaurisation et interdit les transactions faisant intervenir les jeux de hasard et les incertitudes extrêmes… Al-Gharar veut dire aussi toute transaction comportant un flou ou un aléa…
selon certains savants:
Al-Gharar reprend les activités qui ont un élément d'incertitude, d'ambiguïté ou de déception. Dans un échange commercial, il se réfère à une tromperie ou à une ignorance sur l'objet du contrat (l'incertitude sur les matières, le prix des matières). La vente Gharar est celle où il y a incertitude quant à l'objet, sa quantité ou s'il sera possible de livrer ou non. Le Ghararest considéré comme normal dans une transaction s'il n'est pas excessif et si son impact sur l'économie ou la société est minimal. Exemple on ne peut pas vendre les poissons dans l’eau ou l’oiseau dans le ciel: c’est du Gharar excessif.
Conclusion :
Les assurances sur la vie seraient totalement illicites car la mort n'est pas fixée par un délai ainsi que toutes les assurances qui ne respectent pas les principes de bases cités en haut : exemple : l'assurance sur une voiture: la prestation de l'assurance dans ce cas n'est pas quantifiée car il se peut que la voiture ne subisse aucun dommage ou inversement, il se peut qu'elle soit accidentée dés son premier jour.
C’est un concept avant-gardiste que je qualifie de Juste (en fin dans mon cas payer ses assurances c’est plus de pertes que de gains).