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Un complexe touristique et religieux sera réalisé dans la commune d’El Maïn, daïra d’El-Djaâfra au nord de la wilaya. Une localité située entre trois wilayas, à savoir, Bordj Bou Arréridj, Sétif et Béjaïa.
L’appel d’offres pour le choix des entreprises, sera lancé au plus tard au début du mois de novembre prochain. «Nous avons déjà dégagé 110 millions de dinars comme première tranche de financement pour ce projet», a déclaré à L’Expression le directeur des affaires religieuses, Medjani Salah, affirmant que l’idée avancée par le chef de l’exécutif, Kaddid Abderrahmane, a été adoptée, vu l’attachement de la population locale, à ses traditions religieuses, montagnardes et refusant un «débordement touristique mal accepté par les habitants». Le projet de réalisation d’un hôtel avec des infrastructure curatives, sportives et culturelles et d’un institut islamique, soit un complexe aux multiples activités adaptées au site forestier et montagneux et aux eaux thermales de Hammam Ibainaïn, émane des tournées du chef de l’exécutif dans ces régions inexploitées, à l’exception du bois.
Aucune industrie n’a été développée dans le nord des Biban depuis l’Indépendance, faut-il le rappeler. La population, d’ailleurs, vit de l’émigration interne ou à l’étranger. «Nous avons voulu adapter un projet créateur d’emplois dans cette région de grande altitude. Cela va de soi que nous visons une certaine catégorie de la population qui pourrait profiter des sites magnifiques de la région, plus de 50 cm de neige en hiver et l’air frais en été, sans oublier la période du printemps propice aux bains thermaux et aux fêtes traditionnelles» a déclaré le wali de Bordj Bou Arréridj, précisant qu’«une résidence de la wilaya sera réalisée en parallèle». Ce projet devrait inciter la population locale à relancer les autres activités génératrices d’emplois.
C’est à se demander pourquoi les élus qui se sont succédé aux commandes n’ont jamais réfléchi à un tel projet, eux qui refusaient qu’un jeune se promène en short en ville.
Aujourd’hui, avec l’adoption de ce projet, la commune d’El Maïn connaîtra un nouvel essor avec l’amélioration des axes routiers. «D’autres projets de développement sont également au programme», a précisé le chef de l’exécutif. Quant au projet en question, il sera piloté, une première, par la direction de wilaya des affaires religieuses.
Comme aime à le répéter le directeur des affaires religieuses: «Nous allons offrir un cadre de repos touristique et spirituel pour les familles que nul autre n’offre, pour le moment, la neige en hiver, l’oxygène en été, des rivières et des eaux ruisselantes dans les vallées et vallons, l’huile d’olive en automne...», en présentant le projet en question. La réception de ce projet permettra à la commune d’El Maïn de sortir de sa léthargie. Ses retombées économiques sont énormes.
Par L'expression
L’appel d’offres pour le choix des entreprises, sera lancé au plus tard au début du mois de novembre prochain. «Nous avons déjà dégagé 110 millions de dinars comme première tranche de financement pour ce projet», a déclaré à L’Expression le directeur des affaires religieuses, Medjani Salah, affirmant que l’idée avancée par le chef de l’exécutif, Kaddid Abderrahmane, a été adoptée, vu l’attachement de la population locale, à ses traditions religieuses, montagnardes et refusant un «débordement touristique mal accepté par les habitants». Le projet de réalisation d’un hôtel avec des infrastructure curatives, sportives et culturelles et d’un institut islamique, soit un complexe aux multiples activités adaptées au site forestier et montagneux et aux eaux thermales de Hammam Ibainaïn, émane des tournées du chef de l’exécutif dans ces régions inexploitées, à l’exception du bois.
Aucune industrie n’a été développée dans le nord des Biban depuis l’Indépendance, faut-il le rappeler. La population, d’ailleurs, vit de l’émigration interne ou à l’étranger. «Nous avons voulu adapter un projet créateur d’emplois dans cette région de grande altitude. Cela va de soi que nous visons une certaine catégorie de la population qui pourrait profiter des sites magnifiques de la région, plus de 50 cm de neige en hiver et l’air frais en été, sans oublier la période du printemps propice aux bains thermaux et aux fêtes traditionnelles» a déclaré le wali de Bordj Bou Arréridj, précisant qu’«une résidence de la wilaya sera réalisée en parallèle». Ce projet devrait inciter la population locale à relancer les autres activités génératrices d’emplois.
C’est à se demander pourquoi les élus qui se sont succédé aux commandes n’ont jamais réfléchi à un tel projet, eux qui refusaient qu’un jeune se promène en short en ville.
Aujourd’hui, avec l’adoption de ce projet, la commune d’El Maïn connaîtra un nouvel essor avec l’amélioration des axes routiers. «D’autres projets de développement sont également au programme», a précisé le chef de l’exécutif. Quant au projet en question, il sera piloté, une première, par la direction de wilaya des affaires religieuses.
Comme aime à le répéter le directeur des affaires religieuses: «Nous allons offrir un cadre de repos touristique et spirituel pour les familles que nul autre n’offre, pour le moment, la neige en hiver, l’oxygène en été, des rivières et des eaux ruisselantes dans les vallées et vallons, l’huile d’olive en automne...», en présentant le projet en question. La réception de ce projet permettra à la commune d’El Maïn de sortir de sa léthargie. Ses retombées économiques sont énormes.
Par L'expression
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