A tort tu m’as condamné
Et même si j’ai eu tort, ce fut involontaire.
Pardonne-moi comme je t’ai pardonné,
Toi qui m’est si chère
notre amour cautérisé
Dans l’âtre se prête aux flammes
Enfoui, de bois fourni
Pour que nul ne l’éteigne
Une fumée dans le ciel s’élèvera
Jusqu’aux nuées parviendra
Son feu laissera des cendres
Ces cendres-là que le vent emportera
Ces cendres-là que le vent emportera
Devant ta maison il les sèmera
Des fleurs pousseront et écloront
De ta beauté elle tiendront
Moi de la brume je deviendrai
Du haut du ciel, te saluerai
L’herbe se fera ta literie
Le ciel une couverture qui t’envelopperait
Que l’arc-en-ciel poigne
Pour entourer la fleur de sa pagne
Un éclair tel un flambeau fulgurera
La fleur, Toute sa beauté la dévoilera
Cette pluie qui ravive les racines
C’est moi qui l'enverrai pour elle
Celle qui de lumières est ceinte
Je serai ton ange gardien
Voilà l’été qui arrive
Où nos jours devront se séparer
Moi, du ciel il m’effacera
Toi tes feuilles les flétrira .brûlera ?
je te laisse, tu me pardonneras
Mon tort de ta raison sera compris
Que mon amour pour toi s’est mépris
Qu'il vint, passa, point s'arrêta
lounis Ait Menguellet.
Et même si j’ai eu tort, ce fut involontaire.
Pardonne-moi comme je t’ai pardonné,
Toi qui m’est si chère
notre amour cautérisé
Dans l’âtre se prête aux flammes
Enfoui, de bois fourni
Pour que nul ne l’éteigne
Une fumée dans le ciel s’élèvera
Jusqu’aux nuées parviendra
Son feu laissera des cendres
Ces cendres-là que le vent emportera
Ces cendres-là que le vent emportera
Devant ta maison il les sèmera
Des fleurs pousseront et écloront
De ta beauté elle tiendront
Moi de la brume je deviendrai
Du haut du ciel, te saluerai
L’herbe se fera ta literie
Le ciel une couverture qui t’envelopperait
Que l’arc-en-ciel poigne
Pour entourer la fleur de sa pagne
Un éclair tel un flambeau fulgurera
La fleur, Toute sa beauté la dévoilera
Cette pluie qui ravive les racines
C’est moi qui l'enverrai pour elle
Celle qui de lumières est ceinte
Je serai ton ange gardien
Voilà l’été qui arrive
Où nos jours devront se séparer
Moi, du ciel il m’effacera
Toi tes feuilles les flétrira .brûlera ?
je te laisse, tu me pardonneras
Mon tort de ta raison sera compris
Que mon amour pour toi s’est mépris
Qu'il vint, passa, point s'arrêta
lounis Ait Menguellet.
Commentaire