Un jour, vers les horizons de l’amour, on était parti
De notre mutisme, à partir d’un jeu, on était sorti
Mais les jours passèrent, la chose a bien grandi
Par le silence et les fuites elle se mesurerait, disait-tu !
Marcher, courir…combien de pas et de faux pas
Nous avaient-il vertement séparé ?
Le petit prince et son renard, d’une une ville
Andalouse, pour semer le doute, viendraient.
Le désarroi et la confusion auraient, semble-il,
Déjà commencé.
La mer, de son paisible calme, se serait révoltée
Le vent qui soufflait sifflait, les rideaux de la nuit
Tombaient, les orages de tous les outrages éclataient
Et les marrées de toutes les soirées montaient.
Les âmes blessées se cachaient et guettait
L’indulgence de la superbe nature, son calme,
Le bleu et la grande verdure.
Mais rien ne fut, les nuits se prolongèrent et
Aux cris vinrent se rajouter les colères,
Etonnés, les coeurs firent des malheurs
Puis après une éternité, quand l’amour s’est
Déjà suicidé et les espoirs vaporisés une amitié
Ouvrant grand les bras nous auraient rassemblé.
Se contenté du peu, possible, on avait accepté
Avoir si près ses rêves et ses souvenirs c’est
Déjà se refaire une beauté…
Merci pour avoir accepter cette amitié !
Même le saule et ses feuillage éploré ne
Ne m’aurait pas, si bien, réconforté.
Pourquoi mourir si l’on a devant soi ses plus
Beaux souvenirs et une belle âme au joli sourire.
Pourquoi donc faire pleurer les rameaux, des
Marronniers ou des chênes de notre jardin…
Regarder plus haut à travers les sveltes peupliers
Elancée comme des cyprès et attendre les beaux
Jours avec assurance et bonne volonté.
Sache que mes sentiments…je n’en ai pas menti
Et encore une fois à toi merci…
De notre mutisme, à partir d’un jeu, on était sorti
Mais les jours passèrent, la chose a bien grandi
Par le silence et les fuites elle se mesurerait, disait-tu !
Marcher, courir…combien de pas et de faux pas
Nous avaient-il vertement séparé ?
Le petit prince et son renard, d’une une ville
Andalouse, pour semer le doute, viendraient.
Le désarroi et la confusion auraient, semble-il,
Déjà commencé.
La mer, de son paisible calme, se serait révoltée
Le vent qui soufflait sifflait, les rideaux de la nuit
Tombaient, les orages de tous les outrages éclataient
Et les marrées de toutes les soirées montaient.
Les âmes blessées se cachaient et guettait
L’indulgence de la superbe nature, son calme,
Le bleu et la grande verdure.
Mais rien ne fut, les nuits se prolongèrent et
Aux cris vinrent se rajouter les colères,
Etonnés, les coeurs firent des malheurs
Puis après une éternité, quand l’amour s’est
Déjà suicidé et les espoirs vaporisés une amitié
Ouvrant grand les bras nous auraient rassemblé.
Se contenté du peu, possible, on avait accepté
Avoir si près ses rêves et ses souvenirs c’est
Déjà se refaire une beauté…
Merci pour avoir accepter cette amitié !
Même le saule et ses feuillage éploré ne
Ne m’aurait pas, si bien, réconforté.
Pourquoi mourir si l’on a devant soi ses plus
Beaux souvenirs et une belle âme au joli sourire.
Pourquoi donc faire pleurer les rameaux, des
Marronniers ou des chênes de notre jardin…
Regarder plus haut à travers les sveltes peupliers
Elancée comme des cyprès et attendre les beaux
Jours avec assurance et bonne volonté.
Sache que mes sentiments…je n’en ai pas menti
Et encore une fois à toi merci…
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