Je pleure Matoub
C'est l'heure
Où j'ai autant envie de garder le silence
Car tout ne peut être dit
De ce qui n'est pas chanté dans le chant.
Je pleure Matoub aujourd'hui…
J'entends les démons vibrant de mort
Qui versent la mort sur l'homme.
J'entends la voix d’une mère affable
La brise de mer court
Vers le souvenir violent.
La Kabylie,
À l’inquiète géographie
Brame de vent
Qu’il a tant aimée
Et parcourue
Au gré des chemins du temps.
Mais la naissance, la vie, la mort et la résurrection du poète agrandissent son œuvre
À la démesure de l'univers.
Ce qui me rend mon Algérie plus proche, C'est sa voix de sel
Qui nous fait veiller
Ö nuit noire
Que nous ne méritons point
De qui est ce sang
Qui nous est adverse ?
Je chéris
La valeureuse TIZI
Dont beaucoup de martyrs sont originaires
Y compris le coléoptère
Dont pour l’heure
Je n’aime pas me rappeler son nom.
Je chante Matoub
Qui a fait don à notre histoire de tant
D’héroïsme et de combat pour la liberté.
C'est l'heure
Où j'ai autant envie de garder le silence
Car tout ne peut être dit
De ce qui n'est pas chanté dans le chant.
Je pleure Matoub aujourd'hui…
J'entends les démons vibrant de mort
Qui versent la mort sur l'homme.
J'entends la voix d’une mère affable
La brise de mer court
Vers le souvenir violent.
La Kabylie,
À l’inquiète géographie
Brame de vent
Qu’il a tant aimée
Et parcourue
Au gré des chemins du temps.
Mais la naissance, la vie, la mort et la résurrection du poète agrandissent son œuvre
À la démesure de l'univers.
Ce qui me rend mon Algérie plus proche, C'est sa voix de sel
Qui nous fait veiller
Ö nuit noire
Que nous ne méritons point
De qui est ce sang
Qui nous est adverse ?
Je chéris
La valeureuse TIZI
Dont beaucoup de martyrs sont originaires
Y compris le coléoptère
Dont pour l’heure
Je n’aime pas me rappeler son nom.
Je chante Matoub
Qui a fait don à notre histoire de tant
D’héroïsme et de combat pour la liberté.
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