Tout est enfant de solitude
Tout est enfant de solitude
Souvent nos joies s'échappent
D'un puits profond comme un abîme
Où l'on hurle nos silences
Pour me mieux se faire entendre...
Tout est enfant de solitude
Les gloires intellectuelles
Les calcules des savants
Ne proviennent seulement
Que d'une cure de chuchotements
Tout est enfant de solitude
Les concerts, les jeux de lumière
Les flammes incandescentes
N'ont connu l'étincelle que dans le cœur
Du pyromane égaré dans les cendres
D'une solitude incombustible
Tout est enfant de solitude
Les fois profondes, les obédiences
Les pèlerinages, les vœux pieux
Les méditations au cœur de la nuit
Surgissant des silences destinés
Tout est enfant de solitude
La nuit même est enfant de solitude
Éclairant ses frères, damnés incrédules
Illuminant la face de la pleureuse chétive
Jurant d'une même voie que le sombre
N'est que l'habit de nos incertitudes
Tout est enfant de solitude
L'ineffable beauté de négresse
Est le fruit de l'écho des consciences
Et comme l'on ne sais décrire que le palpable
Le rêve compressé dans nos os
Que l'isolement a réduit en châtiment
Au titre de scarifications sur nos âmes
Tout est enfant de solitude
Le spectre glacé des amantes castrées
Que nos murs ceint de moiteur a rendu invisible
Terrorisant la peau, cautérisant mes draps
Et ce n'est que les yeux débordant de larme
Que je peut m'abandonner a leurs bras...
Tout est enfant de solitude
La médiocrité de nos for intérieur
L'instabilité de nos engagements
La fatalité que l'on étale sur nos existences
Celle qui donne bonne conscience a nos échec
Et fait repousser le reflet de nos miroirs
Tout est enfant de solitude
Tout est est issue de cette geôle de cristal
Aussi puissante que fragile
Aussi sombre que lumineuse
Aussi large qu'étriqueé
Elle dépend simplement de notre faculté
A amadoué nos fantômes
A dompté nos démons...
Chaarar,
Tout est enfant de solitude
Souvent nos joies s'échappent
D'un puits profond comme un abîme
Où l'on hurle nos silences
Pour me mieux se faire entendre...
Tout est enfant de solitude
Les gloires intellectuelles
Les calcules des savants
Ne proviennent seulement
Que d'une cure de chuchotements
Tout est enfant de solitude
Les concerts, les jeux de lumière
Les flammes incandescentes
N'ont connu l'étincelle que dans le cœur
Du pyromane égaré dans les cendres
D'une solitude incombustible
Tout est enfant de solitude
Les fois profondes, les obédiences
Les pèlerinages, les vœux pieux
Les méditations au cœur de la nuit
Surgissant des silences destinés
Tout est enfant de solitude
La nuit même est enfant de solitude
Éclairant ses frères, damnés incrédules
Illuminant la face de la pleureuse chétive
Jurant d'une même voie que le sombre
N'est que l'habit de nos incertitudes
Tout est enfant de solitude
L'ineffable beauté de négresse
Est le fruit de l'écho des consciences
Et comme l'on ne sais décrire que le palpable
Le rêve compressé dans nos os
Que l'isolement a réduit en châtiment
Au titre de scarifications sur nos âmes
Tout est enfant de solitude
Le spectre glacé des amantes castrées
Que nos murs ceint de moiteur a rendu invisible
Terrorisant la peau, cautérisant mes draps
Et ce n'est que les yeux débordant de larme
Que je peut m'abandonner a leurs bras...
Tout est enfant de solitude
La médiocrité de nos for intérieur
L'instabilité de nos engagements
La fatalité que l'on étale sur nos existences
Celle qui donne bonne conscience a nos échec
Et fait repousser le reflet de nos miroirs
Tout est enfant de solitude
Tout est est issue de cette geôle de cristal
Aussi puissante que fragile
Aussi sombre que lumineuse
Aussi large qu'étriqueé
Elle dépend simplement de notre faculté
A amadoué nos fantômes
A dompté nos démons...
Chaarar,
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