Une, deux, deux, trois personnalités
Dis moi comment fais-tu pour toutes les assumer
Toi qui réclame la chasteté
L'as-tu connu, l'as- tu croisé
Sage, réfléchi, pertinent dans tes écrits
Diable, démon dans la vraie vie
Bluffe, ment et scie tous les sentiments d'autrui
En veux-tu à toutes ses femmes qui se sont abandonnées
Entre tes bras et à tes mensonges elles se sont livrées
Non et non! toutes ne sont pas comme tu les décrits
Et puis sache que moi-même, une d'elle je suis
Revois ton jugement, corrige tes idées
Sache que la femme n'a jamais été un objet
Avec lequel on joue, on jouit
Telle une poupée qu'on jette après
C'est une âme ,une pierre entre la main d'un joaillier
Et n'est guerre réduite au sexe, ni au baiser
Excusez mon arrogance, excusez mon cri
Sage, calme, je ne l'étais jamais
Mais choquée, abasourdie, je le suis
Je pense à toi jolie dame au regard terni
à ton visage blanchâtre si agréable à regarder
Oui ,je pense à toi et je me peux m'empêcher
d'être triste, entièrement vidée,
Ce sourire qu'on voulait t'ôter
Cet espoir, cette joie si présente en toi qu'on voulait étouffer
Au profit d'un pervers, d'un égoïste, disjoncté
Je te regarde, je pense à toi dans mes nuits
Eh oui! touchée profondément, je le suis
Je ne suis pas poète, jamais je ne le serai.
Ce n'est q'une douleur, un hurlement que je voulais partager
Jolie dame, l'avenir est à espérer
Toute la joie est devant alors derrière, évite de regarder
Et puis il y a toujours des hommes, des vrais
qui sauront cueillir la douce fleur que tu es
chaque mal engendre un cri ,chaque cri cause une révolte
aussi excusez mon langage si violent car le mal est si profond.
Dis moi comment fais-tu pour toutes les assumer
Toi qui réclame la chasteté
L'as-tu connu, l'as- tu croisé
Sage, réfléchi, pertinent dans tes écrits
Diable, démon dans la vraie vie
Bluffe, ment et scie tous les sentiments d'autrui
En veux-tu à toutes ses femmes qui se sont abandonnées
Entre tes bras et à tes mensonges elles se sont livrées
Non et non! toutes ne sont pas comme tu les décrits
Et puis sache que moi-même, une d'elle je suis
Revois ton jugement, corrige tes idées
Sache que la femme n'a jamais été un objet
Avec lequel on joue, on jouit
Telle une poupée qu'on jette après
C'est une âme ,une pierre entre la main d'un joaillier
Et n'est guerre réduite au sexe, ni au baiser
Excusez mon arrogance, excusez mon cri
Sage, calme, je ne l'étais jamais
Mais choquée, abasourdie, je le suis
Je pense à toi jolie dame au regard terni
à ton visage blanchâtre si agréable à regarder
Oui ,je pense à toi et je me peux m'empêcher
d'être triste, entièrement vidée,
Ce sourire qu'on voulait t'ôter
Cet espoir, cette joie si présente en toi qu'on voulait étouffer
Au profit d'un pervers, d'un égoïste, disjoncté
Je te regarde, je pense à toi dans mes nuits
Eh oui! touchée profondément, je le suis
Je ne suis pas poète, jamais je ne le serai.
Ce n'est q'une douleur, un hurlement que je voulais partager
Jolie dame, l'avenir est à espérer
Toute la joie est devant alors derrière, évite de regarder
Et puis il y a toujours des hommes, des vrais
qui sauront cueillir la douce fleur que tu es
chaque mal engendre un cri ,chaque cri cause une révolte
aussi excusez mon langage si violent car le mal est si profond.
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