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Odyssée d'un coeur

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  • Odyssée d'un coeur

    Un jour, vers les horizons de l’amour, on était parti
    De notre mutisme, à partir d’un jeu, on était sorti
    Mais les jours passèrent, la chose a bien grandi
    Par le silence et les fuites elle se mesurerait, disait-tu !
    Marcher, courir…combien de pas et de faux pas
    Nous avaient-il vertement séparé ?
    Le petit prince et son renard, d’une une ville
    Andalouse, pour semer le doute, viendraient.
    Le désarroi et la confusion auraient, semble-il,
    Déjà commencé.
    La mer, de son paisible calme, se serait révoltée
    Le vent qui soufflait sifflait, les rideaux de la nuit
    Tombaient, les orages de tous les outrages éclataient
    Et les marrées de toutes les soirées montaient.
    Les âmes blessées se cachaient et guettait
    L’indulgence de la superbe nature, son calme,
    Le bleu et la grande verdure.
    Mais rien ne fut, les nuits se prolongèrent et
    Aux cris vinrent se rajouter les colères,
    Etonnés, les coeurs firent des malheurs
    Puis après une éternité, quand l’amour s’est
    Déjà suicidé et les espoirs vaporisés une amitié
    Ouvrant grand les bras nous auraient rassemblé.
    Se contenté du peu, possible, on avait accepté
    Avoir si près ses rêves et ses souvenirs c’est
    Déjà se refaire une beauté…
    Merci pour avoir accepter cette amitié !
    Même le saule et ses feuillage éploré ne
    Ne m’aurait pas, si bien, réconforté.
    Pourquoi mourir si l’on a devant soi ses plus
    Beaux souvenirs et une belle âme au joli sourire.
    Pourquoi donc faire pleurer les rameaux, des
    Marronniers ou des chênes de notre jardin…
    Regarder plus haut à travers les sveltes peupliers
    Elancée comme des cyprès et attendre les beaux
    Jours avec assurance et bonne volonté.

    Sache que mes sentiments…je n’en ai pas menti
    Et encore une fois à toi merci…
    Page blanche

  • #2
    @samirdavid

    Ne me remerci pas
    l´amour et l´amitié ne s´achettent pas
    Ne se préparent pas
    Ne s´inventent pas
    Ils se présentent, et ils disparaissent.....
    aussi biensur avec la confiance,
    et l´absence des promesses trahis.

    Commentaire


    • #3
      Bonsoir Algeriana, Samirdavid,

      J'ai beaucoup aimé ton poème. Il est le reflet de la vie. Un grand amour une grande perte un désespoir une main tendue et un nouveau départ le coeur plus léger et plus lourd d'histoire et de chagrins mais plus fort et plus doux aussi.

      Je sais qu'il est très intense un mélange de tristesse de mélancolie et puis comme l'aube se lève ou comme l'arc en ciel qui apparait au mileu de l'orage la main tendue de l'amitié et là la vie reprend son envol.
      Enfin c'est ainsi que je l'ai ressentis.
      Merci aussi algeriana c'était très beau.

      belle et douce soirée à tous

      Commentaire


      • #4
        l´amour et l´amitié ne s´achettent pas
        Ne se préparent pas
        Ne s´inventent pas
        Ils se présentent, et ils disparaissent.....
        @Algeriana: merci quand même pour ta jolie réponse ma trés chère amie

        Je sais qu'il est très intense un mélange de tristesse de mélancolie et puis comme l'aube se lève ou comme l'arc en ciel qui apparait au mileu de l'orage la main tendue de l'amitié et là la vie reprend son envol.
        @morjane: merci à toi pour l'appréciation et ce côté toujour positif des choses
        Page blanche

        Commentaire


        • #5
          Algeriana

          Quant est d'Amour, je crois que c'est un songe,
          Ou fiction, qui se paît de mensonge,
          Tant que celui, qui peut plus faire encroire
          Sa grand'feintise, en acquiert plus de gloire.

          Car l'un feindra de désirer la grâce,
          De qui soudain voudra changer la place
          L'autre fera mainte plainte à sa guise,
          Portant toujours l'amour en sa devise,
          Estimant moins toute perfection
          Que le plaisir de folle affection :
          Aussi jamais ne s'en trouve un content,
          Fuyant le bien, où tout bon coeur prétend.
          Et tout cela vient de la nourriture
          Du bas savoir, que tient la créature.

          Mais l'amitié, que les Dieux m'ont donnée,
          Est à l'honneur toute tant adonnée
          Que le moins sûr de mon affection
          Est assuré de toute infection
          De Faux-Semblant, Danger, et Changement,
          Étant fondé sur si sain jugement
          Que, qui verra mon ami apparaître,
          Jamais fâché ne le pourra connaître :
          Pource qu'il est toujours à son plaisir
          Autant content que contient mon désir.
          Et si voulez savoir, ô Amoureux,
          Comment il est en ses amours heureux :
          C'est que de moi tant bien il se contente,
          Qu'il n'en voudrait espérer autre attente,
          Que celle-là qui ne finit jamais,
          Et que j'espère assurer désormais
          Par la vertu en moi tant éprouvée,
          Qu'il la dira ès plus hauts Cieux trouvée.

          Par quoi, lui sûr de ma ferme assurance,
          M'assurerai de crainte, et ignorance

          Pernette du guillet
          Page blanche

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